Le cinéaste Bertrand Mandico s'empare de la figure de Conan le barbare, d'abord adaptée sur grand écran par John Milius en 1982 d'après l'oeuvre originale de Robert E. Howard. Il donne une version bien revisitée et loin de celle interprétée par Arnold Schwarzenegger. Car Conann avec deux "N" est "iel", loin des clichés de virilité, et le réalisateur joue avec les codes queer pour mettre en scène sa vie...
Il est l'invité de Géraldine Mosna-Savoye et Nicolas Herbeaux.
#cinéma #conan #feminisme
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Robert E. Howard
François Truchaud (Traducteur)/5 6 notes
François Truchaud (Traducteur)/5 6 notes
Résumé :
« — Cet homme désire se joindre à nous, dit Othman.
Ivan Konaszevski, l'homme qu'ils appelaient Bagheela, la Panthère, eut un léger sourire.
— El Borak ne sera jamais un renégat. Il est venu ici pour nous espionner, au profit des Anglais !
Les regards braqués sur l'Américain devinrent meurtriers. Gordon éclata d'un rire sonore. Ceux qui l'entendirent ne comprirent pas pourquoi il riait. A présent la partie s'achevait. Tous les ma... >Voir plus
Ivan Konaszevski, l'homme qu'ils appelaient Bagheela, la Panthère, eut un léger sourire.
— El Borak ne sera jamais un renégat. Il est venu ici pour nous espionner, au profit des Anglais !
Les regards braqués sur l'Américain devinrent meurtriers. Gordon éclata d'un rire sonore. Ceux qui l'entendirent ne comprirent pas pourquoi il riait. A présent la partie s'achevait. Tous les ma... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Je place ces 3 nouvelles dans la fantasy car elles obéissent aux même règles que Conan. Sauf que le terrain de jeu (et même de Grand Jeu) est ici l'Afghanistan et que Gordon , le héros manie les revolvers plutôt que la hache mais il ne dédaigne pas les armes blanches pour découper les méchantes sectes d'assassins cachées dans les montagnes ( Ah si Bush l'avait su!). Shalizahr la Mystérieuse -
L'Horreur sans nez - La Malédiction du crâne d'or
L'Horreur sans nez - La Malédiction du crâne d'or
Citations et extraits (1)
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C’était une véritable boucherie ,mais El Borak ne commettait jamais aucune erreur ;il n’hésitait jamais et ne connaissait pas le doute,Il n’y avait aucune incertitude dans ses attaques. Il avançait à travers cette mêlée de corps tendus et de lames frappant sauvagement,tel un typhon,et laissait derrière lui un rouge sillage
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