AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,87

sur 26 notes
5
4 avis
4
4 avis
3
3 avis
2
1 avis
1
0 avis
Ce que certaines de mes amies appellent un style plat, pour moi est un qualificatif trop générique. Car ici comme chez l'Iranienne Zoya Pirzad le style “plat” est plutôt une écriture sans fioritures , à l'état dirais-je même brut , qui laisse la place au sujet l'enveloppant d'une atmosphère d'indifférence, de nonchalance , pour en faire une ambiance neutre. le vrai style « plat » est du mauvais, ce qu'on rencontre souvent dans des policiers de gare, des feel-goods style Barbara Cartland. Je préfère ce style dénommé « plat » par certains 😊, à la prose de Coulon et Eric Reinhardt , une prose si élaborée qu'il en devient de l'artificiel, du toc ( Sorry pour les fans, surtout sorry à mon amie Chrystéle 😊). Ici le style « plat » est assez subtil 😊,”À peine avait-il remarqué le léger strabisme qui donnait à son regard une ligne de fuite insaisissable.” La naïveté des titres de chapitres l'accentue , l'aplatissant encore plus à son avantage. Un style proche d'Yves Ravey , l'ironie en moins. Chaillou sème comme lui des indices dès le départ , en italique, des petits mots , symboles des forces occultes à l'intérieur de soi, comme des êtres vivants, impérieuses, indomptées , message de l'histoire 😁.
L'histoire aussi est plate😊. Il y a deux hommes , deux femmes, des jumeaux. Deux couples, un des couples a les jumeaux , l'autre , pas d'enfants. Les deux couples se fréquentent , les jumeaux adorent l'autre couple non parent. Les deux hommes deviennent inséparables….
Chaillou raconte dans la première moitié du livre l'histoire de la perspective d'un seul couple, celui qui a les jumeaux, “Son mari ne voyait plus le monde que par les yeux de ce nouvel ami.” Dans la deuxième moitié partie le récit frôle la perspective du second couple pour retourner au premier. Je ne sais que penser de ce récit qui prétend mesurer, la fragilité des choses, l'équilibre entre les êtres, la forme qu'on donne à son existence, en bref la vulnérabilité de l'être humain. Il se lit d'une traite, par le style, le sujet et une psychologie en fin de compte assez mince et superficielle. Bien qu'il se passe à Noirmoutier, j'ai aussi été moins happée par les descriptions de paysages de la côte Atlantique comparées à celles de “Cezembre” de Gestern. J'attendais quelque chose de plus percutant.
Merci Hélène , merci pour la provoc qui me la fait lire, une lecture que je ne regrette pas, mais j'attendais plus 😊.

« Se perdre. En l'autre se diluer. »
Commenter  J’apprécie          10123
Marc et Hélène Dumont et leurs jumeaux mènent une vie confortable et sans histoires, à Saint-Nazaire pendant la semaine, à Noirmoutier le week-end. Un jour, un nouvel employé, Paul Delacroix, arrive dans l'entreprise de Marc. Lorsqu'ils se rendent compte que les deux familles ont chacune une maison à Noirmoutier et que les deux hommes partagent aussi une passion commune pour le tennis, ces derniers se lient d'amitié ; une amitié de plus en plus étroite, avec un lien de dépendance qui semble s'établir entre Marc et Paul… ● le maître mot de ce bref roman me paraît être la délicatesse. le caractère des personnages est finement ciselé. Mais surtout l'évolution des rapports entre Marc et Paul est remarquablement racontée, rendant la lecture addictive alors même qu'il y a très peu d'action. C'est vraiment très bien fait, je recommande ! ● Je remercie #Netgalley et les éditions #NoirSurBlanc de m'avoir permis de lire cet ouvrage.
Commenter  J’apprécie          610
Amoureux de l'Atlantique, des îles de Ré ou de Noirmoutier, n'avez-vous jamais craint que, sur ces aquarelles qui ont changé ces vues en clichés, le lavis qui en rend les côtes alanguies ne les délave au point de les dissoudre ?

Ces dunes d'où émerge la silhouette heureuse d'une bicyclette, ces volets bleus que l'on ouvre quand sonne l'heure de l'estive, les barques de pêche et les cornets de frites. Bottes en caoutchouc, ciré jaune. Chocolat chaud et embruns authentiques. Vincent Delerm jamais loin. Chatenay-Malabry et pull croisé sur les épaules. C'est pas que je n'aime pas, j'en suis bien trop proche pour dire cela. C'est que ça peut finir par être terne. Terne, affecté et très vide.

Aussi, quand sur les conseils insistants d'une amie, j'ai commencé le goût de la trahison et me suis immergée dans ce petit monde bourgeois en villégiature à Noirmoutier, j'ai vraiment tendu le dos, attendant comme une fatalité les cartes postales égocentrées d'une petite élite donnant à ses minuscules problèmes la résonnance de drames métaphysiques.

Et du terne, il y en a. Une écriture sans aspérité ni effet de manche qui décrit sobrement les occupations de Marc, cadre dans une cimenterie à Saint Nazaire et sa petite famille. Sa femme Hélène, leurs jumeaux et lui profitent d'une petite maison de famille des années 60 pour passer leurs week-ends sur l'île de Noirmoutier. « Leurs week-ends obéissaient à des règles tacites. le samedi matin, Hélène dormait tard. Marc, lui, se levait vers sept heures trente. Il prenait son petit déjeuner dans la cuisine, comme son père avant lui, puis il se rendait à l'Herbaudière pour son entraînement de tennis. » du terne millimétré donc. Dans des chapitres très courts ne laissant jamais place à autre chose que cette narration imparablement classique et ordinaire.

On ne rentrera pas dans la psyché des personnages car eux-mêmes n'y ont pas accès. Au moment de se rencontrer, Marc et Hélène découvrent « qu'ils avaient une façon commune d'envisager la vie. Avec distance, disait Hélène. Sérieux, complétait Marc. Un mélange de rationalité et de lucidité dont ils ignoraient l'origine – pourquoi cette alchimie les constituait -, mais qu'ils acceptaient chacun comme étant leur nature. » Une telle opacité à soi-même dans un univers qui n'attend rien d'autre de vous, c'est un coup à vivre son existence comme une longue et très plate promenade sur une jetée interminable, immensément grise.

L'arrivée à la cimenterie de Paul Delacroix va faire événement. Enfin, façon de parler car il ne s'agit de rien d'autre que d'un nouveau collègue qui, lui aussi, passe ses week-ends à Noirmoutier et, lui aussi, joue au tennis. Ce qui, vues les origines socioculturelles des deux personnages, n'a rien de très disruptif. Voilà donc les deux hommes commencer à se fréquenter, à s'apprécier. Les couples à se recevoir les uns chez les autres.

C'est là que la narration sans relief prend tout son intérêt. S'en tenant à l'énumération factuelle des événements, les chapitres sont réunis dans des sections dont les titres participent à cette platitude assumée : « Paul et Marc étaient devenus amis » et quelques pages plus loin « le samedi matin, ils se retrouvaient à l'entraînement » ou encore « Les mois passaient ». Pas de quoi écrire à la famille, me direz-vous.

Et pourtant, au sein de ce dispositif exagérément morne, c'est à un anéantissement auquel on assistera. Dans toute la violence que contient en soi un tel effondrement renforcée de notre impuissance à atteindre ceux qui le vivent. Tiédeur fade et grise. Pulvérisation. Conventions gentillettes et petitement snobinardes. Effondrement.

Le tour de force de ce roman réside aussi dans ce qu'il n'est pas. On ne verse pas dans le thriller même si certains ressorts y appartiennent. On n'est pas dans l'explication psychologisante qui ruinerait les effets soigneusement mis en place. Il n'y a pas vraiment de morale ni de message à retenir de cette histoire. L'air de pas y toucher, dans un décor de vacances idéales, pour des raisons qui peuvent rester habilement obscures, on est au plus près de l'abime. Et c'est glaçant.

Je ne verrai plus jamais les roses trémières et les façades blanches, les familles égayées à la pêche aux coques, de la même façon désormais.
Commenter  J’apprécie          4874
J'ai choisi de lire ce livre sans rien en savoir, seulement intriguée par son titre et la fleur de pissenlit figurant sur la couverture et je dois dire que la découverte fut excellente.
Dès les premières pages, je me suis embarquée dans l'histoire douce-amère de Marc Dumont qui voit sa vie et ses certitudes vaciller lors de l'arrivée de Paul dans l'entreprise où il travaille.
Jusque là Marc était heureux auprès d'Hélène, son épouse et de leurs jumeaux.
La famille partageait une vie harmonieuse entre Saint Nazaire en semaine et Noirmoutier le week-end.
C'est à Noirmoutier que Marc et Paul ont la surprise de constater qu'ils occupent des maisons voisines.
Les deux hommes vont devenir inséparables partageant tous leurs loisirs, les sorties en mer, les balades à vélos, seuls ou en famille, les apéritifs et repas partagés.
Au fil du temps, Marc perd sa personnalité, comme envoûté par son ami Paul.
Il le copie dans ses moindres gestes et sa façon de s'habiller. L'avis de Paul est parole d'évangile pour Marc.
L'emprise devient totale au grand dam de son épouse et des jumeaux.

Les personnages sont minutieusement étudiés, ils sont décrits avec cynisme et un soupçon de cruauté, mais tellement de réalisme, qu'ils semblent être là, tout près.
Stéphanie Chaillou décrit des scènes peu ordinaires d'une vie pourtant bien ordinaire qui étonnent et perturbent.

Ce roman est totalement addictif, je ne l'ai pas lâché avant d'avoir le fin mot de cette sombre histoire.
Voilà tout l'art d'une auteure talentueuse qui sait tenir son lecteur en haleine.
Merci aux Editions Noir sur Blanc et à NetGalley qui m'ont permis cette intéressante découverte.
#LeGoûtdelatrahison #NetGalleyFrance


Commenter  J’apprécie          300
Marc Dumont, la cinquantaine, ingénieur à St Nazaire, mène une vie harmonieuse, simple et heureuse avec sa femme Hélène et ses jumeaux, Camille et Benjamin. le week-end , ils partent sur l'île de Noirmoutier dans leur maison familiale pour des moments de détente et de bien-être.
Puis Paul rejoint l'entreprise dans laquelle travaille Marc; il est également propriétaire d'une maison à Noirmoutier. le tennis et l'île les rapprochent. S'installe une amitié forte, prenante, dont sont exclues les épouses. Les deux hommes passent tout leur temps libre ensemble. Paul prend l'ascendant sur Marc au point que celui-ci adopte ses idées, ne le contredit pas , s'efface devant lui. Paul finit par se lasser de Marc et de son adoration silencieuse. Ce dernier, qui avait tant investi dans cette relation, s'effondre.
L'auteure décrit avec beaucoup de justesse le processus d'effondrement psychique qui peut suivre un sur-investissement dans une relation amicale à sens unique au point de s'oublier, de ne vivre qu'à travers et pour l'ami(e) (je pense que cela s'applique aussi à une relation amoureuse avec les mêmes caractéristiques).
Description de la trahison ressentie quand on s'est livré sans fard, de l'humiliation, du vide qui s'installe en soi et autour de soi, de la perte de confiance en soi, de la colère qui donne envie de se venger sans passer à l'acte. S'installent alors la dépression, la difficulté de faire face à la vie, la remise en cause de ce qui faisait cette vie : travail, femme, enfants dont on ne voit plus que l'étroitesse et plus la richesse. Puis vient la lente et difficile reconstruction comme si on était devenu dépendant, drogué à l'amitié et qu'il faille s'en sevrer et retrouver le sens des choses.
J'ai lu ce roman d'une traite, saisie par l'opposition entre la vie sans aspérité, l'évidence tranquille du bonheur d'avant Paul et l'intensité du maelstrom que vit Marc avec et après Paul. Ce texte peut parler à chacun d'entre nous, car qui ne s'est pas senti trahi un jour en amitié ou en amour au point d'être saisi de vertige devant le vide?
Un magnifique roman qui m'a parlé et me parlera encore longtemps une fois le livre refermé.
#LeGoûtdelatrahison #NetGalleyFrance
Commenter  J’apprécie          278
Ça partait mal.
Des familles bourgeoises en Bretagne, des ingénieurs en polo Lacoste, des parties de tennis endiablées… et la collecte des berniques. Pas vraiment ma tasse de thé bergamote. Plutôt le genre d'ambiance que j'exècre. Avec raison. Dans ce roman, les moments de déprime sont légion.
Dans la forme, on dirait un roman-photo désuet, un feuilleton télé coproduit par Antenne 2, dans une écriture scolaire destinée à ne heurter personne.
Dans le fond, c'est plus intéressant. Stéphanie Chaillou déroule la lente dégringolade de Marc, un homme qui va se lier à son collègue, Paul, comme un collégien peut jeter son dévolu sur un camarade de classe plus âgé que lui, sans réserve, avec une fascination qui frise l'obsession.
Faut-il que Paul éprouve le même enthousiasme…
Cette amitié bancale permet à l'auteure d'aborder les thèmes de l'emprise émotionnelle, du spleen des cinquantenaires, des marqueurs de classe (thème récurrent dans son oeuvre) et ce besoin viscéral que les mâles ont de mépriser leur prochain pour exister. À noter qu'une fois encore, les femmes sont les plus perspicaces.
Un roman plaisant dont la fin de m'a pas convaincue (essoufflement). La psyché des personnages aurait mérité quelques approfondissements. Les titres des parties (annonçant leur contenu) font perdre au récit de son intérêt.
Bilan : 🌹
Commenter  J’apprécie          150
Nos deux héros travaillent dans la même entreprise, et vont se découvrir des activités communes, en plus des soirées en famille entre amis. Une relation privilégiée se noue. Ce livre est intéressant tant que leur amitié est en montée, se demandant ce qui va leur arriver. Comme une tension, une admiration malsaine même, vers ce qui semble inévitable. Mais : milieu du livre une surprise... et ensuite une (trop) longue complainte inactive sur une dépression mêlée de souvenirs familiaux, qui nous montre qu'effectivement une situation peut être vécue bien différemment selon les protagonistes, surtout entre celui qui décide et celui qui subit. On a juste envie de le secouer quand même ! Dommage. Au suivant...
Commenter  J’apprécie          154
Marc est un homme qui a une quarantaine d'années et qui semble tout avoir pour être satisfait de sa vie : une femme qu'il aime et qui lui rend bien, des enfants, un poste de cadre dans une société de ciment et une maison de secondaire sur l'île de Noirmoutier. Tout va donc très bien jusqu'à ce sa route croise celle de Paul, son nouveau collègue. Très vite, les deux hommes deviennent proches. Marc connaît une amitié exclusive, comme il n'en a jamais connu. Cette nouvelle amitié se fait même au détriment d'Hélène, son épouse. Mais ce qu'il ne sait pas encore, c'est que ce qui est exceptionnel pour lui n'est pas forcément pour Paul. Un jour, brusquement, tout s'arrête et Marc s'écroule.
J'ai trouvé ce court roman absolument fascinant. Il traite un thème peu abordé, la rupture d'amitié, tout aussi douloureuse que la fin d'une histoire d'amour, peut être des fois même d'avantage car on s'y livre sans retenue.
Le lecteur est en observation de l'ensemble de cette relation : le coup de foudre, l'exclusivité, l'incapacité à prendre du recul, et puis la chute. C'est captivant.
Merci à Librinova et Netgalley pour cette lecture.
Commenter  J’apprécie          100
Il y a un Marc et Hélène. Il y a Paul et Claire. Et puis il y a Marc et Paul surtout. Et puis il y a Marc, tout seul. de courts chapitres portent le récit de page en page et l'on comprend, on s'interroge on tente de deviner ce qui constitue l'âme de ces personnages, leurs relations. Un récit qui de déroule entre Noirmoutiers et Saint Nazaire. Récit de famille. Stéphanie Chaillou décrit factuellement, fait rentrer en tension lecteur et l'amène à ne pas lâcher le livre. Bravo !
Commenter  J’apprécie          70
Marc Dumont, ingénieur dans une cimenterie, mène une vie tranquille avec son épouse et ses deux enfants, entre Saint-Nazaire et l'île de Noirmoutier, où la famille passe la plupart de ses week-ends. Tennis pour l'un, jogging pour l'autre, petit tour au marché et plaisir gastronomique dominical, son existence et celle d'Hélène, pleines d'équilibre et d'harmonie, ressemblent à un long dimanche serein.
Pourtant, un jour, Paul Delacroix, nouveau collaborateur à la cimenterie, entre dans leur vie… Une vie qu'il finira par bouleverser. le couple découvre bientôt que Paul et sa femme Claire, également propriétaires d'une résidence à Noirmoutier, y séjournent régulièrement en fin de semaine, et que le mari partage avec Marc un même amour du tennis. Leur passion commune pour ce sport les rapproche, et, bientôt, voici les deux ménages s'invitant pour l'apéritif, puis le déjeuner, chez les uns ou les autres. Une amitié naît et se développe, jusqu'à prendre pour Marc, si admiratif de l'assurance d'un collègue qui sait séduire son entourage par l'apparente intelligence de sa conversation, la forme d'une emprise, d'un sentiment exclusif, qui lui fait oublier ses propres idées, et le condamne à un perpétuel second rôle dans leurs échanges. Lorsque Paul, finalement, se lasse de Marc, détruisant sans ménagement l'illusion d'un attachement sans faille, Marc découvre, dans toute son ampleur, l'effroyable dépossession de lui-même dont cette relation l'a rendu victime…
« le goût de la trahison », un roman de si peu d'intrigue, à l'écriture radicalement épurée, pour atteindre l'essentiel, toucher à ce qu'il y a de plus intime, la tragédie d'un abandon, d'une « trahison », que chacun d'entre nous peut parfois ressentir. On retrouve ici cet art d'une fiction sans fioritures, cherchant, dans la précision et la simplicité des mots, la juste mesure des émotions, cette manière si propre à Stéphanie Chaillou pour évoquer la complexité d'un destin, un style singulier que l'on avait déjà pu admirer dans ses précédents textes, en particulier « le Bruit du monde » (Notabilia, 2018), roman dans lequel l'autrice racontait le parcours d'une transfuge, une jeune femme qui quittait, avec toute la violence d'un arrachement, son milieu familial pauvre et rural, pour conquérir sa liberté et gagner d'autres horizons culturels. Parce qu'elle possède le talent paradoxal d'exprimer avec une telle puissance et, pourtant, une telle économie de mots, toute la force des tsunamis qui parfois dévastent notre quotidien, parce qu'elle nous offre son regard acéré sur la commune fragilité des coeurs, parce que l'on goûte à chaque page, même lorsqu'ils évoquent angoisse et douleur, le plaisir de ses mots, il faut lire sans hésiter ni tarder ce nouveau livre de Stéphanie Chaillou !
Commenter  J’apprécie          50




Lecteurs (80) Voir plus



Quiz Voir plus

Les Amants de la Littérature

Grâce à Shakespeare, ils sont certainement les plus célèbres, les plus appréciés et les plus ancrés dans les mémoires depuis des siècles...

Hercule Poirot & Miss Marple
Pyrame & Thisbé
Roméo & Juliette
Sherlock Holmes & John Watson

10 questions
5299 lecteurs ont répondu
Thèmes : amants , amour , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *}