Une petite fille de 8 ans rêve d'avoir un chat ( mais c'est impossible son papa est allergique) et des parents normaux ( les siens sont des artistes plutôt barrés). Elle raconte dans son journal ses petits soucis : elle a du mal à se faire des amis, son grand frère l'horripile....
D'une lecture facile, mais on peut regretter le manque d'actions....
A partir de 8 ans
Commenter  J’apprécie         50
Un petit roman sur une fillette persuadé d'être tombée dans la mauvaise famille, au grand damne de ses amies. Et pourtant qui ne rêve pas d'avoir des parents artistes de cirques ? Mais les plaisanteries de son père ne la font rire qu'à moitié, d'autant que es allergies paternelles condamnent Taloula à faire un croix sur un éventuel animal de compagnie. Elle rêve d'un chat rien qu'à elle, mais, surtout, d'une vie plus classique.
Commenter  J’apprécie         10
Pétri d'humour, à la fois simple et intelligent, cette histoire écrite sous forme de journal intime d'une petite fille rigolote séduira les primo-lecteurs.
Commenter  J’apprécie         20
Une 8 ans se confie à son journal. Chronique sans vraie histoire, un peu drôle un peu émouvant. Auteur rencontré.e à Aubagne 2018
Commenter  J’apprécie         00
Parsemé de quelques notes d’humour, notamment dans les blagues du père, et écrit dans une langue très facile, on aurait aimé en savoir davantage sur le monde du cirque et le mode de vie des saltimbanques.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Cher journal,
J'ai des pistes pour avoir un comportement ir-ré-pro-chable ( tu sais, pour que la maîtresse m'adore !).
Par exemple, j'ai remarqué l'année dernière qu'une maîtresse déteste qu'on réponde avant les autres. Ou pire: à la place des autres. J'ai donc appris une chose très importante : garder ma langue dans ma bouche quand un camarade un peu stupide ne connait pas la réponse.
De même, il est inutile de lever le bras en sautillant sur son siège et en poussant des petits : "HUm, hum, moi je sais, moi je sais !" La maîtresse n'aime pas non plus.
Quelle drôlerie.
Ca sent le vécu, c'est sûr...