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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Elle est jeune, belle, intelligente, dotée d'un sens artistique indéniable. Elle est anglaise et s'appelle Gemma Bovery. Elle semble être comblée de bonheur et son mari, plus âgé qu'elle, un certain Charlie Bovery, l'aime plus que tout. Bref, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, sauf que Gemma Bovery souffre d'un mal étrange : elle s'ennuie. Alors elle convainc son époux de quitter la grisaille de Londres et de venir goûter à la fameuse « french way of life » en s'installant dans un petit cottage de Normandie...
Tiens donc ! me direz-vous, cela ressemble étrangement à un de nos chers classiques, Madame Bovary... Alors, ce roman graphique n'est-il qu'une simple parodie du célèbre roman de Gustave Flaubert ? En revisitant cette oeuvre classique inaltérable, Posy Simmonds va bien plus loin et de manière subtile.
Un couple d'Anglais qui s'installe dans la maison d'à côté, c'est aussi pour Martine et Raymond Joubert l'occasion d'apporter un peu de piment à une vie ordinaire. Surtout à celle de Raymond Joubert, le boulanger du village... Raymond Joubert casse les codes de l'image d'Épinal que l'on se fait traditionnellement de l'artisan boulanger franchouillard : il est cultivé, lit beaucoup, semble voter à gauche, est abonné à Libé et a une folle passion pour le roman Emma Bovary, se désespérant de ne pas pouvoir transmettre cette passion à son fils adolescent... Cela dit, Raymond a un horrible défaut, il est curieux au sens voyeur du terme et malgré nos premières réticences, nos premiers agacements, nous le suivons dans ses pérégrinations, emboîtant le pas dans le sillage de Gemma Bovery, tentant de capter le moindre de ses émois, l'espionnant dans ses escapades adultères...
Le roman s'ouvre d'emblée sur l'évocation du drame... Toutes les autres pages sont un long retour en arrière pour tenter de comprendre... À commencer par Raymond Joubert qui ne s'en remet pas et s'improvise chroniqueur pour nous narrer les faits...
Connaissant par coeur le destin d'Emma Bovary, notre boulanger voyeur n'a de cesse de faire le parallèle avec le chemin qu'entreprend la belle anglaise et qu'il entrevoit comme un écho à la destinée de son héroïne littéraire préférée : l'ennui, l'éveil amoureux, l'adultère et la déchéance... Pressentant déjà comme un affreux présage, une malédiction qui revient, il justifie son voyeurisme par un élan d'empathie et de compassion, une attention pour prévenir le pire... Mais voilà qu'à force de guetter derrière les haies et les fenêtres, voir s'éveiller le désir amoureux de Gemma Bovery, Raymond Joubert sent son coeur chavirer dans un élan de jalousie qui le tord peu à peu de douleur...
Gemma Bovery, c'est un roman graphique plein d'esprit, finement mené, tout le monde en prend plein pour son grade, l'esprit français, la perfide Albion, la confrontation des deux cultures sur fond de politesse délicieusement hypocrite, avec des voisins qui se veulent au premier abord prévenants et qui peu à peu ne s'avèrent pas si bienveillants que cela. Les personnages sont autant attachants qu'agaçants, comme le sont les Français et les Anglais, alors imaginez lorsqu'ils ont l'occasion de partager une histoire ensemble... En dépit d'une histoire emplie de mélancolie, c'est jubilatoire à souhait !
Le graphisme est d'une grande qualité, les textes viennent prendre place avec beaucoup d'acuité, en totale harmonie avec le dessin. Gustave Flaubert aurait sûrement apprécié cet humour un peu léger et cruel...
Au fait, vous ai-je déjà dit que mon coeur battait follement pour Emma Bovary ?
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Excellent ! En feuilletant cette BD chez ma fille, je vois qu'il y a beaucoup de lecture. Mais comme je n'ai rien d'autre sous le coude... Je suis vite happée par l'histoire dont le narrateur est le boulanger du village. Son côté commère le fait vite s'intéresser à ses nouveaux voisins, un couple anglais, mais surtout à cette Gemma Bovery. On vient de l'enterrer et il 'emprunte' les journaux intimes de celle-ci pour tenter de comprendre. Retour arrière où il a constaté pleins de similitudes avec la Bovary de Flaubert. Dessins en noir et blanc qui prennent moins de place que le texte. Ah la fin ! On ne peut qu'avoir un sourire ! du grand art !
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Ayant adoré « Madame Bovary » je ne pouvais qu'être intriguée par cette B.D de Posy Simmonds. D'autant plus que cette auteure est très littéraire. Il me semblait donc qu'elle serait capable de proposer quelque chose d'intéressant autour du roman de Flaubert. Je ne m'étais pas trompée. Ce « Gemma Bovery » est une très belle réussite.

« Gemma Bovery » n'est pas seulement une transposition moderne de « Madame Bovary ». Si en effet, Simmonds offre là une relecture de l'oeuvre de Flaubert, elle y ajoute une mise en abyme à la fois amusante et intéressante. Les personnages n'agissent pas comme si Flaubert n'avait pas écrit son célèbre roman, ils le connaissent et cela a des conséquences sur leurs actions.
Le récit est très bien mené, l'auteure trouvant le ton parfait pour raconter son histoire. le dessin de Simmonds, à la fois précis et épuré est toujours aussi agréable à l'oeil.

Encore un beau moment de lecture passé avec une oeuvre de Posy Simmonds qui de livre en livre m'épate par sa finesse. En revanche, je n'ai pas été convaincue par l'adaptation ciné d'Anne Fontaine que j'ai visionnée juste après avoir lu la B.D. le film manque cruellement de substance, l'histoire m'a semblé vidée de son propos et de sa profondeur et les personnages du film sont assez plats malgré le charisme de Fabrice Luchini et la beauté de Gemma Aterton.
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Après Tamara Drewe, réécriture de Loin de la foule déchaînée de Thomas Hardy, Posy Simmonds rempile avec Gemma Bovery, inspiré du fameux roman de Gustave Flaubert, Emma Bovery.

Gemma, qui vient tout juste d'être larguée, fait la rencontre de Charlie, plus âgé qu'elle et fraîchement divorcé. Tous les deux tombent rapidement amoureux et officialisent leur union. Malheureusement pour Gemma, son couple pâtit des nombreuses intrusions de l'ex-femme de son mari, cette dernière n'hésitant pas à utiliser ses deux enfants pour faire culpabiliser Charlie. Gemma décide alors son mari à déménager dans la campagne normande, loin des turpitudes de Londres et de l'emprise toxique de son ex-femme.
Quelques mois après, Gemma, éternelle insatisfaite, est prise de lassitude. Son nouveau voisin, le boulanger Raymond Joubert ne peut s'empêcher de voir en elle l'héroïne du fameux roman de Gustave Flaubert, Emma Bovary…

Encore une fois, la réécriture d'un classique sous le format du roman graphique (mixte entre la bande dessinée et le texte) est une pure réussite. Posy Simmonds parvient parfaitement à se réapproprier l'oeuvre originale sans redite tout en offrant à son lecteur une adaptation très contemporaine. Elle n'hésite d'ailleurs pas à inclure dans son intrigue des faits sociétaux très actuels comme le divorce avec la garde des enfants, l'expatriation des Anglais en France, leur désillusion, l'adultère, etc… L'auteure rend également ses personnages attachants malgré leur faille, leur défaut ou leur mauvaise action. C'est cela d'ailleurs qui est notable car elle n'use d'aucun manichéisme : personne n'est complètement noir ou blanc et cela rend les personnages tellement humains. Les dessins sont également très réussis et aident le lecteur à s'immerger dans l'histoire.

En conclusion, Posy Simmonds a, une nouvelle fois, réussi son pari : celui de transposer un classique du XIXème siècle à une situation plus contemporaine. le roman graphique a été adapté au cinéma par Anne Fontaine avec Gemma Arterton et Fabrice Luchini. Il me tarde donc de le découvrir, ayant déjà beaucoup aimé la version cinématographique de Tamara Drewe avec la même actrice, sorti en 2010.
Lien : https://labibliothequedaelin..
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Avant « Tamara Drewe », Posy Simmonds s'était déjà attaquée à la revisitation d'auteurs classiques européens. Pour notre plus grand orgueil franchouillard, c'est au chef-d'oeuvre de Gustave Flaubert, « Madame Bovary », qu'elle a rendu hommage cette fois – et avec autant de charme que de talent ! Si l'histoire se déroule majoritairement en France, c'est en Angleterre que débutent les événements. Gemma Bovery est une jeune britannique de bonne famille, en apparence comblée de tous les bienfaits : la beauté, l'intelligence, un sens artistique aigu et un époux plus âgé qui l'adore. Mais Gemma souffre d'un mal aussi vieux que le monde. Elle s'ennuie. Mortellement.

Pour fuir Londre et sa grisaille, elle arrive à convaincre son mari de déménager en Normandie, cette terre promise remplie de gens adorables et de verts pâturages. Pendant les premières semaines de vie campagnarde, Gemma est aux anges, mais très vite l'ennui s'installe à nouveau avec tout son lot de petites exaspérations quotidiennes : les français sont des ploucs, son mari un mollasson, leurs voisins anglais des imbéciles… le seul qui trouverait grâce aux yeux sévères de Gemma serait, à la rigueur, le jeune nobliau qui vient de s'installer dans le manoir voisinant leur ferme pour réviser son examen de droit. Il est mignon comme tout, ce petit français, et que ne ferait-on pas pour échapper au morne train-train ? Mensonges, adultères, intrigues, la vie de Gemma prend soudain un tour bien plus passionnant ! Mais toute cette belle histoire ne pourra pas durer éternellement et le drame attend au détour d'un sentier…

L'histoire est connue et la fin en est dévoilée dès les premières pages – Gemma Bovary a été retrouvée morte dans la cuisine de sa ferme – toute la question étant de savoir quels événements ont entrainé cette tragique conclusion. Posy Simmonds fait preuve d'un indubitable talent à ce jeu et d'un grand sens de la narration qui font de « Gemma Bovery » un ouvrage passionnant à découvrir (y compris pour les lecteurs de Flaubert qui savent déjà à quoi s'en tenir). La bande dessinée possède toutes les qualités qui m'avaient tant séduite dans « Tamara Drewe » : un style d'écriture sensible et léger, un humour à la fois ironique et cruel et des personnages aussi attachants qu'agaçants. On retrouve également le même format original associant passages en bande dessinée et paragraphes romancés. Encore une fois une excellente bande dessinée ; Posy Simmonds est décidément un auteur à suivre !
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J'adore l'univers de Posy Simmonds. Ici, elle revisite le célèbre roman de Flaubert, Emma Bovary à notre époque actuelle mais l'intrigue est intemporelle. C'est drôle, plein de suspense et le parallèle avec le roman sert de trame au récit avec la touche d'humour anglais que j'adore. le mélange texte (très fourni) et dessins est parfait. Un vrai plaisir de lecture.
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De Mme Bovary, je ne gardais que la fin du film. le roman est dans ma PAL depuis des mois. Et c'est là qu'arrive I., une collègue ayant capté mon goût pour la lecture, me proposant de me prêter un '' roman graphique ''. Mais-qu'est-que-cela-est-il-donc''? je suis intriguée, j' accepte. Me voici donc avec cette adaptation très libre de ce roman que j'esquive depuis si longtemps ; je m'y plonge et accroché dès les premières pages.
Moi qui ai toujours du mal à mettre un visage sur les personnages que les auteurs décrivent, je suis servie. L'écriture est fluide, ce qui est très bien pour la découverte d'un nouveau style. le parallèle avec Flaubert est subtile et bien amené.
I. m'a également confié un autre roman graphique ce même jour, je crois que je ne vais pas attendre très longtemps pour attaquer.
Quid de Mme Bovary, l'original ? Eh bien Gemma m'a donné envie d'ouvrir ce monument de nos classiques, donc je connais déjà la trame, certe, mais pas la faute à Posy Simmonds, mais à mes cours de français il y a quelques années ; l'instant de lecture restera intact.
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Gemma Bovery est une jeune Anglaise qui s'installe au fin fond de la Normandie avec son mari, Charles. Les deux Anglais découvrent avec délices le charme de la culture française : bon vin, pain, douceur de vivre. Et puis très vite aussi la pluie, la vie morne d'un village normand.

Le boulanger du village est un bon bougre, avec une forte imagination et une solide culture littéraire : ce sera le narrateur de notre histoire. Dès l'installation des nouveaux venus, il pressent que leur vie peut mal tourner, tout comme dans le roman de Flaubert. Et quand il voit Gemma se rapprocher du châtelain local, il tente d'empêcher le pire …

Considéré comme un des premiers vrais romans graphiques, l'oeuvre de Posy Simmonds est remarquable à la fois par la qualité des dessins et par le texte, les deux trouvant un équilibre parfait pour produire une oeuvre atypique, qui peut déstabiliser au premier abord : on est en effet tenter de lire à toute vitesse, suivant les images, ou au contraire de le lire à la manière d'un roman, dont les images ne seraient que l'illustration … Or ces deux lectures seraient une erreur tant les deux modes sont indispensables.

Concernant l'histoire elle-même, on se laisse prendre facilement à la paranoïa du boulanger, et on suit avec consternation la dérive de la jeune Anglaise, dont l'auteur a transposé le spleen flaubertien en une déprime contemporaine bien connue, même si elle semble avoir plus de caractère que son alter-ego du XIXe siècle.

Cette lecture est par ailleurs à compléter par le visionnage du film éponyme, d'Anne Fontaine, avec Fabrice Luchini interprétant à la perfection un boulanger à la fois sous le charme de Gemma et agacé par ses a priori sur les Français. le film est par ailleurs extrêmement fidèle, et va même plus loin que le roman graphique, en offrant une vraie touche comique dans les dernières minutes.

En bref une fiction franco-anglaise entre tragique et humour, qui ne peut pas laisser indifférent.
Lien : http://missbouquinaix.com/20..
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C'est avec Gemma Bovery que l'on a découvert en France la dessinatrice de presse et illustratrice britannique Posy Simmonds. Cette bande dessinée, publiée d'abord en feuilleton dans The Guardian, mérite plus qu'aucune autre le nom de "roman graphique", car le texte y envahit tout l'espace laissé libre par les dessins. Son sujet aussi est éminemment littéraire, puisqu'il s'agit d'un détournement de Madame Bovary.

Gemma n'en peut plus de la vie londonienne. Elle a un chagrin d'amour à oublier et un nouveau fiancé à éloigner de son ex-femme et de ses enfants. C'est ainsi qu'après avoir épousé Charlie Bovery, elle le convainc d'acheter une maison en Normandie, non loin de Rouen, et d'aller s'y installer. A Bailleville, ils deviennent les voisins de Raymond Joubert, le boulanger grand amateur de littérature, que les noms de ses nouveaux voisins ne vont pas laisser indifférent...

L'idée forte de Posy Simmonds dans ce détournement du roman de Flaubert est de déplacer le bovarysme de Gemma à Joubert. Car c'est lui dans le roman graphique qui a lu trop de livres au point de voir le monde à travers eux et d'attendre de la vie qu'elle se conforme à la fiction. C'est lui aussi, l'ex-éditeur parisien, qui s'ennuie en Normandie et devient voyeur de sa voisine, comme pour vivre par procuration la vie d'aventures qui est la sienne. Gemma, quant à elle, est plutôt heureuse (même si elle aussi s'ennuie rapidement en Normandie). Et si nous savons dés le début qu'elle va mourir comme son modèle, sa fin sera amusante et ridicule, mais absolument pas tragique.

Au-delà de la thématique littéraire, il y a une dimension satirique au roman graphique de Posy Simmonds. Elle s'y moque gentiment de ses compatriotes, de cette tendance très contemporaine qu'ont les Anglais à acheter des maisons en France, alors qu'ils ne parlent pas un mot de français, ignorent tout de la culture française (qu'ils réduisent aux vins et aux fromages) et n'ont pas vraiment envie de fréquenter les autochtones.

Bien sûr je suis allée voir au cinéma l'adaptation qu'a réalisée Anne Fontaine de Gemma Bovery. J'y ai prolongé très agréablement le plaisir de cette relecture. le charme du film provient en grande partie de son casting. La pulpeuse Gemma Aterton (qui avait déjà incarné Tama Drewe) apporte une sensualité que son personnage de bd n'avait pas vraiment (Anne fontaine exploite d'ailleurs cet aspect jusqu'à l'outrance). Quant à Fabrice Lucchini, il apporte à son personnage sa propre passion pour la littérature. On croit donc à fond à son personnage, qui semble vivre beaucoup plus en littérature que dans le monde réel. La fin du film, tout en s'inspirant de celle de la bd, est plus enlevée, plus drôle. Gemma Bovery au cinéma est donc une très sympathique comédie, qui devrait même donner envie aux plus jeunes de lire Madame Bovary...

Malgré tout, pourquoi ma préférence va-t-elle toujours à la littérature ? Pourquoi une oeuvre littéraire, même graphique, a-t-elle toujours plus de force pour moi que le meilleur des films ? Dans le film, tout paraît atténué. La dimension satirique a pratiquement disparu (il n'en reste plus que le personnage de snobinarde jouée par Elsa Zylberstein). Au cinéma, Gemma Bovery a perdu de son mordant, sans doute parce que Posy Simmonds est beaucoup plus impertinente qu'Anne Fontaine, ou parce que le cinéma n'est jamais qu'une pâle imitation de la littérature.

Lien : http://liresurunbanc.wordpre..
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Dévorée encore plus vite que Tamara Drewe, Gemma Bovery est également un roman graphique plein de suspens et d'humour.

L'histoire est racontée par Joubert, le boulanger d'un petit village normand où un couple d'anglais vient de s'installer. Coincidence : la jeune mariée s'appelle Gemma Bovery, ce qui interloque beaucoup notre Mr Joubert, qui peu à peu découvre beaucoup de références entre sa Gemma et la célèbre Emma Bovary.
Après la mort tragique de Gemma, il enquete et remonte son histoire grace aux nombreux journaux qu'il a subtilisé à son mari Charly Bovery.

Les personnages sont bien fouillés, pas caricaturaux et les illustrations toujours aussi plaisantes : du noir et blanc, beaucoup de détails, de réalisme et une certaine poésie.
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