Les beaux étés, tome 1 : Cap au Sud !

On est complètement dans le thème !!!!
Vacances j'oublie tout !!!
Je ne suis jamais partie en camping avec mes parents ! Ils n'aimaient pas ça...
C'est sûrement pour ça que je ne suis super motivée à chaque fois !
On est configuré non ???
Nous n'étions pas non plus dans cette ambiance c'était plutôt protocolaire !!!

Meme si je n'étais pas encore née... C'était une bande dessinée... Très sympa !!!!
Du vintage!!!

J'ai vécu ma première expérience sous tente il y a quelques jours et c'était vachement bien !
Comme quoi on peut toujours changer d'avis...

Je me souviendrai en tous les cas de cet été 2023 !!!
Déménagement pas facile mais cette rando dans les cévennes était vraiment magique !

📖Août 1973. Zidrou et Lafebre nous font une place dans la 4L rouge Esterel de la famille Faldérault : entre les parents et les 4 enfants, nous voici en route vers le Midi pour de “beaux étés” ! Chaque année, les mêmes rituels : Pierre, le père, rend ses planches de B.D. en retard, les chansons de vacances, l'étape pique-nique… Un mois pour oublier le quotidien, le couple qui bat de l'aile, Tante Lili malade. Des souvenirs à engranger qui font que la vie est plus belle, des moments précieux pour se rappeler l'essentiel. Cap au sud !

On peut suivre dans cette bande dessinée, une famille Belge qui part en vacances dans le Sud de la France en 1973, en évitant l'autoroute et les péages pour passer à travers les villages, à bord de leur 4L rouge. On vit avec eux les chamailleries des enfants, la crise de couple des parents, les moments joyeux en famille mais également un deuil.

C'est une histoire sympathique avec des chansons à fredonner comme « La maladie d'amour » de Michel Sardou. Que nous réserve l'été 1969 ? La suite dans le prochain tome !

Cette BD débute lorsqu'un couple d'un certain âge se remémore lors d'un pic-nique les vacances avec leur 4 enfants lors de l'été 1973.
Au cours du mois d'août 1973, La maladie d'amour de Michel Sardou est N°1 dans les hits-parade en France.
La famille Faldérault s'apprête à partir en vacances à bord de leur 4L rouge. le est dessinateur de bandes dessinées mais il n'a pas le succès qu'il souhaiterais. Alors qu'il vient enfin de terminé les dernières planches pour le prochain numéro de Monsieur Clown, Il met fin à l'impatiente de ses enfants.
La famille part enfin en vacances : direction le sud et le soleil.
Dans cette BD, on va suivre cette bonne famille des années 70 où les vacances s'organisaient à l'instinct, et pendant le voyage.
Cette histoire pose bien entendu les problèmes de l'époque. On ressent à travers le texte, la place de la femme dans la société et son émancipation qui est en train de changer. Il est question aussi du divorce, acte qui n'était pas encore dans les moeurs de l'époque. La mort aussi.
Mais que cette histoire est fraîche et qui nous rappelle qu'à cette époque, il faisait encore bon de vivre.

Une lecture rafraîchissante. J'ai beaucoup aimé l'ambiance qu'ont su (re)créer les auteurs. C'est drôle, touchant et surtout très vrai. Chacun pourra se reconnaître dans ce voyage en voiture interminable mais chaleureux, dans ces pauses à la station service, dans ce pique-nique improvisé... Les enfants, quant à eux, sont aussi agaçants que touchants ! L'histoire du couple vient apporter l'incertitude et l'émotion à ce périple annuel. Je suis assez curieuse de lire les opus suivants !

« On descend dans le midi dans notre 4L ! Youpi Yaya Youpi » C'est ainsi que nous partons avec la famille Falderault en vacances.

Zidrou nous fait partager les moments doux et amers qui construisent et consolident une famille. Ses personnages attachants sont à la fois atypiques et d'une simplicité charmante.

Deux belles BD qui font du bien ! On dévore les deux tomes d'une traite sur fond de récit de vacances (je ne sais pas si c'est l'histoire des vacances de Zidrou lui-même ?). C'est à la fois réaliste, drôle, émouvant, parfois grave. Les couleurs vives sont parfois jaunies comme pour montrer le côté ancien et vieilli du temps qui passe, comme dans un album photo... Dans le second tome, c'est un retour en arrière ! Les évocations des années 69-70 sont très bien amenées et on rit tant on s'attache aux personnages. A lire !
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Joli dessin, léger comme une boisson ds vacances , scénario trop léger par contre pour ce 1er tome

Je lis rarement des bandes dessinées, et là par hasard, je me suis arrêtée sur celle-ci, et c'est un véritable coup de coeur ! D'ailleurs, je l'ai empruntée à la bibliothèque mais je compte bien me l'acheter, c'est vous dire tant j'ai aimé.

En fait, ce premier tome des « Beaux étés » m'a rappelé mes propres vacances en famille. L'histoire est d'une simplicité rare et même émouvante. On s'identifie très facilement à tous les membres de cette petite famille et on s'intéresse aux petites choses de la vie, à ce qui nous rend heureux. de plus, les dessins sont sublissimes, et il en ressort une vraie émotion. C'est bien simple, cette bd m'a rendu de nostalgique des moments de mon enfance. J'ai également beaucoup apprécié le message de la fin, qui est plein d'espoir.

Amateurs de bandes-dessinées, ne passez pas à côté de ce petit bijou.

Été 73, quatre enfants et leur mère attendent impatiemment que le père de cette famille belge termine la mise en couleur de ses planches de BD pour partir en vacances, direction le sud de la France.

Je pense que je ne serais pas spontanément allée vers cette BD si un collègue ne me l'avais pas conseillée puis prêtée. Je ne regrette pas car j'ai passé un bon moment, grâce à ces scènes de vie familiale croquées avec humour et tendresse.

"Elle court, elle court, la maladie d'amour..." Qui n'a jamais entendu, au cours d'un repas de famille, l'oncle rigolo raconter comment il a emballé Tata sur ce slow de Sardou ? (marche aussi avec L'été indien, Hotel California ou Still Loving You).
Cet album sent bon la nostalgie des vacances d'été, quand maman-papa et leurs 3 enfants descendaient vers le Sud, entassés dans la 4L, pour trouver le soleil. Zidrou sait émouvoir avec des choses simples et dessine avec pertinence le portrait de cette famille qui ressemble un peu à la nôtre...