Citations de Lena Walker (95)
"Le chômage, c'est comme la cellulite, ça ne devrait pas exister."
La vraie vie, c'est l'instant présent, parfois les choses les plus simples sont les plus belles
"il ne faut pas sous-estimer le poids et la force des mots. Vous ne pouvez pas imaginer ce que cela m'a fait lorsque Amandine a prononcé ces quatre petits mots "Chloé est ta fille". Je lui ai demandé de répéter. Mais j'avais bien entendu. Quatre petits mots qui ont fait resurgir les démons du passé. Quatre petits mots qui allaient changer le cours de mon existence."
"Pour elle, un monde sans livres était un monde sans amour, triste, fade, désolant. Pour elle, la littérature était le berceau de l'éducation et de l'humanité. Il fallait que les gens s'évertuent à lire, à rêver, à s'entraider, à s'aimer"
Les petites merveilles
Léna Walker
"Elle" c'est Bernadette, femme de Marcel ...
" Transmets-leur la pasion de la lecture", c'est ce qu'elle ne cessait de lui répéter (à Marcel).
Pour elle, un monde sans livres était un monde sans amour, triste, fade, désolant. Pour elle, la littérature était le berceau de l'éducation et de l'humanité. Il Fallait que les gens s'évertuent à lire, à rêver, à s'entraider, à s'aimer."
p.99
La vie est un mystère. Il y a des choses qui ne s'expliquent pas, des choses qui arrivent et qui illuminent notre quotidien. Ces choses-là sont précieuses, comme les barres de fou rire que je me tape avec mon grand-père Jean-Pierre. Des choses auxquelles on ne s'attend pas, qui nous surprennent, nous titillent et qui ne s'oublient pas. Et puis ces choses bien s'en vont, s'évaporent et disparaissent, comme pour nous rappeler que tout est éphémère.
Il y a un livre pour chaque lecteur et un lecteur pour chaque livre.
La vie est jonchée de surprises. Tout n’est pas blanc ou noir. Il y a des nuances de gris.
Il y a un livre pour chaque lecteur et un lecteur pour chaque livre.
On a appelé ce phénomène le "syndrome d’effondrement" des colonies d'abeilles. La France a aussi été très touchée. Aujourd'hui, on ne sait toujours pas quel est le facteur clé de ces soudaines disparitions, même si on a quelques idées sur les causes. On parle des "4 P" : Parasites, Problèmes d'alimentation, Pesticides et Pathogènes. En ce qui concerne les parasites, le varroa, un acarien qui se nourrit en tuant les abeilles, est sans le doute le fléau majeur. Le problème d'alimentation vient tout simplement du fait qu'il n'y a plus assez de ressources en fleurs ou suffisamment de diversification. Les pathogènes résultent par exemple des changements climatiques ou des ondes magnétiques, et enfin je n'ai pas besoin de t'expliquer pour les pesticides, tu comprends que s'ils sont nocifs pour les êtres humains, ils le sont aussi pour les abeilles.
Parfois, il y a des choses qui ne s'expliquent pas. Une coïncidence, un concours de circonstances, un hasard, une synchronicité, peu importe comment tu appelles ça.
C'est souvent lorsqu'on a l'esprit apaisé que les bonnes idées nous viennent.
Peut-être que c’est ça la force des souvenirs, ce sont des moments, des situations qui mettent en éveil tous nos sens pour ressentir le goût d’un bonheur disparu ?
Non, je ne sais rien, et je ne suis pas certain de vouloir savoir. Parfois, vivre dans le mensonge est plus accommodant que de vivre avec une vérité qui dérange.
Comme des roses qui ont besoin de lumière, d’eau et de terre pour grandir, nos enfants ont besoin d’attention, d’amour et de bienveillance pour s’épanouir.
Eva y avait fui le monde réel des contraintes, des déceptions et des responsabilités, pour se réfugier dans celui des livres, lieu par excellence de tous les possibles.
Le pouvoir des mots : aussi bien responsables des pires maux et méchancetés que des plus grand bienfaits. Quelle contradiction.
Dans la vie, elle est persuadée qu'on a tous le choix., le choix entre se laisser vivre et vivre...
"Après tout, la vie n'est-elle pas un jeu où chaque pion a un rôle à jouer dans la société ?"
- Justement, c'est Paris, la capitale ! Et là-bas, on ne rigole pas. Tu ne dis pas bonjour à chaque personne que tu croises dans la rue ou dans le métro, ni en montant dans un ascenseur. Tu dois toujours attendre qu'une voiture te laisse traverser la route, même devant un passage piéton. Tu dois toujours attendre que toutes les personnes sortent du métro pour monter dedans.