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4.23/5 (sur 32 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Florence Laggi a la chance de vivre au Pays Basque, où elle enseigne le yoga... la plupart du temps. Le reste, elle le consacre à l’écriture et à la lecture, et à ses voyages en Ecosse.

La trilogie du Clan Dalmore est le premier roman qu’elle finalise. Né du désir d’écrire sur ses deux pays d’adoption, d’en profiter pour parler de ses centres d’intérêt ( la magie, des légendes, l’Histoire), par le biais d’une trame qui serait une romance, mais pas que.

Son but ? Que les lecteurs passent un bon moment, découvrent des choses et si possible trouvent que même si le clan Dalmore est un pavé, il reste encore trop court !

Son premier cozy mystery, Une semaine de repos, a gagné le concours Alter Real Suspense 2023.

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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
On disait qu’une personne qui n’était pas concernée par un problème avait le recul nécessaire pour y apporter une vision plus constructive. Une nouvelle perspective, comme on s’éloigne d’une toile pour mieux la comprendre… ou la rectifier si l’on est peintre.
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— Ingrate ! Je me retrouve ici insultée et menacée par ma propre petite-fille, obligée de tenir un comptoir !
Antton arqua un sourcil interrogatif en fixant sa sœur jusqu’à ce qu’elle daigne concéder :
— Bon, d’accord, j’y ai été un peu fort. Mais sinon elle ne comprend rien.
— Un peu fort… Elle veut me tuer.
Exaspérée, Lily balaya l’air de ses doigts et Antton ne put s’empêcher d’admirer le sillon d’étincelles qu’ils laissaient derrière eux, au mépris de toutes leurs règles de sécurité. Oui, la magie débordait. Il souffla discrètement dessus pour les disperser, se disant qu’il attisait peut-être des braises.
— Non, juste te faire disparaître à jamais, tu vois tu n’écoutes rien.
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Au bout de trois jours dans ce village qu’elle avait choisi pour son calme et sa quiétude, la jeune héroïne partit dévaliser la pharmacie de son stock d’antidépresseurs, elle qui n’avait jamais pris que de l’homéopathie. Elle ne doutait pas qu’un séjour plus prolongé la verrait finir son existence gisant sur un lit d’hôpital, des perfusions fichées dans les bras, ses parents en larmes à son chevet et son frère tentant de lui extorquer un testament en sa faveur.
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Suzanne avait été trop faible, ne l’avait pas assez protégée, ne l’avait même pas vengée. Elle l’avait aussi empêchée d’agir. Quelle mère décente se conduit ainsi, et s’étonne ensuite que sa fille ne puisse trouver le bonheur ?
Des années à se souvenir de cette nuit où elle était allée aux écuries chercher une longe, et où elle avait marché jusqu’au bois. Elle sentait encore la corde autour de son cou, elle n’avait jamais récupéré sa voix d’avant. Cela n’avait été rien à côté de la suite. Pour avoir voulu mourir, le destin l’avait condamnée à en réchapper et l’avait privée d’amour et d’enfant. Ce n’était toujours pas le pire. Elle avait passé le reste de sa vie à avaler des médicaments censés calmer ses cauchemars récurrents, alors qu’elle savait que seule une revanche pourrait l’en délivrer.
Cela s’achevait maintenant, c’était même terminé, que ce soit depuis deux heures ou cinq minutes, et Marthe risqua un mince sourire.
- Je vais le faire, maman. Ils vont payer. Ils m’ont brisée. Mon bébé en est mort. Et toi, tu me disais que le temps allait tout arranger. Année après année. Tu m’as empêchée de me venger. Enfin, tout est à moi à présent, alors que la fête commence. D’abord Gaztelu, il n’en restera rien. Ni de la bâtisse ni de ce qu’il y a à l’intérieur, tous tes objets. Le village… On verra comment ils se débrouillent sans notre argent. Ils feront moins les fiers. Et surtout, je vais m’occuper de ton Amaya et de sa famille. Comment as-tu pu continuer à la fréquenter, à l’aider alors que sa fille m’a humiliée ? Ils sont toujours passés avant moi, avant mes souffrances. Je ne crois pas que tu m’aimais, tu sais, tu préférais les babioles entreposées là-bas, tu pensais avoir créé un paradis peut-être…
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Rappelle quand tu as récupéré tes neurones. Enfin, non, rappelle avant sinon je risque d’oublier jusqu’au son de ta voix. Je vais réviser mes conjurations pendant que tu te lamentes sur ton humain, je me demande ce qui est le plus inutile. Je ne te souhaite pas une bonne journée, c’est superflu, tu vas la passer la tête dans le seau nous le savons toutes les deux.

C’était l’idée qu’Hazel se faisait de la compassion, et elle avait raccroché sans autre mot de soutien.
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