Norferville

Thilliez a abandonné Sharko, Hennebelle et consorts pour partir au fin fond du Canada, pour un récit qui fait vraiment froid dans le dos, pas seulement pour les latitudes explorées. On parle de violences extrêmes, de viols, d'exactions contre les amérindiens, de méchants blancs et d'encore plus méchants autres blancs. Tout en reposant hélas sur des réalités innommables et inacceptables, j'ai trouvé le récit un peu manichéen, et j'avoue préférer Thilliez quand il nous balade avec son couple vedette.

Très déçue.
Déjà il n'y a pas Lucie et Sharko et ça m'a manqué.
Et puis ça met du temps à démarrer à tel point que j'ai eu plusieurs fois envie de passer les pages.
Ce n'est pas son meilleur.
Je n'ai pas accroché.
La fin est invraisemblable.
Bref bof.

Très sympas mais pas transcendant...

J'ai beaucoup aimé mon voyage à Norferville, notamment parce que l'intrigue est profonde. L'histoire des autochtones au Canada est un vaste sujet, souvent méconnu, et j'ai apprécié que l'auteur se penche sur ce sujet.

Les personnages sont sympas, mais je n'ai pas été submergée d'empathie pour eux. Pourtant Léonie à une histoire touchante et encore plus pour Teddy, mais je n'ai ressentie d'attachement particulier, certainement parce que l'auteur passe beaucoup de temps a poser le décor, un peu moins à nous parlee de ces personnages. Dommage.

Quant au décors, oui, c'est une réussite, le grand froid et la solitude se ressentent.

En bref un livre qui se laisse lire, qui va potentiellement ouvrir la voie à plusieurs enquête, mais j'espère que l'auteur se concentrera plus sur ces personnages à l'avenir.

Belles lectures à tous.

Brrr, fait un peu frisquet non ? Ou la phrase la plus répétée de ce livre. Vous l'aurez compris, dans Norferville, on se les gèle pas mal. Pourtant, on peut pas dire que j'ai pas l'habitude, puisque je vis limite au pôle nord en ce moment. Enfin, du coup, c'est pas le truc qui m'a le plus dérangée, puisque je l'entends à longueur de journée.

C'était mon premier Thilliez, alors que ma maman les a presque tous saignés, et honnêtement, j'ai pas surkiffé (waw, ça rime). Je m'attendais à beaucoup plus accrocher, à avoir envie de découvrir la suite, à ne pas pouvoir souffler, et en fait, j'ai trouvé ça franchement mou. La plume est belle, alors ça contrebalance et permet de ne pas trop s'ennuyer, mais pas suffisamment que pour avoir envie de continuer.

J'ai eu beaucoup de mal avec les personnages, je n'ai pas du réussi à m'y attacher, et le fait qu'on nous intègre une romance à deux balles (pan, pan) et sans grand intérêt au milieu du livre m'a un peu dérangée.

Heureusement, ça bouge un peu plus à la fin, avec de l'action et des révélations, mais rien qui m'a surprise ou laissée bouche bée, et puis, je trouve que c'était un peu facile, soudainement.

Je laisserai tout de même sa chance à Thilliez une seconde fois, mais ce ne sera pas pour tout de suite, je pense..

Un peu déçue de ce dernier roman. Je m'attends toujours à avoir un dénouement incroyable et la je suis un peu restée sur ma faim. Cependant j'ai bien aimé plonger dans le grand froid du Canada. En apprendre un peu plus grâce à cette histoire sur ce qu'est la vie la bas des contraintes et ses changements.

Pour ma part, c'était une bonne lecture mais sans plus. Tout d'abord, j'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire, j'ai trouvé le début assez lent à se mettre en place. Par contre, une fois que l'enquête démarre, les chapitres défilent.

Pourtant il n'y a pas de véritable surprise, j'avais compris qui était coupable mais la façon dont l'enquête se déroule c'était plutôt sympa à lire et on passe un bon moment. J'ai quand même été surprise à la fin par le scénario imaginé mais je ne vous en dis pas plus.

J'ai vu pas mal d'avis se plaindre de la répétition du mot "autochtone" dans ce livre, personnellement cela ne m'a pas dérangé et la plume de monsieur Thilliez est toujours aussi agréable. La description de l'endroit vous donnera l'impression d'y être alors couvrez-vous bien car ça caille !