Le texte est très beau, très poétique, subtile, surprenant. Surprenant car c'est la première fois que Tunisie et Japon se mêlent dans une histoire. L'histoire se passe en Tunisie et les flashbacks nous entraînent à travers la campagne japonaise. Un vrai coup de coeur !
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Livre de moins d'une centaine de pages que j'ai apprécié, néanmoins je reconnais m'y être reprise à deux fois pour le comprendre. Beaucoup de sujets y sont abordés en réalité en très peu de temps, et j'aurai aimé peut être, qu'ils soient un peu plus développés. L'usage des flash back grâce notamment à Ishiro et son oiseau nous transporte au Japon, mais l'on s'y perd un peu parfois. J'ai quand même aimé ce voyage au pays des grues et des cerfs volants, et celui au pays des greibas, en passant par la Russie. Je reconnais que ce pont entre le Japon et la Tunisie est presque improbable et je suis heureuse d'être tombée nez à nez avec ce livre, dans une librairie japonaise !
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"Neïla, les oiseaux en papier, c'est une tradition au Japon. Mille sur un fil, bec contre queue, pour souhaiter un bon rétablissement à ceux qui sont malades. Tout le monde a participé, amis tunisiens, des enfants, amis japonais, la famille. Les médecins nous ont laissé accrocher la guirlande de tsuru autour des tubes, des appareils. Qui sait ?"
Étranger tu es, étranger tu restes ! Y a ceux qui sont faits pour les allers simples et les autres.