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Citations de Michiko Aoyama (312)


Je pense que la modestie vient de la confiance en soi et que la gentillesse est la véritable force.
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Je n’étais pas un raté, je m’étais juste trompé de lieu où me rendre utile. Ici, je l’étais, ne serait-ce qu’un peu. J’en ai retiré une énorme sérénité. J’avais l’autorisation d’être là.
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La valeur d’un livre est plus dans ta propre interprétation que dans la puissance de ses mots.
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Un rêve ne peut pas se terminer tant qu’il existe. Il restera pour toujours un rêve magnifique. Même si tu ne le réalises pas, c’est aussi un choix de vie. Car rêver sans plan déterminé n’est pas quelque chose de mal. Ça permet de profiter pleinement de la vie.
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Un rêve ne peut pas « se terminer » tant qu’il existe. Il restera pour toujours un rêve magnifique. Même si tu ne le réalises pas, c’est aussi un choix de vie. Car rêver sans plan déterminé n’est pas quelque chose de mal. Ça permet de profiter pleinement de la vie.
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La plus grande chose que tu aies accomplie, c'est ta naissance. Rien de ce que tu vis ensuite n'est aussi dur que cet événement extraordinaire. Mais tu y as résisté, alors tu peux tout surmonter.
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"Quelque chose de vieux, Quelque chose de neuf, Quelque chose d'emprunté, Quelque chose de bleu." Cette tradition, selon laquelle un couple trouverait le bonheur si la mariée les portait à son mariage, proviendrait d'une comptine de Mother Groose. Celle-ci se terminait par "Et un sixpence en argent dans sa chaussure", un vers bien souvent omis.
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J'ai pensé du fond du coeur que la poésie était un art magnifique.
La vérité, seul l'auteur la connaissait. Mais chaque lecteur interprétait le texte à sa manière, et c'était là l'intérêt.
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- Le nombre de librairies diminue parce que les livres ne se vendent plus, ai-je affirmé en plongeant ma tranche de tofu dans le bouillon.
- Ne dis pas ça, s'est-elle vexée. C'est ce qui va arriver si les gens répètent ces bêtises sans savoir ! Il y aura toujours des personnes pour qui les livres sont une nécessité et des rencontres importantes en librairies entre un livre et un lecteur. Je refuse qu'elles disparaissent.
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- Dans l'éducation d'un enfant, on apprend par la pratique. Ça se passe toujours différemment de ce qu'on imaginait.
- Oui, c'est vrai !
J'ai senti qu'enfin, on me comprenait, et malgré moi, j'ai vidé ce que j'avais sur le cœur.
- C'est comme trouver Winnie l'ourson mignon et ensuite, vivre avec un vrai ours.
- Ha ha ha !
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- Je me suis dit qu'on travaille pour manger, alors ne pas pouvoir manger parce qu'on travaille, c'est ridicule.
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Cette voix m'a freinée dans mon élan. Malgré une intonation monocorde, elle était si chaleureuse que mes jambes, prêtes à déguerpir, se sont arrêtées net. Ces mots émis sans un sourire procuraient une intense et étrange sensation d'apaisement.
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J’apprécie aussi le calme des clients qui fréquentent la librairie. Les humains qui s’y réunissent sont à l’image du monsieur, je crois. J’aime la silhouette des humains qui lisent des livres. Je les trouve beaux. Même s’ils sont bien là, ils voyagent ailleurs, je le sais.
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Dans ce monde, où notre avenir nous est inconnu, aujourd'hui, je fais ce que je peux.
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Il y aura toujours des personnes pour qui les livres sont une nécessité et ded rencontres importantes en librairie entre un livre et un lecteur.
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Le célibataire envie le marié, le marié envie le parent, et le parent envie le célibataire. C'est un manège qui tourne en rond. Je trouve ce phénomène intéressant, chacun court uniquement derrière son prédécesseur, il n'y a ni premier ni dernier. En d'autres termes, le bonheur n'a ni climax ni ligne d'arrivée.
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Pour les livres, elle savait d'expérience et d'instinct ce qui convenait à chaque lecteur. Mais elle n'avait aucun moyen de le deviner pour les crabes du supermarché et de la marche du crabe avec ma fille.
Je m'attendais à une technique secrète incroyable, mais elle a répondu avec nonchalance :
- Au hasard.
Ouoi ?
- Si vous préférez une expression plus jolie : à l'inspiration.
- L'inspiration...
_ Si ça a eu une signification pour vous, j'en suis ravie. Vraiment.
Elle m'a fixé droit dans les yeux.
- Mais en vérité, je ne sais rien et je ne vous ai rien offert. Chacun trouve un sens qui lui est propre au petit plus. De même pour les livres. Le lecteur associe des phrases à sa propre vie et en retire quelque chose de personnel, sans lien avec l'obiectif initial de l'auteur.
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Je me suis dit qu'on travaille pour manger, alors ne pas pouvoir manger parce qu'on travaille, c'est ridicule.
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Je pense que ce qui compte, ce n'est pas de suivre une route droite, c'est de marcher aussi droit que possible sur un chemin tortueux.
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Mako m'avait envoyé une lettre par avion du Japon, où elle résidait, et y avait joint un marque-page fait main : une jolie fleur séchée rose qu'elle avait même plastifiée, à laquelle était accrochée une ficelle en papier washi blanc.
Même l'Australienne que j'étais en connaissait le nom sans avoir jamais quitté Sydney. Mako m'avait appris que c'était une fleur de cerisier, sa fleur préférée, annonciatrice du printemps au Japon.
Lorsqu'elle habitait encore à Sydney, par une belle journée d'Octobre, je l'avais emmenée dans mon petit coin de paradis. C'était un chemin bordé de jacarandas dont les branches créaient une sublime voûte mauve. Le sol jonché de pétales était splendide. En Australie, ce sont les fleurs de jacaranda qui symbolisent le printemps.
- J'adore cet endroit, avais-je dit. Quand je vois ce paysage violet, je prends conscience que le printemps est là !
Alors Mako, les yeux brillants, m'avait parlé des cerisiers, du fait que les Japonais sentaient l'arrivée du printemps à l'apparition de leurs fleurs et que la meilleure période pour les admirer à Tokyo était en avril. Comme les jacarandas, ils poussaient le long des routes et leur teinte rose pâle ressemblait au violet clair des arbres australiens.
J'avais du mal à concevoir le printemps en avril. Mais Mako, de son côté, devait trouver étrange qu'il soit en octobre.
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