« La responsabilité des massacres à une clique restreinte, peut donner bonne conscience à certains, mais ce ne serait qu’une manière cynique de déguiser la réalité : près de 22 % des personnes actives ont été attachées à l’appareil administratif et de surveillance. Une forte proportion de l’actuelle classe politique et la quasi totalité de l’administration locale sont constitués de personnes "récupérées" de l’ancienne administration des Khmers rouges : il n’y avait personne d’autre à qui faire appel. »