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Critiques de Joseph O`Connor (299)
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L'étoile des mers

DUBITATIF : je n'arrive pas à décider si j'ai aimé ce livre, l'alternance du passé et du présent dans la narration m'a gênée, malgré cela l'écritude est agréable à lire. C'était très différent de ce que je m'imaginais.
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Maintenant ou jamais

Joseph, l'une des plus belles plumes de la littérature irlandaise d'aujourd'hui, vient de faire son grand coming out rock dans un superbe roman d'apprentissage.
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A l'irlandaise

Un père voit l'homme qui a cloué sa fille sur un lit d'hopital, échapper à la justice. Il veut se venger et se lance à sa recherche tout en tenant un journal pour sa fille, comme pour immortaliser ces moments pour le jour où elle sortirait du comas. Seulement voilà, cette histoire de vengeance prend soudain un court inattendu... Je ne puis vous en dire plus naturellement ! Une belle histoire, forte, humaine et humaniste.

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L'étoile des mers

Un livre d'une profondeur psychologique, d'une intelligence morale et d'une lucidité tout à fait remarquable, comparable à Joyce ou à Dostoïevski.
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Inishowen

Inishowen. Petit bout de terre, là-haut, tout au Nord de l'Irlande. Isolé du reste de l’Île Verte. Attaché au passé, bien plus que tourné vers l'avenir. Solitaire.



Solitaire. Comme Ellen Donnely, Américaine née en Irlande, condamnée par un cancer du pancréas. Quittant un époux qu'elle n'intéresse plus pour partir à la recherche de sa mère dont les traces la mènent à Inishowen.



Solitaire, aussi, Martin Aitken, flic de Dublin à qui la mafia locale veut faire la peau et qui reste marqué par la mort de son fils, enterré à Inishowen.



Parce que tout part de là, en fin de compte. D'Inishowen. Et que c'est là qu'Ellen et Martin trouveront refuge. Loin d'un monde qui, ils le savent bien, n'a plus grand-chose à leur offrir. Tout ce qui leur reste, c'est l'amour qui les unit. Et le maigre espoir qu'il leur apporte.



S'il fallait choisir un mot pour ce livre, ce serait "gris". Pas un gris uni. Non. Toute une palette de gris différents. Gris de la mer. Gris du ciel. Gris de la mort. Gris de l'espoir. Une multitude de gris. Comme une multitude des facettes qui font l'être humain. Qui font la vie. Tout simplement.
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Muse

J'ai beaucoup aimé.

C'est un livre que j'ai lu par petites étapes. En fait il a accompagné quelques moments où le sommeil s'en était allé de l'autre coté.

J'ai du faire un petit effort pour entrer dans le livre. J'ai eu du mal avec les partie où l'auteur s'adresse à l’héroïne en la tutoyant. Mais j'a trouvé cette histoire forte, comme l'est le personnage principale qui ose tenir tête à son metteur en scène, qui conduit sa vie avec une grande indépendance et du courage.

Je le recommande bien
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Muse

Captivant et émouvant : un beau roman qui retrace l'amour de deux êtres que tout séparait.





Captivant car difficile de lâcher la lecture de ce livre qui est à la fois un récit de type biographie mais aussi une reconstitution historique.

Ce qui m'a surtout intéressée, c'est le ton et le type de narration employé; ce n'est pas un roman historique mais plutôt l'histoire de cette jeune comédienne et de son amoureux un célèbre dramaturge irlandais du début du vingtième siècle.

Cette histoire de facture classique avec une très belle écriture classique aussi, dépeint la vie en 1908 début de la passion entre une jeune comédienne âgée de 19 ans et un dramaturge de 37 ans.

Molly est catholique et lui est protestant mais surtout ils sont issus de classes sociales différentes, la mère de Synge n'admet pas que son fils fréquente une « catin de comédienne ».

Ce qui est émouvant aussi c'est la force de cet amour face aux difficultés de leur existence : refus de la famille de Synge de reconnaître la jeune fille mais surtout le cancer qui frappe le dramaturge.



Du tragique donc dans ce roman, de l'amour aussi bien sûr mais de la tendresse également : « l'enchanteresse » ou Molly telle que la nomme son amoureux a toujours gardé beaucoup d'amour pour son « vagabond », jusqu'au bout, elle conserve une lettre de son amoureux.

La description de la fin de sa vie détruite par l'alcool, la faim et la solitude m'a beaucoup émue aussi.



La construction narrative avec l'alternance entre le passé et le présent ainsi que le « tu » employé par Molly lorsqu'elle se raconte ont contribué au plaisir de la lecture de ce roman.



C'est un livre à partager et à recommander à tous les passionnés de littérature.









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Inishowen

Plus que le décor d'un roman, Inishowen est un but, une mission, une quête qui guide nos deux personnages principaux, Ellen et Martin. Loin du roman à l'eau de rose que la 4e de couverture semble évoquer, ce roman nous entraîne dans le sillage d'un périple que nos deux personnages mènent. Ils sont blessés par la vie, torturés par leurs souvenirs ou par un manque d'information pour se construire... Ce roman est une découvert intéressante de le plume de Joseph O'Connor, que je compte bien continuer de découvrir par la suite...
Lien : http://lesquotidiennesdeval...
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Inishowen

Plus que le décor d'un roman, Inishowen est un but, une mission, une quête qui guide nos deux personnages principaux, Ellen et Martin. Loin du roman à l'eau de rose que la 4e de couverture semble évoquer, ce roman nous entraîne dans le sillage d'un périple que nos deux personnages mènent. Ils sont blessés par la vie, torturés par leurs souvenirs ou par un manque d'information pour se contruire... Ce roman est une découvert intéressante de le plume de Joseph O'Connor, que je compte bien continuer de découvrir par la suite...
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Muse

beaucoup de mal à terminer ce roman! le style utilisé : passé / présent, narration avec le "tu", phrases descriptives sans construciton grammaticale, est trop lourd pour moi...difficile aussi de s'y retrouver;

pourtant les descriptions de Dublin et ses contrées, l'opposition de 2 mondes religieux, 2 classes sociales, 2 personnalités, sont interessantes.
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Muse

En 1907, à Dublin, le dramaturge irlandais John Synge, trente-sept ans, et la comédienne Molly Allgood, dix-sept ans, jolie et pauvre, vivent une passion dévorante et contrariée.



Si les personnages de « Muse » sont parfaitement réels, Joseph O'Connor précise dans l'épilogue que « la plupart des faits qui sont racontés ne se sont jamais produits» et que les « biographes pourraient avoir envie de le battre ». Je ne suis pas biographe et je n'avais jamais entendu parler de Molly et John avant la lecture du livre. Autant dire que je n'ai pas lu « Muse » autrement que comme un roman. Un très grand roman, s'il en est.



L'histoire commence à Londres, en 1952, où nous découvrons Molly, vieille actrice alcoolique sur le déclin, contrainte de vendre des bouteilles pour subsister. John est mort depuis longtemps, ravagé par un cancer.



J'ai été subjuguée par le mode de narration de « Muse », tout à fait original. Le discours de Molly se parlant à elle-même, passe du « tu » au »je », d'un paragraphe à l'autre, parfois d'une phrase à l'autre, sans discontinuer. C'est ainsi que nous est livrée, par épisodes, avec d'incessants voyages entre présent et passé, l'histoire du Pygmalion et de sa Muse Molly l'« Enchanteresse », comme il la nomme.



Ces variations de pronoms personnels et d'époques, de genres aussi (lettres, scènes de théâtre...), déroutent. Pour éviter de se perdre, il ne faut pas être pressé. « Muse » est un roman qui se lit lentement, crayon à la main. A lire télévision éteinte, et surtout pas dans les transports en commun. Ce serait gâché. Je me suis réservé quelques soirées sans télévision, au calme, calée dans le canapé et du coup, relire certains passages pour être sûre d'avoir tout compris n'a pas été un problème. Muse est tellement bien écrit... Trop bien écrit? Figurez-vous que je me suis posé cette question bizarre.



Parce que toutes ces précautions, une lecture que j'ai essayée de rendre optimale, et surtout l'absolue beauté du roman, ne m'ont pas empêché de rester comme en dehors des lignes.



J'ai bien aimé Molly, personnage haut en couleur, amusant et triste. Elle peut jurer comme un charretier et se montrer d'une incroyable douceur, surtout lorsqu'elle s'adresse à son amant. Mais elle ne m'a pas réellement touchée. Trop occupée à admirer la langue admirable de l'auteur, à lire et à relire ses phrases somptueuses, je me suis rendue compte que l'histoire et les personnages m'ont moins intéressés, au final, que la prouesse littéraire que constitue ce roman.



Il ne faut pas passer à côté de « Muse » c'est sûr. Surtout parce qu'une écriture aussi exceptionnelle que celle de Joseph O' Connor ne se rencontre malheureusement pas tous les jours.



Parmi les nombreux passages soulignés, en voici un, que je trouve époustouflant:



« Elle considère le cancer qui le dévore comme une armée de minuscules lumières envahissant peu à peu ses entrailles, sans laisser le moindre recoin intact. Elle se voit elle-même les éteignant une par une (…) S'il tousse en sa présence, elle le bénit en silence. S'il a le souffle court, elle fait une prière pour lui. Comme si elle observait une grande ville à l'approche de l'aurore, elle voit les lumières de son cancer s'éteindre l'une après l'autre. Elle imagine ses poumons -rayonnant de douleur- et l'éteignoir de sa bienveillance se met à l'oeuvre. Si seulement elle pouvait les toucher-les toucher physiquement-, l'air qui est en eux s'en trouverait adouci, purifié, renouvelé, et les flammes qui ne cessent de les consumer s'évanouiraient en fumée, telles des mèches pincées entre ses doigts. » (p. 104)
Lien : http://bgarnis.canalblog.com
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Muse

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Muse

"J'ai aimé à une époque. C'était bien longtemps avant les boîtes de nuit et les escarpins remplis de vermouth. Il existe des portraits de l'homme que j'aimais." Plus de quarante ans après l'époque dont elle parle, Maire O'Neill se souvient et raconte le temps où elle était Molly Allgood à la scène, amante illégitime et controversée du dramaturge irlandais John Millington Synge à la ville, et son "Enchanteresse" au bord de mer qui abritait leurs rendez-vous amoureux des regards sévères de la société des années 1900.



La suite sur Culturopoing !
Lien : http://www.culturopoing.com/..
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Muse

Ceci est un achat compulsif, une envie de voyager dans le temps par la lecture. Si le lancement a été un peu laborieux, le temps de se faire à l'utilisation de "tu" pour parler au personnage principal, l'actrice déchue Molly Allgood, la lecture de ce roman s'est déroulée ensuite de manière très fluide, Joseph O'Connor nous fait voyager dans les terres du Wicklow, de Dublin et de Londres avec une grande facilité et permet à quiconque de (re)découvrir qui pouvait bien être ces deux personnages, les amoureux maudits du théâtre de Dublin, Maire O'Neill et John Millington Synge, l'auteur du Baladin du monde occidental.

Les amateurs de flaskbacks seront comblés, une lecture très belle, et enrichissante, en rappelant bien qu'il ne s'agit pas d'une biographie...


Lien : http://lesquotidiennesdeval...
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Inishowen

J'ai adoré ce livre !

http://celinesurinternet.blogspot.com/2011/05/inishowen-joseph-o-connor.html
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Redemption Falls

Lecture jeune, n°124 - Sur fond de guerre de Sécession, ce roman met en scène une foule de personnages et nous conduit de la Louisiane, aux Territoires des Montagnes, en passant par New-York, le Canada et les champs de batailles. Au coeur du récit, une petite ville minière et son gouverneur, l’ancien révolutionnaire irlandais le général O’Keefe ; un héros déchu, craint et méprisé de tous à commencer par sa femme, Lucia, si belle, si cultivée et qu’il a tant aimé... Des dizaines de personnages surgissent, dont Eliza, 16 ans, émigrante irlandaise qui part à la recherche de son frère Jeremiah. Ce roman grandiose et désordonné, nous décrit une nation qui se cherche dans la violence et une nature sauvage pas encore domptée. Redemption Falls est aussi une fresque de l’émigration irlandaise et alterne récits, ballades, rapports et articles de journaux. Le style de O’Connor fait merveille ; concis, rapide, haletant, et poétique. L’émotion sous-tend chaque page. Michelle Brillatz
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L'étoile des mers

L'avant dernier roman de joseph o'connor avant "redemption's falls". pas encore fini. ma critique suivra.
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A l'irlandaise

un roman extraordinaire. Tout simplement un chef d'oeuvre. in-dis-pen-sable
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A l'irlandaise

Un roman extraordinaire. in-dis-pen-sable!! Un chef d'oeuvre!!
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