AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,76

sur 62 notes
5
7 avis
4
10 avis
3
5 avis
2
1 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Voici un roman historique , émouvant , à l'écriture vive, aux courts chapitres où la parole est donnée aux deux héroïnes Esther, riche et pieuse femme d'un maître soyeux en 1768 , dans le Londres bouillonnant de la fin du 18 ° siècle …..et Sarah , naïve campagnarde venue trouver un travail à Londres, son joli minois amène la rusée , rouée madame Swann, une mère maquerelle, à l'embarquer dans sa «  maison » , aux côtés de ses «  filles ».
Esther croise la jeune prostituée dans les rues bruyantes de Londres et décide de l'embaucher comme domestique afin de la sortir de sa condition…
Sarah , vigilante tente de comprendre pourquoi sa maîtresse cache certaines choses dans des tiroirs secrets : elle découvrira qu'Esther est douée pour le dessin mais son mari , intransigeant , dur ,fermé, conventionnel, refuse de la laisser créer pour les soies qu'il fabrique …….
Le contexte historique est intéressant même si les sujets ne sont peut - être pas assez approfondis : ils nous montrent d'une part l'activité industrieuse des tisseurs de l'époque, d'autre part les vives tensions entre les ouvriers et les maîtres tisseurs , les troubles de l'industrie de la soie, les «  coupeurs » n'hésitaient pas à couper et détruire le tissu des maîtres en guise de punition pour leur refus de coopérer avec les premiers syndicats .
Certains meneurs étaient pendus haut et court même innocents …
De plus la vente de la soie s'avère de plus en plus difficile à cause de la concurrence d'autres matériaux moins nobles , venus d'autres pays .
Est évoquée l'alliance de la peinture au tissage …

On déambule dans le Londres du 18 ° siècle ,nous suivons le destin de ces deux femmes Sarah et Esther , très différentes….tentant de forcer leur destin , la toute puissance , la suffisance, le mépris des hommes……

Action, secrets ,mensonges , rebondissements constants au fil des pages , contexte social ouvrier, condition et statut de la femme , donnent le ton à cet ouvrage bien mené , équilibré , vivant , entraînant , prenant , sans longueur , émouvant , une histoire bouleversante de secrets , d'amour et de trahisons ,fourmillant de détails sur l'époque ,, donnant voix à des personnages intenses et ambigus .
Un ouvrage qui fait penser aux ouvrages de Mickaël COX , Jack-London, Charles Dickens, Tracy Chevalier ou encore Anne-Perry. .
Mais ce n'est que mon avis ,bien sûr !
C'est un premier roman .





Commenter  J’apprécie          370
Ce roman situé à Londres au XVIIIème siècle, nous donne deux beaux portraits de femmes : d'abord Sara Kemp, jeune provinciale débarquée à Londres et sauvée de la prostitution par Esther Thorel qui en fait sa femme de chambre, puis Esther épouse d'un maïtre tisseur huguenot, deux portraits tout en subtilité. Comment ne pas s'émouvoir face à la condition féminine de l'époque et aussi à la condition ouvrière!
Le style est enlevé, dû à de courts chapitres racontés à tour de rôle par nos deux héroïnes.
Commenter  J’apprécie          140
J'ai passé un très bon moment de lecture avec ce roman, dont l'intrigue m'a passionnée et émue, et dont j'ai apprécié la plume toute en pudeur. Ce n'est pas un coup de coeur, il m'a manqué un peu d'épaisseur pour en faire une excellente lecture, mais il m'a fait passé un très bon moment !

Dès les premières lignes, j'ai été embarquée dans le ton pudique de ce roman. Pudique dans sa plume, tant elle est sensible mais avare en détails. Pudique de par ses personnages, qui évoluent dans une société qui n'accepte pas d'autre qualité chez une femme. Et pudique du fait dans son époque, ce Londres du XVIIIème siècle tenu par la religion, les classes sociales et les codes du mariage, si fermés. J'ai immédiatement su que ma lecture allait me plaire, et ce sentiment ne m'a pas quitté jusqu'à la fin.

Le gros point fort du roman réside dans ses deux personnages principaux, que sont Esther et Sara. Deux femmes que tout oppose, tant niveau social que caractère. Pourtant, elles vont partager un bout de vie, une histoire dramatique. le roman propose une narration alternée entre ces deux femmes, donnant un point de vue très intéressant sur la personnalité de l'une et de l'autre, assez neutre, ce que j'apprécie énormément dans les romans car ils me permettent de mieux cerner les caractères de chacun. Et côté caractère, j'ai été servie. Je ne peux pas dire que j'ai apprécié Esther et Sara, mais j'ai adoré les suivre ! J'ai adoré leur complexité – extrêmement bien utilisée par l'autrice pour servir son histoire -, leur évolution, et la manière dont le fait d'être femme va (plus ou moins) les unir.

Sonia Velton propose une histoire très riche, tant dans l'aspect historique qu'émotionnel. J'ai adoré me retrouver en plein coeur de la société des tisseurs de soie londonienne du XVIIIème siècle, découvrir ses règles et tout l'arrière-plan religieux qui le régit, de même que la naissance des premiers syndicats. Ce décor est parfait pour cette histoire d'amours, d'intrigues et de trahison que l'autrice révèle au fil des chapitres, autour de ce duo de femmes totalement opposées mais dont la relation est au centre de tout. Cela donne des scènes très subtiles, qui jouent à la fois la carte de la sororité, contre celle de l'inégalité sociale à d'autres moments. J'ai adoré suivre cette relation complexe, et l'évolution de ces deux personnages féminins autour de ce qui peut rythmer la vie d'une femme de l'époque : le mariage, la maternité, le milieu social.

La seule réserve que j'ai encore après avoir terminé ce roman, c'est son nombre de pages. Pour moi, il aurait mérité une bonne centaine de pages supplémentaires. Malgré une intrigue et des personnages passionnants, il m'a manqué un peu d'épaisseur pour que cette lecture soit excellente. Sonia Velton nous offre un huit-clos au sein de cette société londonienne si étriquée et qui offre peu de possibilités aux femmes, et j'aurais aimé que cela soit étoffé par des descriptions de l'ambiance, des odeurs, des décors, des émotions des personnages. J'ai souvent pensé au roman Miniaturiste pendant ma lecture, mais il m'a clairement manqué des éléments de fond qui auraient pu m'imprégner encore davantage dans cet univers si particulier.

J'ai passé un très bon moment de lecture avec ce roman, qui m'a fait découvrir un milieu très intéressant. Un contenu aussi joli que sa couverture !
Lien : https://matoutepetiteculture..
Commenter  J’apprécie          50
A peine débarquée de sa campagne et arrivée dans le Londres du XVIIIè s que Sara est « attrapée » par une mère maquerelle et se retrouve fille de joie sans avoir eu le temps de réagir.
Esther, quant à elle, est la femme d'un maître soyeux huguenot. Croisant un jour la jeune femme, elle lui donne une Bible. Cette rencontre et d'autres événements décident Sara à se libérer de sa condition, quitte à devenir la femme de chambre d'Esther en attendant d'avoir payé sa dette.
Ce roman, destin de deux femmes bien différentes, dans le contexte historique du XVIIIè s et plus particulièrement des soieries, ne peut faire que penser aux romans de Tracy Chevalier, que j'affectionne particulièrement. C'est donc avec beaucoup de plaisir que je suis replongée dans un univers un peu semblable.
Pour un premier roman, c'est d'ailleurs pas mal du tout, assez prenant et entraînant, malgré des maladresses. En effet, l'auteure tente de parler de trop de sujets à la fois, ne faisant qu'effleurer certains qui auraient mérité plus d'approfondissement (par exemple, le travail de la soie : si le rêve d'Esther est de dessiner des motifs pour de la soierie et que le passage de la peinture au patron est un processus bien détaillé ; en revanche, le fonctionnement des métiers est à peine évoqué (contrairement au processus de peinture dans La Jeune fille à la perle, par exemple).
D'un autre côté, j'ai beaucoup aimé la relation des deux femmes qui ne sont finalement jamais sur la même longueur d'onde et qui ne se comprennent pas. J'ai beaucoup aimé les réflexions sur le statut de Sara, qui pense dans un premier temps qu'être fille de joie, nourrie logée blanchie, en soit il y a pire et que ça ne vaut pas le coup de se tuer au travail pour être pauvre et fatiguée, mais libre ; alors qu'Esther, très pieuse, ne peut même pas l'envisager. Ou concernant les gages de Sara, qui trouve son salaire bien bas pour une semaine avant d'apprendre que c'est pour le mois alors qu'Esther pense qu'elle est en admiration devant tout cet argent !
C'est ce qui donne du sel et du relief au livre.
J'ai trouvé la fin un peu rapide et un peu bâclée par rapport au début, mais ça reste une lecture très agréable !
Commenter  J’apprécie          50
Londres au 18e siècle dans le monde des maitres la soie. Nous découvrons l,histoire de Sara, fille de joie et ramenée à femme de chambre et de Esther, épouse d'un maître soyeux et employeur de Sara.
On découvre le monde de la soie avec des rebondissements, des secrets, de l'amour, des trahisons et manipulations qui se côtoient. A tout cela j'ajoute les premières revendications des ouvriers. Et la femme dans tout ça ?
Un premier roman très intéressant qui nous fait découvrir le milieu de "l'or blanc"en Angleterre.
Commenter  J’apprécie          50
Nous voici plongés dans un roman dont le récit se situe dans le Londres du 18e siècle, avec une incursion dans le monde des maîtres de la soie, à la façon du roman de Tracy Chevalier, "La jeune fille à la perle".
Un récit donc qui prend place dans le domaine artisanal, voire artistique, celui des maîtres soyeux, mais pas seulement: cette histoire est ancrée dans un contexte social où les revendications du monde ouvrier et l'émancipation féminine ont toute leur place.
C'est d'ailleurs un peu le reproche que je ferai à cet ouvrage, car, s'il se lit avec plaisir, il ne me laissera pas non plus une trace indélébile du fait que, à mon sens, les sujets sont trop nombreux pour être réellement abordés, ils sont effleurés. Je ressors donc de cette lecture avec une impression agréable d'un roman bien mené, sans longueur, très équilibré, mais au final, si ce roman était une balade, elle serait sympathique, les paysages magnifiques, la météo superbe, les voyageurs intéressants... Mais au final, cela ne restera qu'une balade charmante, sans que nous ayons pu nous arrêter nulle part et réellement" fouiller un peu plus ce paysage".

Une des deux héroïnes, Sarah Kemp, débarque de sa campagne natale, pour chercher du travail dans la foisonnante Londres. Mais sitôt le sol de la capital foulé, elle se "fait mettre le grappin dessus" par une mère maquerelle qui entend bien rentabiliser da nouvelle recrue... On touche donc au monde sombre si brillamment décrit par de nombreux auteurs britanniques tels Anne Perry, Michael Cox, Charles Dickens, Jack London... Mais ici, tout semble un peu "soupoudré": si la psychologie de Sarah est bien développé, le passage de son statut d'oie blanche à celui de femme de petite vertu, il n'en reste pas moins que le focus est mis sur le personnage mais le contexte est inconsistant. Là où chez Anne Perry, le lecteur a l'impression de battre le pavé de Londres, rentrer chez l'habitant qui vit de petits riens, là où les rues puent la misère et le désespoir des laissés pour compte, le roman de Sonia Velton donne plus la sensation d'un décor de carton pâte. C'est en cela que le contexte me semble peu fouillé.
A nouveau, lorsque Sarah sera recueillie par Esther Thorel, épouse d'un maître soyeux huguenot, qui la sortira de sa condition, on se retrouve"planté" dans un nouveau décor, mais encore une fois, que ce soit le contexte religieux, la condition de la femme ou la condition du petit personnel de maison, la balade continue sans que l'on s'arrête posément. le cadre est là, certes, mais il ne suffit pas de décrire un métier à tisser et utiliser les quelques mots techniques afférents à la pratique du tissage pour vivre une réelle immersion dans le monde des maîtres soyeux.
On continue de survoler... L'accent est en fait mis sur la relation entre les différents protagonistes : Sarah et sa maîtresse, ladite maîtresse Esther et son époux, l'époux et une des servantes, Sarah et cette servante...
Le poids de la religion de fait sentir, il écrase l'époux qui a fait une mésalliance, époux qui à son tour écrase son épouse, qui elle même écrase sa femme de chambre avec la suffisance de son rang. Il y avait là matière à creuser, sur les status sociaux, sur la religion qui finalement fait endosser à chacun un rôle, riche ou pauvre, personne ne semble heureux, tout réside dans l'apparence. Mais on continue la balade.
Esther Thorel se pique d'émancipation et souhaite elle aussi pratiquer le dessin des motifs et le tissage de la soie, elle recourt donc secrètement à l'aide d'un compagnon, ce qui est socialement tout à fait inconvenant. Parallèlement Sarah, sa servante, s'émancipe elle aussi et tente bien que mal de vivre sa vie car son statut de servante corvéable à merci ne lui paraît pas plus enviable que celle de prostituée !
On se promène donc tout au long du récit en alternant successivement le point de vue soit de Sarah, soit d'Esther. Si ce procédé est très intéressant car il ne laisse aucune part d'ombre dans le récit, les deux côtés de la médaille étant éclairés, il m'a parfois perdue, car il faut à chaque fois se remettre dans la peau de la narratrice, soit Esther, soit Sarah, ce qui casse le rythme linéaire d'un roman.
La fin du roman est plus axée sur le contexte social ouvrier et le mouvement de révolte de "ces petites mains exploitées". Là encore, ces mouvements sociaux sont si riches qu'il est regrettable de ne les utiliser qu'en décor d'une histoire, mais le récit garde son rythme, je dois bien lui concéder : Sonia Velton est très régulière dans son récit et ne faillit à aucun moment, ce qui confère à son ouvrage le caractère agréable d'une déambulation dans ce Londres du 18ème siècle.

Commenter  J’apprécie          40
Inspiré d'une histoire vraie, j'aime ces romans qui m'emportent dans une autre époque. Celle d'un Londres du XVIII.
J'ai aimé les décors, l'atmosphère. Un contexte historique qui m'était méconnu. Découverte des tisserands de soie : Huguenots de Spitalfieds sur fond de révolte ouvrière.

Une alternance de chapitre pour que nos deux héroïnes tissent le fil de leurs destins. Elles ne sont pas issues du même rang social et pourtant leurs chemins vont se croiser. Cette histoire qui va bousculer le foyer. Chacune connaissant le secret de l'autre. Un roman mêlant charme, amour, trahison, manipulation. La seule chose que je pourrai lui reprocher, c'est son léger manque de profondeur. C'est dommage, car j'aurais voulu en découvrir d'avantage sur l'époque, les personnages ...

Le bruit de la soie est un roman pour tous ceux et celles qui aiment découvrir L Histoire à travers de passionnante fiction.
Commenter  J’apprécie          20
Londres, 1768, dans le quartier de Spitalfields.
La vie est rythmée par la cadence des métiers à tisser, le travail de la soie se transmettant de père en fils...
C'est ici que vit Esther Thorel. Son mari est l'un des meilleurs maîtres soyeux du quartier.
Son rêve? Que ses dessins deviennent des motifs pour les soieries de son mari. Mais celui-ci n'est pas de cet avis.
Ce qui va la conduire à chercher d'autres solutions...
Sara, qui était aux mains d'une mère maquerelle dans une taverne, trouve refuge sous leur toit, grâce à l'intervention d'Esther qui lui offre un emploi.
Un rôle de domestique dont la jeune femme se lasse bien vite.
Elle décide alors d'en apprendre davantage sur les habitants de la demeure mais aussi sur ceux du quartier, où un vent de révolte se met bientôt à souffler...

Ce roman est vraiment très beau. On ne peut que voir et saluer le courage des ces femmes dont la pensée et l'importance ne vaut guère mieux que rien dans le milieu des hommes de cet époque.
De nombreux passages m'ont beaucoup touché. Tellement émouvant... 2 en particulier. Je n'en parlerai pas ici bien entendu mais je pense qu'ils vous toucheront vous aussi, si ce n'est pas déjà fait.

Dans un chapitre, nous retrouvons le point de vue d'Esther, puis celui de Sara. Offrant deux visions différentes d'une même situation et c'est très agréable à lire. Absolument pas répétitif car elles sont très différentes l'une de l'autre.

"Le bruit de la soie" est un roman fort qui nous embarque dans un Londres des années 1700. Un roman porté par une plume qui nous conte l'histoire. Une plume magique qui nous propulse dans ce quartier, nous laissant entendre le rythme des métiers, tant elle nous entraîne, nous envoûte. Et enfin porté par des personnages percutants, chacun étant essentiel à l'histoire. Chacun nous faisant ressentir de profondes émotions, de la plus pure à la plus laide...
Commenter  J’apprécie          10

1768, Londres, Esther femme d'un maître soyeux sauve Sara des griffes d'une mère maquerelle. Celle-ci va travailler à son service en tant que femme de chambre.
Esther à une passion la soie, elle aimerait créer ses propres motifs et allier la peinture à la soie mais cela ne plaît pas à son mari. À cette époque, une femme s'occupait de son foyer...
Deux femmes que tout oppose et qui ont chacune un secret.
Amour, passion trahison vont rythmer les chapitres qui alternent avec le point de vue d'Ester et de Sara. J'ai parfois perdu le fils, car les chapitres sont courts et j'aurais aimé aussi plus de profondeur sur le métier de tisseur à cette époque.
Un bon moment de lecture historique.
Commenter  J’apprécie          00
Londres, XVIIIe siècle, sur fond de révolte, de trahison et de rivalités.
J'ai beaucoup aimé le décor, la construction des personnages et l'atmosphère de ce roman.
Avec un roman qui alterne entre le récit deux personnages principaux (Sara, femme de chambre et Esther, épouse bourgeoise d'un maître soyeux) nous pouvions avoir une double vision de mêmes événements, ce que j'ai trouvé très intéressant.

Pour ma part, je me suis beaucoup plus attachée à Sara, personnage complexe, rebelle et révolté. Nous traversons avec elles des moments de sa vie difficiles mais aussi touchants et émouvants, et nous avons là un exemple de comment pouvaient être traitées les personnes de son type à l'époque, mais qui veulent pour autant sortir de leurs conditions et ne pas se contenter d'être seulement catin ou femme de chambre.
La partie d'Esther quant à elle m'a moins plu, car peut-être trop romantique à mes yeux (même si je l'avoue elle ne correspond pas du tout à la parfaite femme et épouse bourgeoise classique !).
.
Les histoires d'amour ou d'amitié ne sont pas des genres que j'affectionne particulièrement lorsqu'ils sont niais, sans caractère et fades.
Mais le contexte est tout autre ici, cela est mêlé de trahison et de tensions, de personnages tout aussi ingrats et détestables les uns que les autres (je pense bien sûr à John et à Mme Swann en particulier!) sur fond de révolte ouvrière. Enfin, pour les lecteurs qui aiment le domaine de l'art, de la couture et de la soie en particulier, les nombreuses scènes et descriptions détaillées de ce domaine sauront vous plaire !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          00

Autres livres de Sonia Velton (1) Voir plus

Lecteurs (139) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3272 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}