Lena Walker

Voici 4 ans que j'ai ce magnifique livre dans ma PAL. J'ai enfin pu découvrir les péripéties d'Eva, jeune femme de 26 ans passionnée de livres et travaillant dans la vieille librairie de Marcel.

Celui-ci fasse à de gros problèmes économiques, se voit dans l'obligation de licencier Eva. Elle trouve, alors, un job de nounou dans une famille avec 3 enfants.

Ce livre parle de maternité, d'amour pour les enfants, les siens, ceux des autres et la façon d'éduquer et pourquoi les éduquer de cette manière.

C'est un roman frais, qui parle cependant de sujet très sérieux et du bouleversement que peut engendrer les enfants dans une vie...quand on le souhaite.

Je vous souhaite de très belles lectures.

✨️ Intrigue :

Noah a 12 ans et a ses parents sur le dos constamment. Même s’il s’estime sous-doué, sa mère pense le contraire et l’oblige sans cesse à travailler toujours plus. Un jour, il décide de devenir président d’une association et fonde le Labo des Abeilles. Il espère ainsi se débarrasser de ses parents mais il veut surtout impressionner et conquérir le cœur de Mélissa, la nouvelle arrivante à l’école. Les deux enfants seront alors prêts à tout pour sauver les abeilles.

✨️Mon avis :

Etant enseignante, je suis toujours touchée par ces romans qui parlent d’enfants à l’école qui ne se sentent pas forcément à leur place. Ce roman m’a rappelé une histoire qui m’avait également beaucoup touchée (« Né sous une bonne étoile » d’Aurélie Valognes) et en voyant dans les remerciements que les deux autrices étaient meilleures amies j’y ai vu une jolie synchronicité.

C’est d’ailleurs également ce que j’ai ressenti durant cette lecture que j’avais choisie un peu au hasard, sans forcément lire le résumé, mais parce que j’avais cette envie de découvrir d’autres romans de l’autrice après avoir adoré « De joie coulent mes larmes ». Ce roman a fait écho en moi et j’y ai vu plusieurs coïncidences : le métier du papa de Noah, le prénom de son grand-père ou encore sa mysophobie.

J’ai été touchée par la relation entre Noah et son grand-père et par les messages véhiculés remplis de positivité.

« Papé ne se focalise que sur les sourires et il a bien raison. Tout n’est qu’une question de point de vue, d’angle. Je pourrais demander à mon père de calculer l’angle pour chasser les pensées négatives et voir la vie du bon côté. »

J’ai beaucoup aimé aussi le sujet central du roman qui est le monde fascinant des abeilles. L’autrice le maîtrise très bien et on n’y apprend plusieurs choses très intéressantes.

Une excellente lecture que je vous conseille.


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Eva est une jeune femme hypersensible, travaillant avec passion et dévouement dans la librairie de Marcel.



Quand ce dernier la licencie,  son quotidien bien huilé et rassurant ré-ouvre les portes de ses angoisses récurrentes. 



C'est alors qu'elle va se retrouver "nounou " dans une famille où si l'argent coule à  flot, absences riment avec déficiences ....Et si son rôle  devenait plus important que ce qu'elle imaginait et venait transformer tout ce beau monde dont Eva?





J'ai refermé ce livre avec émotion. Ce roman choral nous transporte dans l'âme bienveillante d'une protagoniste sensible, passionnée,  angoissée et peureuse de part des traumatismes et carences son enfance.



Elle qui ne pensait pas s'attacher outre mesure va jouer un rôle déterminant auprès de ces enfants qu'elle va faire bien plus que garder.



Elle va les écouter,  les aimer et panser leurs blessures qui feront écho en elle ,  ils se combleront et révéleront ainsi leur propre potentiel, leur singularité. 





Je n'en dévoilerai pas plus mais il y a beaucoup de belles leçons de vie à  retirer de ce livre .



Et puis c'est un bel hommage au droit à  la difference et à toutes ces femmes mères imparfaites,  maladroites, mères sans être du même sang, mais une chose les relie : Elles pensent faire de leur mieux et aiment malgré leurs maladresses qui peuvent porter à  conséquences.





La plume de Lena Walker est sensible, humble, généreuse,  empathique, humaine , brillante , à l'image de sa protagoniste principale, le cœur tourné vers les autres. 





Je vous invite urgemment à lire " cette petite merveille ", car les yeux du coeur ne devraient se remplir quotidiennement que d'une majorité de " petites merveilles " , tous ces petits " riens " qui sont en fait un tout. 

Roman “doudou” ou l’on passe un moment agréable mais qui ne m’a pas semblé indispensable. Une lecture que l’on fait entre deux autres plus dures, et qui nous permet de prendre une petite respiration …



Eva, grande anxieuse depuis sa jeunesse, doit devenir nounou après avoir été licenciée de la librairie qu'elle adorait. En effet, Marcel, propriétaire de la Librairie “Les Mots dansent” voit ses ventes péricliter depuis la mort de sa douce Bernadette, et n’a plus assez pour payer Eva. Ce que Marcel ne sait pas c’est que la jeune fille a plus d’un tour dans son sac et fera tout en son pouvoir pour faire revivre cette petite librairie …

📖 Deuxième roman que je lis de cette autrice.

Elle instille encore une fois à son histoire Feel Good, des thèmes importants : la maternité sous toutes ses formes, la solitude, le mal être, le harcèlement, les problèmes liés à la nourriture…



📖 Eva est le personnage empathique de ce roman. Elle travaille dans la librairie de Marcel mais ce dernier doit la licencier.

Pour l’aider, son amie Iris, lui trouve un emploi de nounou pour une avocate et son époux diamantaire qui ont trois enfants : Arthur, Rose et Louis.

Trois petites merveilles car, moi, je les ai trouvés quand même hyper sages et sympas les uns avec les autres. Jamais de disputes !

Par contre, ils ont leur lot de chagrin qu’ils montrent chacun à leur manière.

Eva vit avec sa mère qui est gardienne dans un immeuble et elles habitent ensemble dans une petite loge.

L’avenir d’Eva est plutôt instable et elle va devoir jongler pour retomber sur ses pieds.



📖 On se laisse très facilement porter par l’histoire que nous livre l’autrice. Evidemment, tout se termine bien mais certains de ces cataclysmes pourraient être dans nos vies.

L’écriture est donc très fluide et les émotions sont bien présentes.

La fin est sans surprise mais j’ai presque trouvé ça rassurant car tout n’a pas été rose pour Eva comme pour d’autres personnages.

Des vies qui s’entremêlent, des destins qui font que l’on s’aide les uns les autres.

De la bienveillance, enfin ! Et de la lecture surtout.



📖 Je vais donc continuer à rajouter les livres de Léna Walker à ma PAL. Une petite merveille de temps en temps, ça fait tellement de bien.

De joie coulent mes larmes 😭

"Dans la vie, il faut oser, y aller au culot, se créer des occasions, c'est comme au foot, si tu n'essaies pas de marquer, tu ne risques pas de gagner le match. La vie c'est comme un match de foot"

Jolie histoire qui nous fait voyager de Saint-Tropez à Paris et puis New York.

Romy, jeune femme de 27 ans vit avec sa grand-mère, un jour elle vont voir Jean-Luc un voyant (ou charlatan) qui va leur prédire leur sacré avenir... Romy n'est pas épanouie dans son métier actuel et encore moins dans sa relation, elle va tout plaquer et vivre de son métier de rêve... Désillusion, le métier des médias est loin d'être ce qu'elle pense être... Ses vrais amis, Renaud, Paul et Cécile seront les personnes les plus conciliantes et bénéfiques pour Romy. Elle ne baissera jamais les bras. Elle va se rendre compte qu'à force de vouloir vivre pleinement son rêve (voué à l'échec) elle va mettre de côté les personnes les plus importantes de sa vie...

La fin est très belle, mais j'ai un goût de trop peu malheureusement...

Je vous laisse sur ces jolies citations ...

On fait des erreurs mais on rebondit et on apprend de ses échecs pour ne pas les reproduire.

Être auprès des gens qu'on aime, passer du temps avec eux, c'est peut-être ça finalement le bonheur, tout simplement ❤️

Avec avec ce livre, le message est bien clair : il faut agir maintenant, s’engager, tout faire pour préserver la biodiversité, et ici, on se concentre particulièrement sur les abeilles. Je suis très sensible aux questions environnementales, et à la façon d’appréhender ces sujets en littérature, mais là je dois dire que je suis bien embêtée..



Si le message autour de l’environnement et le sujet global sont intéressants, la façon de le traiter n’est malheureusement pas très digeste.



Les dialogues entre les enfants ne sont pas naturels, les personnages assez caricaturaux, et on a un peu l’impression que l’histoire est un prétexte à caser de gros pavés sur les abeilles dans le genre “eh, tu sais ce que j’ai appris dans un livre ? et bien les abeilles blablabla”.



Mais surtout, le plus dérangeant : la relation mère fils.

Un garçon de 12 ans qui nous décrit à quel point sa mère est flasque et grosse : “ma mère me demande si je la trouve jolie dans sa nouvelle tenue ultra moulante. Je hoche la tête, mais au fond, je ne vois que les plis de son pantalon qui cisaillent sa chair comme la ficelle d’un rôti de boeuf” (ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres), de même qu’il le fait avec l’une de ses professeurs “Mme Simmonot nous distribue un extrait de Romeo et Juliette. Quand je l’observe - je suis sûrement un peu méchant, mais surtout réaliste - je me dis que personne n’a prévu de l’inviter au restaurant ce soir, je ne vois pas comment cela peut arriver, même sur un malentendu. Il faudrait être tordu ou aveugle pour vouloir diner avec elle. Mme Simmonot, en plus d’être archi-myope, ressemble à une aubergine version culotte de cheval. Ce texte de Romeo et Juliette nourrit sans doute un fantasme, car je ne vois pas qui pourrait mourrir d’amour pour elle. C’est sans doute pour ça qu’elle nous le propose, pour se rappeler les frustations de ne pas être aimée.”, ce n’est juste pas possible...



Il me parait absolument impensable qu’un garçon de 12 ans puisse penser ça de sa mère, et qu’il puisse trouver qu’offrir des chocolats à la Saint Valentin est un “tue l’amour” parce que ça fait prendre des calories et que c’est une fête commerciale.



Un autre passage qui m’a interloqué :

Les pauvres enfants qui sont punis parce qu’il ont pris l’initiative de faire venir un apiculteur dans l’école, décision appuyée, validée et encadrée par le collège, qui les exclut de cours parce que la vitre de la ruche s’est fissurée et que “mais vous vous rendez compte à quel point c’était dangereux de faire venir ce mec” (ici ce n'est pas la vraie citation, je résume le message).



La fin rattrape un peu les choses, mais n’explique en aucun cas de nombreux passages de dénigrement physique.



Je n’ai vraiment pas compris en quoi cela pouvait servir l’histoire. Sans ces descriptions, la relation de Noah avec ses parents et avec les autres est déjà bien assez compliquée, alors pourquoi rajouter ces moments détestables ?



Si c’est pour nous faire comprendre que Noah est soit disant un garçon très intelligent voire haut potentiel, je ne vois vraiment pas le rapport (de même qu’utiliser des mots soutenus ne fait pas un HPI).



Et puis la “révélation finale” qui tente d’expliquer tant bien que mal pourquoi la relation est si malsaine, ne tient pas vraiment la route non plus, c’est un peu raccourci.



Alors j’avoue que je suis perplexe… Je salue l’initiative d’écrire sur la protection des abeilles via la littérature jeunesse, mais je ne comprend absolument pas ce que ces remarques grossophobes viennent faire là.



Si encore le but était de nous faire rencontrer un personnage antiphatique, cela servirait effectivement à nous le dépeindre comme tel, mais ça ne me semble pas être l’effet recherché… Si le garçon avait des remords à propos de la façon dont il traite les autres, si il s’en voulait, s’excusait, mais encore une fois, rien du tout, c’était juste totalement gratuit…



Si quelqu’un veut en discuter avec moi et m’éclairer sur tout cela, je serai ravie, je suis peut être passée à coté de quelque chose, mais en attendant que ressors en colère de ma lecture, car la lecture est initialement dédiée est un public jeunesse, et qu’on passe totalement à côté du message, pourtant essentiel.

J'ai refermé ce roman, avec une douce nostalgie. Celle de quitter Eva, sa mère Corinne et Garance, une autre femme et maman, dont on découvre la vie, au fil des pages.

Trois femmes et trois relations différentes par rapport à la maternité.

La première, Eva est douce mais fragile, car elle traine des angoisses depuis l'enfance (absence du père, harcèlement scolaire, manque d'argent, manque d'affection).

Corinne, sa maman, elle est une femme courage, qui a tout fait pour offrir un meilleur avenir à sa fille, quitte à vivre chichement, mais pourvu que sa fille intègre les meilleures écoles.

Et Garance, maman de 3 enfants, qui privilégie sa carrière pour assurer un cadre cossu et privilégié à ses enfants, mais qu'elle ne voie guère.

Trois femmes, trois parcours et objectifs différents, qui vont se télescoper dans ce roman et apporter chacune aux autres quelque chose. Eva va combler son manque d'amour en s'attachant fortement aux enfants de Garance, qu'elle garde, Garance en ce rendant compte du manque d'attention et de temps qu'elle accorde à ces petits (avec toutes conséquences qui peuvent en découler) et Corinne, qui après s'être sacrifiée pour sa fille, rêve d'ailleurs.

C’est un roman doux, optimiste, lumineux, qui met en lumière et sans jugement, les choix que font les femmes en matière d'éducation pour leurs enfants, mais qui rappelle que rien n'est définitif et qu'avec un peu de bonne volonté et de courage, tout peut changer.

Il y a parfois ce genre de petit livre feel-good dont vous savez que vous passerez un agréable moment, mais qui se révèle être bien plus que cela et qui vous laisse une très agréable surprise: c'est le cas pour "Les petites merveilles". Ce livre est bien plus profond qu'il n'y paraît: l'autrice aborde la maternité et les liens parents/enfants de manière complète, dans un large panel de situations et d'émotions. Les personnages, qu'ils soient principaux ou secondaires sont tous très bien développés avec une psychologie très bien détaillée et analysée. L'histoire regorge de d'actions et de rebondissements et est faite des petits riens du quotidien mais elle est pourtant prenante, marquante et surtout très immersive. En seulement 300 pages, l'autrice a réussi à construire une histoire aussi complète, que se soit au niveau des thématiques, des psychologies, des personnages et de l'ambiance, qu'un pavé de 600 pages. Ce livre feel-good est très bien réussi, une jolie petite surprise!
Lien : https://www.leslecturesducha..

Si vous voulez un petit livre qui a le goût d'un ourson à la guimauve vous êtes au bon endroit.. j'ai dévoré les Petites merveilles et ai pris beaucoup de plaisir à suivre les aventures d' Eva , sa détermination, sa créativité et son passage à la vie d'adulte. Ce n'est pas un livre tout rose, il y a des moments assez injustes mais j'ai aimé être embarquée dans ses galères, son désarrois et ses moments de panique.

Je recommande ce petit livre bien sympathique entre 2 lectures plus longues ou tortueuses.

Quand les abeilles ne danseront plus est une belle découverte.



Le thème central du livre est la problématique de la disparition des insectes pollinisateurs, et tout particulièrement des abeilles qui sont essentiels à l'équilibre écologique de la planète. On sent que Léna Walker a potassé son sujet et qu'elle y est sensible.

Dans une moindre mesure, l'autrice aborde également le harcèlement scolaire: Noah le héros de ce roman, jeune ado de 12 ans, introverti, est souvent malmené par l'un de ses camarades de classe, Gilles.



Noah est également un jeune garçon très intelligent, mais malheureusement solitaire. Il souffre du manque d'affection de ses parents. Entre une mère dépressive et un père obnubilé par son boulot de mathématicien-chercheur, Noah, ne trouve en général du réconfort qu'auprès de ses deux chiens imaginaires : Victor et Hugo.



A travers Noah et son idée de créer une association pour sauver les abeilles, à l'aide de Melissa, une camarade dont il est tombé amoureux, Léna Walker explique et surtout vulgarise pour un public jeune, cet aspect de l'écologie dont on ne parle pas forcément souvent.



C'est un beau roman jeunesse, un roman d'amour, un roman d'amitié, un roman écoresponsable, un roman à lire.

J’avais complètement flashé sur la couverture de ce roman, je l’ai acheté sans lire la quatrième de couverture. Quand je l’ai reçu et que j’ai vu que l’héroïne était une libraire, j’avais encore plus envie de le découvrir !

J’ai suivi Eva, passionnée de livres, qui lutte contre son anxiété depuis son enfance. Elle prend un deuxième job pour des raisons financières, nounou de 3 jeunes enfants d’une famille très riche. J’ai adoré la voir découvrir ce métier qu’elle ne connaît pas du tout, comme elle va s’y impliquer et s’attacher aux enfants !

J’ai beaucoup aimé l’écriture de Léna Walker, et les différents rebondissements dans la vie des personnages. On s’imagine pouvoir savoir ce qui va leur arriver, mais en réalité on est surpris par l’évolution des relations entre eux.

Une couverture digne d’une devanture de librairie et un titre qui résume bien ce que l’on ressent a propos des livres.



Un roman feel good qui nous assure un agréable moment de lecture, une touche d’humour, un soupçon d’amour, et des tonnes de bienveillance.



L’auteure a su apporter de la tendresse et de la douceur pour abordé les sujets de la relation parents / enfants, la maternité, à travers différentes situations.



Des personnages bien décrits, attachants, que l’on peut croiser, connaître qui vivent comme vous et moi avec les maux que l’on peut rencontrer au quotidien.



Une histoire à la fois drôle et touchante, pleine de réalisme, mais aussi pleine d’espoir.



Un joli rappel sûr l’importance de la vie.

Pour Eva, les livres ont toujours été son échappatoire, sa bulle protectrice, son refuge. Cela fait 6 ans qu’elle travaille au côté de Marcel, dans la librairie au joli nom de Les mots qui dansent… Malheureusement, il se voit contraint de se passer de ses services.



Pétillante et sensible, Eva compte bien faire tout son possible pour ne pas que cette librairie ferme ses portes. Faute de moyens, Iris, sa meilleure amie d’enfance lui propose d’être baby-sitter auprès d’une famille résidente dans les quartiers chics de Paris.



Même si elle n’a aucune expérience, elle accepte de faire office de nounou auprès de 3 jeunes enfants Louis, Rose et Arthur. Eva va redoubler d’ingéniosité mais aussi s’adapter. S’occuper de ces enfants va faire rejaillir chez Eva des souvenirs d’enfance qu’elle va nous partager.



C’est un grand coup de cœur pour moi, c’est simple, j’ai tout aimé dans ce roman. De la page de couverture (elle est pas trop jolie?) a son contenu! Clairement je ne peux que vous le conseiller. Une écriture fluide et fine, ou sont abordés plusieurs thématiques telles que le harcèlement scolaire, l’estime de soi, l’anxiété et surtout la maternité sous toutes les formes.



Une lecture qui se dévore en très peu de temps tellement elle est addictive. Et sur ces dernières pages, mon cœur a fait un bon… tout ça pour dire que ce qui est sur c’est que je lirais d’autres romans de l’auteure.

Comment ne pas craquer devant cette couverture ? Ce roman ne pouvait qu'atterrir dans ma pile à lire. C'est un risque à prendre de choisir un roman par rapport à sa couverture. Mais je ne suis absolument pas déçue.

J'ai adoré cette lecture et je l'ai dévorée en 2 jours.

Dans ce roman, nous suivons l'histoire d'Eva, hypersensible, qui travaille dans une librairie tenu par Marcel qui a du mal à évoluer avec le temps et qui se retrouve en difficulté financière et se voit contraint de la licencier. Eva doit donc accepter un nouveau travail de garde d'enfants dans une famille bourgeoise, qui ne sera pas de toute tranquilité. Parallèlement, elle décide de tout faire pour sauver la librairie.

Ce roman est vraiment tombé à point nommé. Il est rempli de bienveillance. C'est un roman qui fait du bien même si les sujets abordés sont difficiles comme le harcèlement, la mort, les choix que nous faisons en tant que mère etc ...

Les personnages sont hyper attachants. L'écriture est fluide, légère.

Bref, un roman feel good comme je les aime. Un coup de coeur ❤. Je ne peux que vous le conseiller.

Ce roman, ode à la lecture et aux libraires, est une pincée de légèreté entre des lectures plus difficiles.

Une histoire fraîche, plaisante, tout en douceur, abordant - entre autres - des thèmes profonds tels que la disparition des librairies, le harcèlement scolaire, le droit à la différence, l’amour maternel, le manque d’attention des parents envers leurs enfants, l’émancipation.



En conclusion, Les petites merveilles vous fera passer un agréable moment de lecture.

Romy vit depuis un an chez sa grand-mère à Saint-Tropez où elle vend des soufflets dans une petite boutique. Un jour Romy fait une rencontre et dans le même temps un événement vient bouleverser sa vie. Romy part alors pour Paris pour tenter de réaliser un de ses rêves qui est de travailler à la télévision.



C'est le premier roman que je lis de cette autrice.  C'est un roman qui se lit facilement et sympathique pour l'été.



J'ai apprécié les personnages. Il y a quelques fois où j'avais envie de secouer Romy parce qu'elle se laisse assez facilement abattre parfois, elle a aussi un côté naïf qui fait qu'elle se retrouve embarquée dans des situations particulières.



L'histoire évoque les différences entre la vie parisienne et la vie sur la Côte d'Azur. Elle aborde aussi le monde de la télévision.



Je mettrais un petit bémol car j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de répétitions et elles ne sont pas toujours nécessaires à mon goût.

Une très jolie histoire sur l’amitié, sur les relations au travail, l’amour.



Trois femmes, trois générations et une grande amitié se créée. Chaque personnage se complète avec leur propre histoire, désirs…



Elizabeth la cinquantaine, la supérieure qui ne vit que pour son travail mais qui va se découvrir au fur à mesure de l’histoire.



Daphné 40 ans, mariée 2 enfants, assistante d’Elizabeth qui s’investit dans tous les domaines, personnelle et professionnelle, jusqu’au burn out.



Amandine jeune stagiaire qui découvre le monde du travail.



J’ai adoré leur franchise les unes avec les autres, l’entraide qui de créée pour finir en grande amitié. Simple, fluide et tellement émouvant. Ce livre nous fait réfléchir sur l’amitié, le bonheur. Nous sommes sur un thème qui est d’actualité. Le chômage, le burn-out, la confrontation avec la concurrence, la pression au niveau professionnelle, le surmenage que les femmes peuvent ressentir entre le personnel et professionnel ce qui nous entraîne dans la remise en question, le quête du bonheur, l’amour et surtout ici l’amitié. Il m’a permis d’ouvrir les yeux sur la chance que j’ai d’avoir une famille aimante, en bonne santé.

Une jolie surprise que ce roman qui a beaucoup tourné sur les réseaux sociaux...

On suit Eva, jeune femme de 26 ans, habituée des crises de panique et travaillant dans une petite librairie de quartier. En parallèle, il y a la famille Donadieu, fortunée et compliquée, à la recherche d'une nounou. Quand Eva voit son emploi de libraire menacé, elle décide de postuler pour cette famille et de sortir de sa zone de confort pour s'occuper des trois enfants.

C'est un roman tout doux... Fluide... Qui parle avec bienveillance des relations parents/enfants et de la maternité.

Dans cette histoire, la librairie est un véritable refuge, un endroit chaleureux, où on prend plaisir à retrouver Marcel, le propriétaire.

Des personnages touchants et sensibles, plein de fêlures et de forces pour une histoire pleine de tendresse.



En bref, une très jolie lecture pour ce roman feel-good... Un roman qui fait du bien... Qui rime avec douceur et espoir...

Un jour, j'ai changé de parfum ☺️

Jolie lecture signée Léna Walker, j'ai beaucoup aimé passer du temps en présence de nos trois compères : Elisabeth, Daphné et Amandine. C'est une lecture à trois voix. Ce sont trois collègues qui un beau jour se retrouvent à la porte de l'enseigne "Smart cosmetics", elles vont passer par plusieurs moments de doutes, remises en question, mini trahison mais surtout secrets dévoilés ! Le dénouement de cette histoire est inattendu ! Le pardon prime vraiment dans ce roman 🙏

Jolie découverte littéraire !