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Citations de Charles de Gaulle (241)


Charles de Gaulle
Toujours le chef est seul en face du mauvais destin.
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Charles de Gaulle
Ces jeunes gens sont plein de vitalité. Envoyez-les donc construire des routes.

18 Mai 1968
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D'après les textes dits "constitutionnels" arbitrairement substitués à la constitution de la France, la source de l'autorité du "Gouvernement" de Vichy réside exclusivement dans la personne d'un vieillard de quatre-vingt-cinq ans dont il est notoire depuis plusieurs années qu'il est affaibli par l'âge.
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Charles de Gaulle
"Je ne vous ai pas bien compris, non parlo italiano !"

Le Général de Gaulle (dans une station service, à Rome)

by Chris Esquerre
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Les hommes ne se passent point, au fond, d'être dirigés, non plus que de manger, boire et dormir. Ces animaux politiques ont besoin d'organisation, c'est-à-dire d'ordre et de chefs.
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Juin

Augereau répondait à un officier de l'Empereur le 2ème jour de Leipzig (on lui disait de tenir ):

Ce bougre de s..... sait-il ce qu'il fait?Est-ce qu'il se
figure que je serai assez fou ou assez bête pour me faire tuer ou me faire prendre?

1920
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Fontenelle disait : "On perdrait courage si l'on n'était soutenu par des idées fausses."
août 1916
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Charles de Gaulle
Le patriotisme, c'est aimer son pays. Le nationalisme, c'est détester celui des autres.
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Charles de Gaulle
«La vieillesse, ce naufrage»
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Charles de Gaulle
Les exigences d'un grand peuple sont a' l’échelle de ses malheurs .
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Charles de Gaulle
La guerre, c'est comme la chasse, sauf qu'à la guerre les lapins tirent.
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Charles de Gaulle
Le pouvoir, c'est l'impuissance.
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Au caractère fractionnel des partis, qui les frappe d’infirmité, s’ajoute leur propre décadence. Celle-ci se cache encore sous la phraséologie. Mais la passion doctrinale, qui fut jadis la source, l’attrait, la grandeur des partis, ne saurait se maintenir intacte en cette époque de matérialisme indifférente aux idéals. N’étant plus inspirés de principes, ni ambitieux de prosélytisme, faute de trouver audience sur ce terrain, ils vont inévitablement s’abaisser et se rétrécir jusqu’à devenir chacun la représentation d’une catégorie d’intérêts. Si le pouvoir retombe à leur discrétion, il est certain que leurs dirigeants, leurs délégués, leurs militants, se mueront en professionnels faisant carrière dans la politique. La conquête des fonctions publiques, des postes d’influence, des emplois administratifs, absorbera désormais les partis, au point que leur activité se déploiera essentiellement dans ce qu’ils nomment la tactique et qui n’est que la pratique du compromis, parfois du reniement. Etant tous minoritaires, il leur faudra, pour accéder aux postes de commande, les partager avec leurs rivaux. D’où cette double conséquence que, vis-à-vis des citoyens, ils iront se démentant et se déconsidérant et que la juxtaposition constante, à l’intérieur du gouvernement, de groupes et d’hommes opposés ne pourra aboutir qu’à l’impuissance du pouvoir.
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Dans sa lettre, Roosevelt formule, d’autre part, son appréciation sur moi-même et sur nos entretiens. « De Gaulle et moi, écrit-il, avons examiné, en gros, les sujets d’actualité. Mais nous avons causé, d’une manière approfondie de l’avenir de la France, de ses colonies, de la paix du monde, etc. quand il s’agit des problèmes futurs, il semble tout à fait « traitable », du moment que la France est traitée sur une base mondiale. Il est très susceptible en ce qui concerne l’honneur de la France. Mais je pense qu’il est essentiellement égoïste. » Je ne saurai jamais si Franklin Roosevelt a pensé que, dans les affaires concernant la France, Charles de Gaulle était égoïste pour la France ou bien pour lui.
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Quels peuples savent, mieux que la France et la Grande-Bretagne, que rien ne sauvera le monde, sinon ce dont elles sont par excellence capables : la sagesse et la fermeté ?
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[le chef militaire en cas de guerre]
Tendre son esprit, concentrer son âme, forcer sa nature et celle des autres ; dans le flot des avis, comptes-rendus, renseignements, discerner le vrai du faux, l'essentiel de l'accessoire ; au milieu des passions qui s'agitent sous les attitudes, résister au doute, oublier la crainte, demeurer sourd à l'intrigue ; quels que soient la fortune, le tumulte, la hâte, paraître serein, ne s'abandonner point, ne se livrer jamais et, malgré l'assurance d'en haut et l'obéissance d'en bas, n'attendre rien que de soi-même et connaître qu'on est seul en face du destin.
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On ne fait rien de grands sans de grands hommes, et ceux-ci le sont devenus pour l'avoir voulu.
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L'action, ce sont les hommes au milieu des circonstances.
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Carnet de notes personnel

1923

Pasquier,le chancelier ,conseiller au parlement,prefet de Police sous l'empire,ministre sous la restauration,président de la chambre des Pairs sous Louis Philippe.
Il disait :
-J'ai prêté 13 serments .En suis-je moins considérer ?


La paix est le rêve du sage-La guerre est l'histoire des hommes.

Dans le dialogue entre Mephisto et Faust:
Mephisto :Au commencement était le verbe
Non!,répond Faust ,au commencement était l'action.

(Goethe)
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Et dans l'action, il ne faut rien dire. Le chef est celui qui ne parle pas.
août 1916
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