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Citations de Heather Morris (235)


Tout dans cet endroit est un cauchemar.
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Voir un peu d'espoir dans cette noirceur n'est pas une faiblesse.
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Plusieurs hommes se joignent à lui en silence, un silence qui n'a plus rien de calme. Un mur de chagrin les entoure.
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Si tu te réveilles le matin, ce sera forcément une bonne journée.
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Cilka n'a que 16 ans lorsqu'elle est déportée. Très vite remarquée pour sa beauté par le commandant du camp de Birkenau, elle est mise à l'écart des autres prisonnières.
Mais à la libération du camp par les Russes, elle est condamnée pour collaboration et envoyée en Sibérie. Un deuxième enfer commence pour elle. Au goulag, où elle doit purger une peine de quinze ans, elle se lie d'amitié avec une femme médecin et apprend à s'occuper des malades à l'hôpital.
C'est ainsi qu'elle rencontre Alexandr, et qu'elle découvre que l'amour peut naître même dans les situations les plus dramatiques.
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Un livre magnifique
Cilka est le symbole de la femme courageuse, d'une force de caractère, de l'altruisme, d'une furieuse envie de vivre malgré les horreurs qui sont son quotidien....
On n'en resort pas indemne!
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De nouveau, Magda ouvre la bouche pour réciter le Kaddish.
- Mais il n'est pas juif ? observe Marta.
- Je pense que notre religion n'importe plus une fois que nous sommes morts. Ce sont Des paroles de réconfort, que nous croyons en Dieu ou non. .
La tête baissée, toutes, à l'exception de Cibi, récitent le Kaddish autour de la tombe d'un inconnu;
page 309.
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Toi aussi tu es une héroïne ma chérie. Que vous ayez choisi de survivre tous les deux, c’est déjà une forme de résistance face à ces salauds de nazis. Choisir de vivre, c’est un acte de défi, une forme d’héroïsme.
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Lale savait que tous les Juifs de Slovaquie devaient porter l'étoile jaune de David sur leurs vêtements. Il avait refusé. Pas par crainte. Mais parce qu'il se considérait comme un Slovaque avant tout : fier, têtu et même, il était prêt à le reconnaître, un brin arrogant quant à la place qu'il occupait dans le monde. Sa judéité était annexe et n'avait jamais influencé ses actes ou le choix de ses fréquentations. Si le sujet était abordé dans la conversation, il ne l'esquivait pas, mais passait rapidement à autre chose. Ce n'était pas un trait fondamental de sa personnalité. (p.196)
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En arrivant devant la porte d’Auschwitz, Lale lève les yeux sur les mots qui figurent sur le fronton: ARBEIT MACHT FREI. Il maudit le Dieu, quel qu’il soit, qui a permis ça.
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Il se demande s’il va, jusqu’à la fin de sa vie – courte ou longue – être défini par ce moment, ces chiffres tracer grossièrement sur sa peau : « 3 2 4 0 7 ».
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Puis l’homme prend ainsi font plonger dans l’encre verte, qu’il passe sur la plaie de Lale. L’opération n’a duré que quelques secondes mais Lale est tellement choqué que le temps semble s’arrêter. Il ramène son bras vers ses yeux et fixe le numéro. Comment un être humain peut-il infliger ça à son prochain ?
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Un officier SS tire sur sa veste qu’il jette à terre, déchire la manche de sa chemise, saisit son avant-bras et le pose sans ménagement à plat sur la table. Incrédule, Lale regarde le prisonnier tatouer l’un après l’autre les chiffres 3 2 4 0 7 sur sa peau.
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Choisir de vivre, c'est un acte de défi, une forme d'héroïsme.
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ARBEIT MACHT FREI

Le travail rend libre.

Il ignore où il se trouve, la tâche qu'il est censé accomplir, mais l'idée que, grâce à son travail, il pourra retrouver la liberté lui fait l'effet d'une mauvaise blague.
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Il ne s'agissait pas de présenter une leçon d'Histoire, mais une leçon d'humanité unique.
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Quand elles sont arrivées au camp, elles n'étaient encore que des jeunes filles, et maintenant, bien qu'aucune n'ait encore atteint l'âge de vingt et un ans, ce sont des femmes brisées, abîmées.
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Citation : "Il est facile de croire que le mal se cache dans le cœur de quelques hommes, mais le mal n'existe que lorsque nous le laissons grandir."
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Pour survivre, il faut demeurer invisible. Attirer l'attention, ne serait-ce qu'un instant, suffit souvent à vous condamner à une mort immédiate.
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Pénible : c'est ce que je retiens de ce récit tres mal écrit, sans relief, trompeur (on finirait par imaginer la vie paisible dans les camps de concentration...) et sans personnage attachant. Dommage voire dangereux car un tel ouvrage facile entache le devoir de mémoire. L'Europe n'a pas besoin de telles approximations en ce moment...
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