Let's face itfew people are lucky enough to be able to write full-time when they're starting out. Whether you work a full-time job or have caretaking duties, writing often has to fit in around other obligations. On this panel, authors share tips and tricksand trials and tribulationsaround making time for writing.
Featuring P. Djèlí Clark, Megan Bannen, Richard Swan, and Jackson Ford
“Je préfèrerais dîner avec un cadavre en putréfaction plutôt qu’avec Mercy Birdsall.
Je ne connais pas de femmes plus exaspérantes.”
“Et ça a commencé quand ?
— Ça n’a pas commencé. Nous vivons dans une boucle éternelle et infinie de détestation mutuelle.”
Mercy se cogna la tête contre un placard. Son secret n'en était plus un, et il était impossible de revenir en arrière. Une fois sorti de son tube, le dentifrice n'y retourne jamais.
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- Je crains que votre prétendant ne vous ait pas écrit aujourd'hui, lui lança Horatio derrière son aile lorsqu'elle ouvrit la porte.
- Je n'ai pas de prétendant, rétorqua Mercy en s'empourprant, mortifiée.
Le hibou n'avait pas de sourcils, mais il parut les hausser quand même. Son regard perçant fit rougir encore plus la jeune femme.
- Si vous le dites. Tenez, des factures. Aussi déprimantes qu'un amoureux silencieux. Bisou, bisou !
—Vous pensez réellement que les chiens n'ont pas d'âme? Avez-vous déjà rencontré un chien qui ne soit pas cent fois plus sympa que n'importe quel humain?
- Euh... non?
- Exactement. N'insultez plus les chiens, je vous prie.
—Toc-toc! c'est le courrier!
Duckers bondit sur ses pieds et sauta sur son arbalète non chargée alors que le lapin bipède géant arrivait sur ses pattes surdimensionnées.
—Un Acharné! Tuez-le! Tuez-le! cria le jeune homme.
—Comment ça va? demanda le lapin comme si le gamin ne le menaçait pas avec une arme.
—Un nimkilim? s'enquit Duckers en arrêtant sa danse frénétique.
—Non, je suis ta grand-mère. Bien sûr que je suis un nimkilim.
Pose-moi ce machin avant d'émasculer ton patron par accident.
—Elle n'est pas chargée, le rassura Hart, confortablement installé sur son vieux tabouret pliant, une tasse de camomille à la main.
—Un nimkilim, se répéta Duckers avec soulagement en se protégeant inexplicablement l'entrejambe avec les deux mains. Je croyais que c'était un mort.
Si le Khan Timur nest pas encore mort, c'est parce qu'il a une chance incroyable. Si le prince Khalaf n'est pas encore mort, c'est parce qu'il est courageux au-delà de tout. Moi, si je ne suis pas encore morte, c'est parce que j'étais en train de chanter dans un arbre comme une idiote.
Il me sourit. Ce n'est pas un large sourire, il n'étincelle pas, ne dévoile pas de dents. Simplement, les coins de sa bouche glissent, ses yeux se plissent, et un début de fossette se creuse sur sa joue gauche. Pour la première fois en deux ans, je me dis que le monde n'est pas un endroit si terrible - une personne décente y vit.
première énigme
“Il est le dragon aux ailes irisées
Qui s'étire au-dessus du néant vaste et froid
Pour qui le cœur creux des hommes doit chanter
Quand il y a joué comme un chat avec sa proie.
Il vit dans les tons sombres des ombres
Invoqué par les hommes, il règne sur la nuit.
Ainsi il renaît à la vie le soir dans la pénombre
Et chaque aube de nouveau le détruit”.
L’espoir
troisième énigme
“C’est une prison de neige, une élégante cage de glace
Bien que pâle, tu brûles dans son cœur noirci
Bien qu’ardent, ton feu ne peut suffire
De même, tu ne peux en écarter les barreaux gelés
Comme en haut d’une montagne, ton feu est inutile
En dépit de ta flamme son enceinte toujours se refroidit
Devant toi se trouve un choix : quel est ton désir ?
Te libérer ou être esclave ? Rester et être roi ?”.