Je m'attendais à retrouver le style graphique de l'original, car ça m'a fait bizarre les différents styles de dessin entre
Aaron Campbell et
Matías Bergara. Pour ce dernier j'ai eu du mal au début de voir John Constantine squelettique, au front de biais comme s'il était ridé faute de botox et à la place on lui aurait attaché une pince à linge à l'arrière de la tête... puis finalement ça passait.
Bref l'histoire était tirée par les cheveux pour comprendre, comme notre antihéros, Constantine, quel méchant lui voulait du mal et pourquoi ? Tout en continuant d'agir comme il sait le faire en brisant des vies plutôt qu'à les aider, comme le font : Noah, un ado muet qui essaye de se faire une place dans un gang et Tommy Sauleblanc, un hipster qui a pris le rôle de Constantine durant l'absence de ce dernier.