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Christian SIGNOL. L'école des beaux jours.

Dernier roman de cet auteur régional qui met en scène la vie quotidienne de la France profonde. Nicolas Destivel, jeune professeur des écoles, suite à un crime de lèse-majesté, il a osé lever la main sur un fils de bonne famille, est nommé dans une petite école, sur le plateau, à Saint-Julien. Ce poste qui lui a quasi été imposé va se révéler une source de jouissances. Il est accueilli par Rose, Clamadieu , madame le maire. Ces deux êtres vont fraterniser. Les écoles de lieux déshérités comme Saint-Julien sont de véritables bombes dans nos campagnes dépeuplées et soumises au bon vouloir de nos élus, députés, sénateurs, conseillers généraux - je ne sais plus leurs véritables dénominations. Qu'importe c'est selon leur bon gré. le maintien d'une école est soumise à des réglementations qui évoluent au fil du temps et surtout aux désavantages de la ruralité et de l'exode massive, de la désertification de nos belles régions de nos provinces…

L'école de Nicolas reçoit les élèves de CM1 et CM2, passage obligatoire avant d'intégrer le collège. Ces deux niveaux sont très importants pour nos chères têtes blondes, ou brunes et même rousses. le maître, comme ses élèves appréhende la rentrée. Il faut se familiariser avec les locaux, faire connaissance avec les élèves. Ces derniers offrent de nombreuses différences et l'instructeur doit composer. Ce groupe totalise 15 élèves. Rapidement, notre héros va adopter ces enfants, connaître les parents. Ainsi, Nicolas peut transmettre son savoir. Il faut tenir compte des facultés intellectuelles de chaque enfant, surveiller les dissensions qui peuvent s'exercer entre ces petits. Dans cette France, éloignée de la capitale et des métropoles, Nicolas va profiter, autant que possible de la présence de la nature, des arbres, de la faune, de la flore pour éveiller ses petits écoliers au savoir. Trois années, il va vivre au contact direct de cette végétation, du climat, et surtout de l'absence de pollution. Mais il devra se battre avec son administration pour conserver ce poste…. La fermeture sera effective dès que le nombre d'élèves sera inférieur à quinze : regroupement avec des communes proches de disparition d'une ou deux écoles. Il y a une centaines d'années, les écoles fleurissaient sur le bocage, aujourd'hui elles sont, à plus ou moindre échéance condamnées à fermer.

Christian SIGNOL décrit cette perte, ces disparitions programmées. Toujours avec sa belle plume, il nous dépeint des hommes, des femmes et des enfants de notre société. Son analyse est fine. Ses paysages majestueux, qu'ils soient peints en été, en hiver ou qu'ils aient revêtu leurs parures automnales. Et quelle diversité d'enfants accueillis au sein de ces deux sections. Lorsqu'il regagnera la plaine et le ville, où sa compagne exerce la profession d'infirmière, Nicolas aura un pincement au coeur. Finis les cours en pleine nature, la course poursuite entre les arbres, les leçons de choses, les sciences de la vie sur le terrain… Une page de plus se tourne. Des regrets, de l'espoir, de l'humilité et de l'humanité. Un bon roman du terroir comme je les aime. Merci Christian pour cette belle page de notre histoire locale et rurale. Je recommande ce récit à tous les fidèles de cet auteur qui depuis quarante ans, il nous raconte le pays dans lequel il a vécu et vit encore. Sa production est très importante. Son écriture plait beaucoup aux lecteurs. IL y a beaucoup de vécu, de la sincérité.
( 15/01/2023).
Lien : https://lucette.dutour@orang..
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C'est une belle histoire (un peu triste quand même) qui mêle un thème citoyen - le maintien des services publics en milieu rural - avec une romance puisque le couple que forment Nicolas, le jeune instituteur, et sa compagne Justine, infirmière, va se trouver ébranlé par la nomination à l'école de Saint-Julien au coeur d'une forêt montagnarde.
J'ai bien sûr aimé l'engagement de Nicolas dans son métier auprès des enfants et celui de Rose, la maire de la commune, qui sacrifie sa vie pour que son village ne dépérisse pas.
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Je remercie Babelio et Audiolib pour l'envoi de ce livre audio. J'aime beaucoup l'idée de cette petite école de campagne avec ce florilège d'élèves tous très différents mais tellement attachants, j'ai littéralement adoré le personnage de Rose tellement fraîche et dynamique qui essaye de maintenir son village et son école à flot en essayant d'attiser l'envie de ses habitants d'y rester et de nouveaux d'arriver, sa relation amicale avec son nouvel instituteur devient le pilier central d'un combat pour que perdure l'enseignement de proximité et l'éducation dans ce qu'elle a de plus précieuse. J'ai aimé le décor verdoyant ou neigeux, le vent et le calme de ce petit village, lecture audio dépaysante et réconfortante, comme un doudou. Je me suis moins attacher à Justine la compagne de Nicolas.
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J'avais choisi ce roman en pensant découvrir une histoire un peu nostalgique sur l'école des années 50 ou avant... Ça l'est un peu d'une certaine manière mais c'est surtout le portrait d'un instituteur, ô combien fidèle, d'une maire qui se bat pour sauver l'école de son village dans la France d'aujourd'hui, d'enfants et de ces villages que l'État abandonne malgré le discours officiel. 

Nicolas, jeune professeur des écoles,  est nommé à St Julien, village isolé en altitude au milieu des forêts, "puni" par son administration. École à classe unique, CM1-CM2 les deux dernières années avant le collège. Accueilli par la dynamique Rose, maire du village, il va peu à peu prendre sa place, retrouver ses racines et adopter cet endroit, ces enfants à problème ou pas... Justine, sa compagne infirmière à l'hôpital, fera quotidiennement le trajet "caverne"-travail. Il ne sait pas encore que ce séjour d'un an va se prolonger et le marquer pour sa vie entière. 

J'ai été professeur des écoles et rien ne m'agace plus qu'une pseudo-reconstitution de la vie d'un instituteur et d'une école quand c'est approximatif voire bourré d'incohérences. Et là, miracle ! L'auteur a fait un travail remarquable. Tout est vrai, sans être trop didactique 😉 et ennuyeux. La découverte des locaux le premier jour,  la préparation de la rentrée et les angoisses qui vont avec, les collègues (ici celles du regroupement scolaire) et les "animations pédagogiques", les conseils d'école, le travail de préparation et de correction ...

J'ai connu moi aussi l'enfant surdoué à la maturité étonnante, celui aux troubles autistiques, l'enfant gravement malade et celui qui n'est jamais revenu après un week-end tragique, celui qui vous surprend et qui vous fait vous dire que vous n'avez, peut-être, finalement pas travaillé pour rien... ceux pour qui vous savez que vous ne pourrez pas grand-chose coincés qu'ils sont entre parents et administration rigide. le parent alcoolique menaçant, j'ai connu. Celui qui vous prend de haut, comme Nicolas,  arrogant du haut de sa position sociale menaçant vaguement "le petit fonctionnaire psycho-rigide que je paie avec mes impôts !" et qui vient supplier à la fin de l'année scolaire que je veuille bien prendre les petits-frères qui suivent... 😉 parce que... finalement... c'est vous, le maître, qui aviez raison... 😉

Ici Christian Signol immerge son école dans une nature très présente et vivante,  flamboyante ou immaculée, voire givrée, quand la classe court dans les bois, herborise... alors il y a les petits forains pas très assidus, l'artiste en herbe, celui qui sait déjà ce qu'il fera de sa vie, celle qui est battue et qu'on n'arrive pas toujours à protéger...et tous les autres, les élèves "normaux"...

De jolis moments d'émotion, des paysages naturels et un style naturellement bucolique. À aucun moment d'erreur sur le métier,  la psychologie de l'enseignant et de son engagement, de ses rapports parfois compliqués avec les enfants. Et les parents. Vous découvrirez sûrement des aspects de ce métier que vous ignorez, et vous regretterez comme moi la rigidité de cette administration-mammouth où personnels et enfants ne sont que des chiffres... Vous aimerez cette classe, ces mômes, ce village, cette maire qui se bat jusqu'au bout... 

Elle est bien belle cette école... tant qu'il y aura des profs comme ça. Quoi qu'on en dise... 😊
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Très beau livre de Christian Signol sur l'école d'aujourd'hui.
Il retrace avec des mots justes toutes les difficultés auxquelles sont confrontés les professeurs des écoles dans l'enseignement de nos jours.
Jamais, je n'aurais imaginé qu'un instituteur devait fournir autant de travail et d'énergie pour sa classe.
Il y a aussi le revers de la médaille quand ils devinent dans les yeux des enfants une kyrielle d'étoiles après une sortie exceptionnelle. Et ça, ça n'a pas de prix.
Une fois de plus, dans ce roman, l'auteur excelle à évoquer les beautés de la nature.
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Tout ce qui ne génère pas de profit ne doit aucunement perdurer... L'économique prévaut sur tous les autres centres d'intérêts et secteurs d'activités. En vertu des lois et des décrets de la République, il y a des seuils qu'il est interdit de franchir. Dans une petite commune de notre France rurale se désertifiant, maintenir une classe de moins de 15 élèves, entraîne systématiquement sa fermeture, voire celle de l'école. Si, en matière agricole, a sévi trop longtemps le remembrement destructeur de nombreuses petites exploitations, au fin fond de nos campagnes, depuis des décennies, le regroupement scolaire est, lui aussi, responsable de nombreuses disparitions de petites écoles.

Avec ce nouvel opus sur cette formidable et respectable institution républicaine : l'école, Christan Signol nous brosse le portrait de l'école d'aujourd'hui confrontée à la désertification des zones rurales, des édiles devant faire face aux décisions de rectorats assujettis aux directives gouvernementales. Pouvoirs fracassants des administrations tutélaires qui font fi des besoins spécifiques des populations minoritaires. "Z'ont qu'à suivre le mouvement et se déplacer avec l'école, là où on la centraliste !"...

Voilà ce que nous conte cet auteur sensibilisé aux destins de nos campagnes, de ses derniers habitants, de leurs enfants touchés par la fulgurance des progrès techniques, et technologiques, mais aussi par l'évolution des mentalités et des besoins nouveaux et, avant cela, par la disparition de ce service publique fondamental : l'école.

Ce que met en exergue l'auteur, c'est le cadre de vie, cet environnement où la nature prend tous ses droits. Pour Nicolas, jeune professeur des écoles affecté à Saint-Julien sur les hauts plateaux forestiers, cet environnement merveilleusement sauvage, constitue le terreau essentiel de l'enseignement qu'il a à dispenser.

L'école à l'heure d'Internet, dans ces paysages extraordinaires oubliés et délaissés par la gente citadine a à souffrir de ce contraste entre nature "sauvage" et modernité. Rigueur de la France profonde contre confort bourgeois des villes. le décor est planté, reste à découvrir les personnages inscrits dans cette tourmente résultant des métamorphoses s'effectuant à deux vitesses : celle persistante, lente et pesante tenant au passé et celle intrusive, précipitée, résultant du présent sans cesse happé par les futurs avides et incertains, tout ceci se déroulant avec, en toile de fond, le réchauffement climatique qui modifie les teneurs et l'impact de chaque saison, dans les habitudes de vie.

Il y a Rose, la maire de ce village du haut plateau, entrepreneur forestier, pugnace, dévouée à la raison scolaire et à la cause des enfants. Aux heures difficiles, elle peut compter sur Nicolas dont elle s'est fait un fidèle allié, ensemble, résolus à maintenir ouverte la seule classe de leur petite école.

Et bien sûr, ces portraits d'enfants en classe de CM1 et CM2 auxquels Nicolas s'attache, dans de justes mesures, s'intéressant à chacun de leur sort, s'accommodant autant à leurs difficultés d'apprentissage qu'à leurs dispositions et talents singuliers. Il est parfois conduit à intervenir, au-delà des convenances tenant à la vie privée des familles, dans les démêles et décisions des parents, lorsqu'ils créent des situations préjudiciables à la santé et au bien-être de leurs enfants. Tact, respect et diplomatie ne suffisent pas à ces personnes qui se sentent, immédiatement mises en cause et responsables des difficultés de leurs enfants. Il faut aussi beaucoup de temps pour que s'établisse une relation de confiance entre parents et enseignants.



Il y a aussi Justine, la compagne de Nicolas, elle aussi dévouée à la cause hospitalière en tant qu'infirmière dans un service d'urgence. Mais, elle, aime sa vie de citadine et donc, l'agitation des villes, tellement plus attrayante que ce monde "néandertalien" du haut plateau où son chéri exerce son beau métier... l'amour peut-il résister à autant de différence dans les choix et les lieux de vie ?

Si vous appréciez les chroniques attachées à ce qu'engendre la vrai vie à l'écart des tumultes et agitations des grands ensembles populeux, il faut alors vous plonger dans ce roman où la fiction n'est jamais loin de la réalité, où la sensibilité, la tendresse, le charisme, les peurs, les colères, les déceptions mais aussi les aspirations des personnages, sont criants de vérités, où la nature s'illumine, s'irise puis se ternit au rythme des quatre saisons.

Ce récit captivant, conté par Nicolas qui, aujourd'hui, n'appartient donc pas à la légendaire génération des "Hussards de la République", ne manquera pas de vous enchanter en vous réconciliant avec le monde des enseignants que l'actualité ne manque pas d'égratigner, en dépit de l'engagement et du dévouement de chacun de ses pédagogues, dans la transmission des savoirs de base, indispensables, pour, ensuite, accomplir honorablement, sa vie d'homme et de femme.

Maître et Élève un sublime duo d'influences !....

Lien : https://www.mirebalais.net/2..
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Tout d'abord, merci babelio de m'avoir fait découvrir grâce à la masse critique ce petit moment de nostalgie.
Il est ici notion d'enseignement dans les écoles primaires. La différence entre les écoles de village et celle des villes. le volonté de certains élus à garder l'école qui est le coeur battant d'un village et la volonté économique des elus départementaux qui ne casent que des croix sur une grille.
Il y a évidemment aussi le sujet du maître d'école qui s'attache à ses élèves, qui se soucie d'eux et parfois qui va à l'encontre de la politique éducative.
Alors, oui, j'ai eu de la nostalgie en ecoutant ce récit qui m'a replongé dans ses années d'insouciance .
Ce récit en tout cas est un bel hommage à tous ceux qui se battent pour les enfants et pour leur éducation afin qu'ils puissent s'épanouir dans notre société si complexe.
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Plonger dans un roman de Christian Signol, c'est plonger dans le coeur des hommes. Plonger dans le coeur de la nature. de tout ce qui nous donne envie de croire en l'humain. de toute cette nature qui nous émerveille.

Avec L'école des beaux jours, le nouveau roman de Christian Signol, ce beau rendez vous humain a encore eu lieu.

L'histoire d'un petit village, Saint-Julien, de Rose la maire du village qui se bat au quotidien, sans cesse, sans relâche, pour faire vivre celui-ci, pour que son école ne ferme pas ses portes, pour attirer des familles, des enfants dans sa belle commune qui malheureusement devient déserte de ses jeunes, petit à petit, quitte à faire passer son combat avant sa propre vie.

L'histoire de Nicolas, un jeune instituteur, qui arrive de la ville et découvre la magie, non seulement d'une région, d'une nature omniprésente et tellement belle, et de la beauté d'enseigner à des enfants autrement, en étant plus proche de chacun d'entre eux, en les apprivoisant, les aimant, en ayant du mal à les quitter à la fin de chaque année.

Enseigner en parcourant les forêts, créer des cours d'éducation sportive, de sciences, arts plastiques et mathématique en courant des les bois, cherchant des champignons, grimpant des les arbres.

C'est une vie totalement différente que Nicolas découvre là et la magie de cette vie, au plus proche du coeur des hommes, au plus proche de la nature, cette magie là lui ensorcelle le coeur.

Qu'il est beau de découvrir des villages où le tourbillon de la vie n'a pas encore effectué ses dommages!

Qu'il est doux de vivre, le temps d'une lecture, au coeur d'un village authentique!

Qu'il est triste de se rendre compte que ce monde rural doit lutter, sans cesse, sans soutien, avec toute son âme et tout son coeur, pour maintenir une école et un village à flots.

Qu'il est féérique de plonger dans cette nature, ces forêts, ces sentiers, ces arbres, et de s'émerveiller de cette nature là, qui ressource, qui apaise, qui ensoleille, qui apporte tant à l'être humain.

Qu'il est bon de découvrir des enfants pour qui la technologie n'est pas encore passée par là et qui rêvent d'arbres, tout simplement.

Une lecture sensible, émouvante, qui donne à réfléchir. A une autre possibilité de vie.

Se dire qu'il est là le bonheur et se demander pourquoi tant de gens l'ont fui et quel coup de baguette magique pourrait repeupler les villages dont le coeur bat si fort pour les humains qui les aiment.


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Nicolas jeune instituteur est parachuté dans un petit village de campagne très reculé suite à une erreur professionnelle. Appréhendant un peu sa nouvelle vie, il fait la connaissance de Rose la Maire de Saint-Julien qui se bat bec et ongles pour maintenir en vie sa commune et son école. Si le jeune homme est un peu hésitant, il va vivre ses meilleures années d'enseignant aux côtés de ses élèves dont il n'aura de cesse de trouver avec beaucoup de volonté et d'innovation des méthodes pour combler leur lacunes.
Ce qui m'a beaucoup touchée dans ce roman si humain c'est la détermination avec laquelle Rose et Nicolas se débattent pour faire vivre toute une commune, pour trouver des solutions, des idées afin de faire reculer la chute assez évidente malheureusement de la petite école.
L'écriture de Christian Signol est agréable et fluide, ce qui fait que le livre se lit très rapidement. Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu cet auteur et je suis toujours aussi conquise par son univers.
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Un livre que j'ai écouté dans sa version audio. Pendant plus de cinq heures, je me suis retrouvée aux côtés d'un jeune instituteur affecté dans une école rurale menacée de fermeture.
C'est en toute sincérité que Nicolas nous parle de son quotidien sur un haut plateau forestier, de ses trois rentrées, des enfants, de l'institution, et de la pugnacité d'une élue qui se bât afin de pas descendre en-dessous des quinze élèves nécessaires au maintient de l'école dans son village.
Un roman très contemporain. Un vrai bon moment de lecture à voix haute, sur un sujet capital pour nos campagnes.
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