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sur 271 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Voici un Trés beau récit porté depuis des années par Vanessa Schneider, le portrait émouvant de sa cousine Maria, actrice , fìlle de la soeur aînée de son pére.

Objet de fascination, à la fois tendre et morbide, se souvient Vanessa, alors enfant..... 20 ans les séparent .
Elle venait chercher un peu de calme dans l'appartement bohème familial .

" Tu restes ma cousine, ce bijou de famille cassé et précieux, gardé au fond d'un tiroir secret. "
" Qui est cette actrice qui semble avoir eu tant de succés et dont on ignore désormais jusqu'au nom ?
L'auteur avec une tendresse infinie, mesurée, pudique, très tenue , colére aussi, évoque la Maria de 20 ans, sa beauté à couper le souffle, ses gestes brusques, ses sautes d'humeur , son enfance pour le moins chaotique.

Mais surtout décrit gravement à l'aide de phrases justes ---prégnantes---la lente descente aux enfers de Maria, sa prostration, le choc de la sortie du film " le dernier tango à Paris" , à la fois révélée et brisée par le tournage infect , violent , un huit - clos de sexe qui l'a cassée, les attaques virulentes, les crachats dans la rue, trop de tout, " dans ta vie, trop de désirs, d'agressivité, de reproches, de tentations, trop de caresses et trop de coups " .....
Enfant Vanessa a connu , et même enduré , l'envers du décor.

Comment ne pas prendre en pitié une aînée drapée dans les vapeurs de marijuana, les bras bleuis par les injections d'héroïne , ses galères, ses souffrances, ses douleurs , son impréparation à la gloire et au scandale , ses tourments , sa fragilité , son desespoir, sa honte, ses excès , drogue , alcool, enfermement ?

Vanessa balaie d'un revers de main les idées toutes faites où l'on a voulu réduire Maria .

Elle déploie de façon intimiste un tableau plus large de sa famille , des personnages hauts en couleur,la politique , le cinéma , cet oncle Jeannot bavard , bruyant , exubérant , triomphant , noceur , contant ses aventures homosexuelles frénétiques , mort un matin dans un bar avec huit grammes d'alcool dans le sang .

" Cette famille, ma famille où la folie et le malheur ne sont jamais Trés loin ...." Ce milieu qu'elle dessine avec drôlerie et justesse, insolite, incommode, révolutionnaire, des parents écolos avant l'heure , admirateurs de Mao ....
Où l'on côtoie Brigitte Bardot, Jeanne Moreau, , Delon, Bertolucci, Gélin, Jean - Pierre Léaud , où l'on se rend à Londres, Paris, en Californie, à New- York ou au Brésil dans les années 70....


L'écriture est précise, grave, tout en retenue, expressive, juste .

Elle dit la grâce exquise de Maria, ses souffrances jamais guéries ....ses faiblesses ....

Un Trés bel ouvrage pudique et enlevé qui montre aussi l'histoire intime de Vanessa reporter et romanciére, "Parce que cette histoire a forgé la mienne, qu'elle a forgé ce que je suis ....."

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Maria Schneider était une actrice star des années 70, dotée de beaucoup de talent mais qui se brûla les ailes dans les miasmes du monde du cinéma. Même si je n'ai jamais visionné le film « le dernier tango à Paris » de Bernardo Bertolucci qui la fit découvrir au public avec notamment Marlon Brando, j'en avais beaucoup entendu parlé, surtout depuis l'émergence du mouvement « Me too » de par la scène tragique du viol et de la motte de beurre.

L'auteure, Vanessa Schneider, journaliste de profession, était la cousine de l'actrice. Maria, cousine qui – d'un côté – faisait rêver de par son métier mais aussi cette cousine qui s'est vite enfoncée dans les affres de l'alcool, des sorties jusqu'à l'aube et de la drogue facilement accessible. Beaucoup lui ont tourné le dos au moment où elle avait le plus besoin d'eux.…

Au fil des pages, on y rencontre les plus grands noms du cinéma et on fait un plongeon dans les années 70-80 où il faut l'avouer, le monde du cinéma était clairement misogyne et machiste. En plus du traumatisme occasionné par le tournage de ce film, Maria a dû grandir loin de son père. Ce dernier célèbre, Daniel Gélin, ne fera sa connaissance pour la première fois qu'aux 16 ans de cette fille adultérine et ne la reconnaîtra jamais légalement.

J'ai beaucoup aimé ce livre qui retrace toutes les choses qu'une cousine aurait voulu dire à une cousine célèbre, sans vraiment pouvoir mais aussi oser le lui dire quand elle était encore en vie. Souvent prenant et tendre, c'est écrit avec beaucoup de poésie et est l'un des plus beaux hommages qui soit, selon moi.

Une phrase m'a particulièrement marquée : « Je ne sais pas si c'est le récit que tu aurais souhaité, mais c'est le roman que j'ai voulu écrire ».
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Hier, je ne savais pas qui était Maria Schneider. Ce soir, j'ai envie de raconter sa vie à tout le monde (à vous conséquemment). Ne serait-ce pas le signe d'une exofiction réussie?

Qui de mieux que sa cousine, Vanessa Schneider, reporter au journal le monde, pour la raconter, romancer l'existence de celle qui fascina tant les journaux de l'époque ?

Maria était actrice. Elle a vendu son âme à 20 ans dans le film qui l'a autant propulsée que détruite. Un dernier tango à Paris, de Bertolucci, aux côtés de Marlon Brando, 50 ans à l'époque. C'est à ce moment-là qu'elle est morte, mais c'est en 2011 qu'elle rendra son dernier souffle et que sa cousine commencera le récit.

Au nom de l'Art et surtout pour que le film fasse du bruit, pour que Maria simule parfaitement l'humiliation, Brando et le réalisateur ont manigancé une scène improvisée sans lui en parler. le monde entier l'a ainsi découverte face contre terre, le postérieur enduit de beurre. Toute sa vie, les journalistes n'oublieront jamais de lui reparler du Tango et lui offrir des jeux de mots scabreux.

Cette scène violente non écrite dans le script serait aujourd'hui punissable par la loi, mais la jeune Maria de l'époque n'avait pas conscience des retombées psychologiques que ce film aurait alors sur elle.

Maria n'avait pas les armes pour supporter tant de pression, tant de médiatisation. Chassée par sa mère à 15 ans, un père (Daniel Gélin) qui ne l'a jamais reconnue, elle n'a pu que sombrer dans le désastre et la drogue dure. Après le Tango, elle ne tournera plus que complètement défoncée, offrant mille et un scandales à la presse avide de scoops.

Pour mieux comprendre qui elle était, Vanessa Schneider retrace son parcours familial, leurs origines communes, une famille folle, engagée, des vrais et des faux enfants, des pères éparpillés. le père de Vanessa était son oncle, et c'est chez eux que Maria s'est réfugiée à 15 ans. Quelques années plus tard, à la naissance de Vanessa justement, c'est Brigitte Bardot qui l'a accueillie en personne. Elle la soutiendra toute sa vie, Maria, sa petite protégée. D'autres personnalités jalonneront son existence et donc ce livre passionnant, on y croise Patti Smith, Alain Delon, Frederic Mitterand, Jean Seberg. Des soutiens indéfectibles, ceux qui l'aimaient et qui ont su lui dire.

L'écriture est parfaite, c'est celle que j'aime, un style fluide au service d'une narration concise, directe. Je vous le recommande !
Lien : https://agathethebook.com/20..
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En refermant Elle s'appelait Maria Schneider, je me suis rendue compte que les livres de Vanessa Schneider m'accompagnaient depuis dix ans maintenant, depuis le pacte des vierges, je me souviens avoir emprunté en ebook, un des premiers, et maintenant, je lis le tout dernier roman, qui vient de paraître en poche. Je l'ai acquis à la librairie la plus proche de chez moi.
Elle s'appelait Maria Schneider, c'est le portrait de la cousine de l'auteur, célèbre presque malgré elle, dont j'avais entendu parler dans Initiales BB – Brigitte Bardot parlait d'elle avec beaucoup de tendresse. Pourquoi je dis « malgré elle » ? Parce que, toute sa vie, on ne lui a parlé que d'un seul et unique film : Dernier Tango à Paris. Et, pendant des décennies, on a refusé d'entendre, d'écouter, ce qu'elle avait à dire sur ce film, ce qui s'était vraiment passé. Il a fallu la vague #Metoo pour que l'on comprenne enfin la portée des mots du réalisateur – qui disait lui-même ne pas avoir prévenu l'actrice, parce qu'il ne voulait pas qu'elle joue l'humiliation, il voulait qu'elle soit humiliée. Combien de réalisateurs ont agi ou agissent toujours ainsi ? A combien encore ne donne-t-on un bâton d'impunité à cause de leur talent ? A méditer.
Moi-même, j'ai commencé par parler du film, alors que le récit de Vanessa Schneider nous parle de l'ensemble de la vie de Maria, de sa naissance dans une famille dysfonctionnelle à sa mort. Cette famille, c'est la famille Schneider, dont l'autrice parle inlassablement à travers ses livres, cette famille dont chaque membre tente plus ou moins de se raccrocher à un autre membre, tente d'exister, avant de se consumer, qui à cause de l'alcool, qui à cause de la désespérance. Vanessa raconte son enfance en dehors de ce qu'elle aurait pu attendre – son père était haut-fonctionnaire, sa mère femme au foyer – et cette cousine qui jaillissait parfois, cette cousine qui se droguait, souvent, et qui a fini par décrocher. Comment d'autres membres de la famille n'ont pas pu, ou tentent encore de le faire. Vanessa était une enfant à qui on ne cachait rien, parce que Dolto avait dit qu'il ne fallait rien cacher aux enfants – y a-t-il un extrait dans lequel elle dit qu'il faut tout de même choisir les mots et le moment ? Je ne sais pas, contrairement aux parents hippies perdus de Vanessa Schneider je n'ai pas lu Dolto. Vanessa, ses parents, ses oncles et tantes avant elle, ont vu et entendu des choses qu'ils n'auraient pas dû entendre, mais avec lesquels ils ont dû vivre – et mourir aussi.
L'autrice nous prévient, on a dit, on a écrit beaucoup de choses qui étaient fausses sur sa cousine, les journalistes ne se donnant pas toujours la peine de vérifier leurs sources. Vanessa, l'enfant, est partie à la recherche de sa cousine et a mis des mots sur sa vie, sur ses errances et ses douleurs. Et ses joies ? Elles sont rares. Parti-pris de l'autrice, comme pour le quatrième de couverture, Vanessa Schneider s'adresse directement à sa cousine – comme pour lui dire ce qu'elle n'a pas eu le temps, ou pas pu lui dire de son vivant. Prenant.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Après le 'Tango', tu n'as plus dessiné. Nous gardions chez nous les vestiges de cette passion éteinte. Lors des tristes week-ends à la campagne je contemplait tes travaux. Un détail m'intriguait particulièrement, tes personnages étaient dotés de très long cous, à la manière des girafes....Maman m'expliquait que c'était cela être un artiste, s'affranchir des règles formelles et du bon goût....Je percevais autre chose, tes personnages voulaient voir plus loin que les autres...percer les secrets de l'horizon.
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Le livre qu'elles projetaient d'écrire à quatre mains, nous ne le lirons jamais. Maria Schneider est morte en 2011, et c'est seule que sa cousine Vanessa Schneider, journaliste et romancière, s'est attelée à ce récit, qui ne remplace pas l'ouvrage qui n'a pas été écrit, qui ne vient pas pallier son absence — qui est simplement tout autre, et très beau. Près de vingt ans séparent l'auteure de celle qui fut, durant son enfance, une présence familière et aimée et un objet de fascination. Maria, 20 ans et des poussières ; Maria, ses sautes d'humeur et ses gestes brusques ; Maria drapée de vapeurs de marijuana et les bras bleuis par les injections d'héroïne… « J'ai peur, mais je reste. Quand tu es là, je ne veux rien manquer », se souvient Vanessa, évoquant ces années durant lesquelles l'actrice, fille de la soeur aînée de son père, venait chercher un peu de calme dans l'appartement familial et bohème. On connaît les grandes lignes de l'existence de Maria Schneider, à la fois révélée et brisée par le tournage infect du Dernier Tango à Paris (1972) — et dès avant, par une enfance chaotique. Ce destin, c'est avec un mélange prégnant de tendresse et de colère contenue que Vanessa Schneider le nettoie des poncifs auxquels on a voulu le réduire. Elle en scrute les vestiges et en rêve les ellipses. Elle le déploie de façon intimiste et en déplace le centre de gravité en l'inscrivant dans un tableau familial plus large, « cette famille où la folie et le malheur ne sont jamais très loin… ». Un biotope insolite et incommode dans lequel elle-même a grandi, vingt ans après Maria, dans les années 1970, qu'elle évoque avec une belle justesse. Tour à tour élargissant puis rétrécissant sa focale, sans jamais perdre de vue Maria, s'autorisant à en dire la grâce, les faiblesses et les souffrances, d'une écriture précise et grave, pleine de retenue — « parce que cette histoire est aussi la mienne, qu'elle a forgé ce que je suis. Qu'elle m'appartient ».
Lien : https://www.telerama.fr/livr..
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Pour être transparente, je n'avais jamais entendu parlé de Maria Schneider, ni de ce fameux film qui la propulsa en une des magasines à scandales. Dernier tango à Paris.
L'actualité est parfois étrange. J'ai débuté ma lecture le jour du décès du réalisateur du film. « Bourreau » de Maria Schneider. Celui par qui tout à commencer, même si la question se pose de la responsabilité de cet homme ? Lui et tous les autres autour qui n'ont pas décelé sa détresse, sa faiblesse et sa soif de réussir à tout prix sans être préparer à « payer le prix ». Son père, sa mère, Brando, Bertolucci... .
En pleine libération sexuelle post 68, le milieu très masculin du cinéma profite de cet éclat. Les dénonciations récentes ont mis en avant un nombre incroyable d'abus dans la profession.
Maria Schneider en a été la victime. Détruite, exposée aux charognes, Maria ne supporte plus d'être résumée à ce film. La descente aux enfers commence avant même l'avant première du film.
Drogues dures, séjour en hôpital, detox, Maria alterne les situations désespérées sous l'oeil de sa cousine : Vanessa.
Dans ce récit-roman, on vit l'histoire de Maria à travers elle. D'autant plus touchant et vibrant que celle ci se remémore ses souvenirs d'enfance. On côtoie les frasques de Maria racontée, cela peut paraître paradoxal, de manière douce avec bienveillance, mais aussi l'enfance/l'adolescence de Vanessa. Un savoureux mélange sous une plume délicate, précise et grave.
Un récit au service d'une vie brisée. Un hommage à sa très chère cousine.
J'ai été touché par ce destin, cette ascension aussi fulgurante que destructrice. Cette réhabilitation en douceur des années après. Un très joli roman. .
#tutappelaismariaschneider #mariaschneider #vanessaschneider #editionsgrasset #grasset #bookstagram #instabook #rentreelitteraire2018
biblioo.philia@pluume_lectures top je ne les ai pas lu, je vais les ajouter à ma liste de Noël 😘
pluume_lectures@biblioo.philia ce sont de très bons choix 👌🏻 La révolte est chroniquée sur mon compte tout comme La vraie vie (celui-ci tu en as forcément entendu parler!). Je n'ai pas encore posté mon avis sur le témoignage mais ça devrait arriver dans les prochains jours :)
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Un magnifique hommage à cette cousine broyée par le monde du cinéma. Un récit dans lequel Vanessa Schneider témoigne par le prisme de sa famille d'une époque où sa cousine Maria s'adonna à tous les excès. Fille non reconnue de Daniel Gélin, fille d'une mère qui jamais ne s'intéressa réellement à elle, Maria Schneider grandit tant bien que mal et mûrit comme elle peut.

Le récit plonge le lecteur dans les années 70. Une époque que l'auteure décrit tant par les fastes de personnages célèbres (acteurs, chanteuses…). Mais au-delà de la mise en lumière de sa cousine qui fut détruite par son rôle dans « Dernier Tango à Paris », c'est surtout la fragilité de cette dernière qui est évoquée et sa vie parmi les plus grands du cinéma. Et pourtant, qui se souvient d'elle ? Son nom s'efface peu à peu des génériques mais l'on comprend que ce qui l'a surtout blessée c'est cette place dans une famille qu'elle aura finalement cherché toute sa vie. Cet être si fragile s'est adonné à tous les excès et notamment ceux de la drogue. Mais il y a avait un roc dans son existence qui était toujours là au coeur de ses tourments : les parents de Vanessa Schneider qui toujours l'accueillaient, la recueillaient. Et Vanessa qui grandit avec l'ombre de cette cousine, malmenée, excessive…

J'ai adoré ce livre, cet hommage si pudique finalement mais un hommage quand même. C'est tellement bien décrit et bien écrit.

Lien : http://jadorelalecture.com/2..
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Récit très émouvant de la vie de Maria Schneider marquée trop jeune par un rôle brisant tous les tabous.
On retrouve également la folie libératrice des années 70 où tout était possible, où l'extase des envolées de la drogue côtoyait le sordide.

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Vanessa SCHNEIDER raconte avec pudeur, tendresse et réalisme l'histoire de sa cousine Maria que vingt ans séparent.
Cette cousine, elle l'a régulièrement vu chez elle enfant. Elle l'a connue triste. Elle l'a connue joyeuse. Elle l'a connue droguée. Elle l'a connue en manque. Elle l'a surtout connue mal aimée. D'abord par ses parents. Puis par le milieu du cinéma. Enfin par le public.

Maria SCHNEIDER, cette jeune fille qui se rêvait actrice et qu'un rôle maudit a brisé à tout jamais : celui de Jeanne dans le Dernier Tango à Paris.
C'est dans ce film, qu'une scène non écrite dans le scénario original - et d'une extrême violence pour elle - scellera son avenir. Un traumatisme qui ne sera jamais effacé par un rôle qui l'aura détruite et pour lequel elle sera marquée au fer rouge tout au long de sa carrière et de sa vie.

Avant d'ouvrir ce livre, le nom de Maria SCHNEIDER ne me disait rien. Il ne me parlait pas. Je ne l'avais même jamais entendu.
En refermant ce livre, j'ai eu l'impression de quitter une petite soeur, à l'histoire touchante et émouvante. Une petite soeur que j'ai eu envie d'épauler, de soutenir. Une petite soeur que j'ai eu envie de prendre dans mes bras pour la rassurer et lui dire que tout irait bien.

A l'ère du mouvement #metoo, ce document a une résonance toute particulière et mérite d'être lu.
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