Citations de Michiko Aoyama (312)
- Dans ma vie, j'ai tâché d'emprunter le chemin le plus droit, ce que mon entourage attendait de moi. mais j'ai dû faire erreur quelque part.
- Hmm... Je pense que ce qui compte, ce n'est pas de suivre une route droite, C'est de marcher aussi droit que possible sur un chemin tortueux.
“Dans ce monde où notre avenir nous est inconnu, aujourd’hui, je fais ce que je peux.”
Imposante et enigmatique,coincee entre le paravent et le bureau d'angle d'une petite bibliotheque au coeur de Tokyo,Sayuri Komachi attend patiemment ceux qui decident de venir la voir.Hommes ou femmes,jeunes ou vieux,salaries ou retraites...
L’important, c’est de ne pas laisser passer sa destinée.
Un livre appartient à ceux qui le font, à ceux qui le vendent et à ceux qui le lisent. Voilà ce qu’est la société.
La valeur d'un livre tient plus à ta propre interprétation qu'à la puissance de ses mots.
Mais avoir peur de mourir, c'était avoir peur de vivre.
Un rêve ne peut pas "se terminer" tant qu'il existe. Il restera pour toujours un rêve magnifique.
Le lecteur associe des phrases à sa propre vie et en retire quelque chose de personnel, sans lien avec l’objectif initial de l’auteur.
- Je vois, tu traveres la phase du manège , a-t-elle affirmé d'un ton calme.
-Du manège ?
Elle a émis un petit rire.
-C’est très fréquent. Le célibataire envie le marié , le marié envie le parent et le parent envie le célibataire. C'est un manège qui tourne en rond. Je trouve ce phénomène intéressant, chacun court uniquement derrière son prédécesseur, il n'y a ni premier, ni dernier. En d'autres termes, le bonheur n'a ni climax, ni de ligne d’arrivée.
Le chat tigré a sauté de ses genoux. Lentement, il s'est approché du chat noir et a collé sa tête contre la sienne, comme pour lui raconter quelque chose.
- Nous sommes tous connectés les uns aux autres. Il suffit d'un lien pour que notre réseau s'étende progressivement. Si vous attendez le bon moment pour le créer, ce jour peut ne jamais arriver. Montrez-vous ici et là, discutez avec des gens, jusqu'à en avoir vu suffisamment. Alors il se pourrait bien que "un jour" se transforme en "demain". Puis, les yeux posés sur les chats, il a juste ajouté :
- L'important, c'est de ne pas laisser passer sa destinée.
La "destinée".
Le lecteur associe des phrases à sa propre vie et en retire quelque chose de personnel, sans lien avec l'objectif initial de l'auteur.
-Un rêve ne peut pas « se terminer » tant qu’il existe. Il restera pour toujours un rêve magnifique. Mais si tu ne le réalises pas, c’est aussi un choix de vie. Car rêver sans plan déterminé n’est pas quelque chose de mal. Ça permet de profiter pleinement de la vie. p.93
La plus grande chose que tu aies accomplie, c’est ta naissance. Rien de ce que tu vis ensuite n’est aussi dur que cet évènement extraordinaire. Mais tu y as résisté, alors tu peux tout surmonter.
La valeur d’un livre est plus dans ta propre interprétation que dans la puissance de ses mots.
Un rêve ne peut pas "se terminer" tant qu'il existe. Il restera pour toujours un rêve magnifique. Même si tu ne le réalises pas, c'est aussi un choix de vie. Car rêver sans plan déterminé n'est pas quelque chose de mal. Ca permet de profiter pleinement de la vie.
- Lorsque j'achète un livre en tant que lectrice, je fais aussi partie du processus. Les employés ne sont pas les seuls à faire tourner le secteur de l'édition, car en premier lieu, viennent les lecteurs. Un livre appartient à ceux qui le font, ceux qui le vendent et ceux qui le lisent. Voilà ce qu'est la société.
La société...J'ai réalisé que le monde ne tournait pas uniquement grâce aux travailleurs...
Je pense que ce qui compte, ce n'est pas de suivre une route droite, c'est de marcher aussi droit que possible sur un chemin tortueux.
Un livre appartient à ceux qui le font, ceux qui le vendent et ceux qui le lisent.
-Dis, sur quoi repose le monde, à ton avis ?
-Euh...Je dirais...sur l'amour entre autres choses ?
-Hein ? s'est-elle écriée, les yeux ronds comme des billes. Je ne m'attendais pas à cette réponse de ta part ! Mais c'est ce que j'aime chez toi !
Pliée de rire, elle a ajouté d'un ton moralisateur :
- Moi, je pense que c'est la confiance.
-La confiance ?
- Oui. Emprunter de l'argent à la banque, demander et se voir confier du travail, organiser un rendez-vous avec des amis, dîner au restaurant : tout repose sur la confiance mutuelle.