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EAN : 9782070366071
210 pages
Gallimard (08/02/1972)
3.66/5   3260 notes
Résumé :
"Le lecteur a compris que je déteste mon enfance et tout ce qui en survit."
Loin de l'autobiographie conventionnelle qui avec nostalgie ferait l'éloge des belles années perdues, il s'agit ici pour Sartre d'enterrer son enfance au son d'un requiem acerbe et grinçant. Au-delà de ce regard aigu et distant qu'il porte sur ses souvenirs et qui constitue la trame de l'ouvrage et non pas son propos, l'auteur s'en prend à l'écrivain qui germe en lui. Pêle-mêle, il r... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (130) Voir plus Ajouter une critique
3,66

sur 3260 notes
Après avoir critiqué le garçon de café dans L'être et le néant, Jean-Paul Sartre se prend au jeu de la mauvaise foi en écrivant Les mots. Pas question pour bibi de se donner un pauvre rôle de serveur de brasserie : Jean-Paul Sartre se prend pour un écrivain prédestiné et Les mots, sous la forme d'une autobiographie à peine enjolivée, tente de nous convaincre de la fatalité de son destin.


Le livre se divise en deux parties : « Lire » et « Ecrire ». Si besoin était, Jean-Paul Sartre nous rappelle qu'avant d'être intellectuel, il était comme tout le monde, et qu'il n'a pas appris à écrire avant d'apprendre à lire. Il s'amuse donc à revenir sur ses jeunes années en dressant le portrait-type –plein de mauvaise foi- du petit Sartre, enfant unique adoré, proie de la tendre convoitise d'une famille morcelée qui se déchire l'amour du petit dernier comme une famille de corbeaux autour d'un dernier quignon de pain. Petit Sartre qui veut plaire aux adultes, qui joue le rôle qu'on lui impose, et qui finit par perdre son identité en se fondant avec la volonté de ses aïeux. Mais si l'identité est perdue, que nous raconte le petit Sartre devenu grand ? Des histoires. Mais des histoires tenues pour véridiques : un copier-coller rapidement mâché et digéré des théories psychanalytiques qui abusent de termes manipulés à mauvais escient. L'inconscient devient la justification maîtresse des aspirations littéraires –il évite surtout le devoir de cohérence. Ainsi peut-on gentiment farandoler : « Je souscris volontiers au verdict d'un éminent psychanalyste : je n'ai pas de Sur-moi » -parler de soi sans fin, et parler un peu des autres, mais toujours avec ce même profond mépris qui saillait déjà dans des publications antérieures :


« L'heureux homme ! il devait, pensais-je, s'éveiller chaque matin dans la jubilation, recenser, de quelque Point Sublime, ses pics, ses crêtes et ses vallons, puis s'étirer voluptueusement en disant : « C'est bien moi : je suis M. Simmonnot tout entier. » »


Malheureusement, Jean-Paul Sartre ne nous donnera jamais l'explication de son mépris de l'humanité –ce qui n'aurait pourtant pas été de mauvaise foi. En se prenant pour l'exception, élu surhomme au-dessus de toute la plèbe, l'auteur se montre détestable et ennuyeux. Tout tourne autour de lui et la perspective des évènements décrits ne dépasse jamais le bout de son nez. Peut-on trouver de l'intérêt à lire un journal qui relève plus de l'onanisme biographique que de la véritable recherche existentielle ? Oui, si l'on apprécie soi-même la contemplation individuelle, et si l'on souhaite trouver un partenaire de jeu qui soit à la hauteur.


Au milieu de ce marasme d'autosatisfaction contrôlée, Les mots prend parfois un peu de recul, se détachant de l'individu Sartre pour parler plus généralement de l'inscription culturelle. Elle s'impose ici en termes de culture littéraire et familiale. Tout lecteur et écrivain de jeune âge pourra contempler des clichés de jeunesse mélancoliques et lire quelques considérations amusantes –même si l'humour n'est pas le maître mot de ce roman. Malgré tout, le temps semble parfois long. Jean-Paul Sartre hésite entre plusieurs rôles. Quel est celui qu'il préfère ? Enfant prodige, enfant manipulé, enfant abusé ? Ecrivain tyrannique, écrivain délirant, écrivain passionné ? En attendant de choisir, il s'essaie à tous les rôles, n'en choisit aucun, nous lasse de ses hésitations et enchaîne les poses : « J'ai passé beaucoup de temps à fignoler cet épisode et cent autres que j'épargne au lecteur ». Merci.


Enfin, Jean-Paul Sartre avoue : « Je n'écrirais pas pour le plaisir d'écrire mais pour tailler ce corps de gloire dans les mots ». Comment accueillir une telle déclaration lorsque tout le livre a lassé ? Un peu de pitié se mêle à la fatigue. Cette explication même ne convient pas. Allez Sartre, crache le morceau, avoue ce qui te tourmente ! « La glace m'avait appris ce que je savais depuis toujours : j'étais horriblement naturel. Je ne m'en suis jamais remis ». On espère que depuis, Sartre a réussi à accepter…


Lien : http://colimasson.over-blog...
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Les mots de Jean-Paul Sartre sont parus quelques jours seulement après La force des choses de Simone de Beauvoir. Mais alors que l'une se retourne sur ses années de l'âge mûr l'autre choisit de raconter son enfance bourgeoise et gâtée. Une enfance assez solitaire aussi où le jeune Sartre fait l'apprentissage de la lecture et de l'écriture et d'une certaine façon se forme à son futur métier d'écrivain et philosophe par la fascination que lui inspire déjà la littérature. "J'ai commencé ma vie comme je la finirai sans doute : au milieu des livres. Dans le bureau de mon grand-père, il y en avait partout ; défense était de les faire épousseter sauf une fois l'an, avant la rentrée d'octobre. Je ne savais pas encore lire que, déjà, je les révérais […].

Une autobiographie remarquablement écrite qui n'a cependant rien de conventionnel. Car si l'auteur fait preuve d'une certaine honnêteté et d'un recul assez touchants, le ton général est celui de l'ironie. On réalise alors que loin d'idéaliser son enfance et ses croyances, Sartre semble se moquer de sa vocation littéraire qui en a découlé. "Le lecteur a compris que je déteste mon enfance et tout ce qui en survit." Une attitude qui peut sembler une posture, tant Sartre enchaîne les poses différentes et incompatibles (en tous cas ce fut pour moi un vrai plaisir de lecture).
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Une autobiographie vraiment à part et brillante. Je l'avais étudiée avec beaucoup d'intérêt déjà en Terminale ( Il y a longtemps!) Mais plusieurs relectures ont enrichi encore les réflexions nombreuses que provoque cette oeuvre.

Publiée en 1964, Sartre la présente comme un adieu à la littérature. Cette "imposture" selon lui et qu'il n'a de cesse de présenter comme telle.

A travers les deux parties du livre, "Lire" et "Ecrire", il revient avec lucidité et auto-dérision sur ses années d'enfance jusqu'à onze ans. La plume est féroce et magnifique d'ironie pour nous raconter cet enfant solitaire, orphelin de père, élevé chez ses grands-parents." Ma vérité, mon caractère, mon nom étaient aux mains des adultes, j'avais appris à me voir par leurs yeux ; j'étais un enfant, ce monstre qu'ils fabriquent avec leurs regrets."

Le ton est en effet donné : aucune complaisance envers le passé. Quitte même à falsifier les souvenirs, pour mieux les persifler.

Poussé en cela par son grand-père lettré et autoritaire, Charles Schweitzer, il joue une comédie à sa famille pour lui plaire, ce qu'il appelle ses " bouffonneries". Il lit, écrit se croit un héros...et déchante lorsqu'il est confronté à d'autres enfants. Aucune sensiblerie, la critique est toujours prompte, incisive.

La mise à distance est le principe même de cette autobiographie, qui se veut une dénonciation des mensonges de l'enfance, une démystification de cette période. En cela, elle est diffère des autres et je trouve les formules souvent lapidaires très justes.

" J'ai commencé ma vie comme je la finirai sans doute: au milieu des livres." Cette phrase fort connue illustre bien le monde auquel Sartre n'a pas réussi à échapper, le monde premier, celui où tout s'est créé pour lui.

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C'est l'une des meilleures autobiographie que je connaisse. C'est vrai, il faut aimer Sartre, l'aduler même un peu pour ne pas se lasser, mais comprendre le parcours d'un écrivain, depuis son enfance, au milieu des livres, permet de rêver, d'idéaliser les auteurs. Il ne raconte pas seulement sa vie, à travers des épisodes et des anecdotes, il l'analyse aussi, n'étant pas toujours tendre avec lui-même, même si on sent un discours apaisé et calme. Il ne l'a pourtant pas écrit juste avant sa mort mais bien avant, en pleine gloire. le texte est surtout un hommage à ceux qui vous donnent l'envie, à ceux qui vous font découvrir une passion, et enfin, un hymne aux belles lettres.
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En lisant Les Mots de Jean-Paul Sartre, je me heurte à un labyrinthe, dans lequel je me sens très mal à l'aise, Sartre cherche t-il à me perdre, ou lui à se cacher, je relèverai page 193, cet aveux :" je devins traître et je le suis resté. Je me renierai, je le sais, je le veux et je me trahis déjà."


"Les Mots" de ce récit autobiographique publié en 1964, révèle une sorte de psychothérapie, comme si le moment était enfin venu de se libérer de son passé, et de tirer un trait sur sa vie dans le milieu bourgeois qui fut le sien tout au long de son enfance.

Quand il écrit ce texte, est-il un comédien, comme il le fut parfois enfant ?
Est-il le lecteur lucide de son apprentissage de la vie, et de son adolescence ?
Ses propos restent ambigus :" je menais deux vies, toutes deux mensongères publiquement j'étais un imposteur", ou encore, page 100, il ajoute "ma vérité,  risquait fort de rester jusqu'au bout l'alternance de mes mensonges."


Pour échapper à ce labyrinthe ou tenter d' échapper à une impasse, comme à des manipulations du langage, je me suis posé des questions simples et j'y répond en puisant dans ses propres "Mots".

Une enfance confisquée.

Vous ne trouverez pas de madeleines dans Les Mots de Sartre, mais des livres, devenus des pierres levées.
Il est amer quand il écrit page 79; "on ne cesse pas de m'entourer.
C'est la trame de ma vie, l'étoffe de mes plaisirs, la chair de mes pensées."
Alors, l'enfant devient à son tour comédien, et joue à être sage
Ça démystifie l'attendrissement dont beaucoup entoure cette époque de la vie en affirmant : "j'étais un enfant ce monstre que les adultes fabriquent avec leurs regrets".


Il n'y a pas de place pour les copains, pour le jeu, pour apprendre à nager, pour apprendre à pédaler, à lancer le ballon, à déguster une glace, à connaître la soif ou la neige et le froid, un seul sens est activé, la vision pour la lecture.
Dans ce monde d'adulte Jean-Paul n'est pas un enfant et ne l'a jamais été. Dix ans entre un vieil homme et une très jeune femme ( sa mère), et 50 ans pour enfin nommer son horreur de l'enfance .


L'Homme désincarné, Homme sans Terre

Sartre évoque avec une ironie impitoyable, sans rancœur, ce qui a fait de lui un enfant truqué. C'est Sartre lui-même qui parle du corps page 67, "il ne me déplaisait pas d'avoir un léger dégoût à surmonter, quand elles me prenaient dans leurs bras."

Il poursuit ainsi : "il y avait des joies simples, triviales : courir, sauter, manger des gâteaux, embrasser la peau douce et parfumée de ma mère ; mais j'attachais plus de prix au plaisir studieux et mêlés que j'éprouvais dans la compagnie des hommes mûrs."


« Quand Monsieur Barrault se penchait sur moi, son souffle m'affligeait des gènes exquises, je respirais avec zèle l'odeur ingrate de ses vertus. »
Jean-Paul Sartre est mal à l'aise avec son corps, il devrait prendre plaisir à gambader dans la nature, sans même parler du plaisir de la pêche, de sillonner la campagne au printemps ;
au contraire il affirme " je confondais mon corps et son malaise, p 75 " 


Tout ce que Jean-Paul Sartre connaît depuis le plus petit insecte, il l'a appris avec les livres, ses pierres levées, sans ambiguïté il raconte page 44, " c'est dans les livres que j'ai rencontré l'univers, ; classé, assimilé, étiqueté, pensé... "
C'est un enfant sans attaches terriennes, qui se sent et se dit déraciné.
On est moins surpris quand il avoue, je pourrais écrire les yeux fermés. Son instrument essentiel pour être présent, vivant, dans sa chair au monde, d'un trait, il dit pouvoir s'en passer.
"Puisque c'est mon lot, à moi, en un certain lieu de la terre et de m'y sentir superflu. p 77", et plus cruel encore il affirme, "J'étais rien : une transparence ineffaçable.p 76"


Le prophète, et la littérature en tant que sacré.

On peine à trouver des références claires, aux notions de morale. Par contre sa vocation il la décrit simplement : " le hasard m'avait fait homme, la générosité me ferait livre page 158. "

Page 158, il poursuit : " apparaître au Saint Esprit comme un précipité du langage, devenir une obsession pour l'espèce, être autre enfin, autre que moi, autre que les autres, autres que tout.
Je n'écrirais pas pour le plaisir d'écrire mais pour tailler ce corps de gloire dans les mots."


"À la considérer du haut de ma tombe, ma naissance m'apparut comme un mal nécessaire, comme une incarnation tout à fait provisoire, qui préparait ma transfiguration : pour renaître il fallait crier, pour écrire il fallait un cerveau, des yeux des bras, le travail terminé ces organes se résorberaient d'eux mêmes : aux environs de 1955 une larve éclaterait 25 papillons s'en échapperaient, pour aller se déposer sur un rayon de la Bibliothèque nationale."

Une nouvelle vision du monde

Page 159 il écrit, " ma conscience est en miettes, tant mieux. D'autres consciences m'ont pris en charge. Pour celui qui sait m'aimer, je suis son inquiétude la plus intime mais s'il veut me toucher je m'efface et disparais, je n'existe plus nulle part, je suis enfin ! Je suis partout parasite de l'humanité."
Il n'y a pas de morale qui retienne son attention, il n'y a que l'histoire, qui encore mérite d'être pensé par lui, Sartre providence, verbe et langage.

"La bibliothèque j'y voyais un temple ; p 51"

Ce texte" les Mots" est hallucinant, par la franchise, la gravité ou la naïveté avec laquelle il exprime, sa mission, la comparant à celle d'un prophète, qui porte une parole sacrée.

"Puisqu'on me refuse un destin d'homme , je serai le destin d'une mouche ; p 200.
Mon délire était manifestement travaillé ; p168 il termine son livre par ce que j'aime en ma folie !"

Alors quelle doit être leur place?

Pour moi l'humanité s'incarne ici, dans une expression charnelle de la vie, les mots sont l'expression des sens, de la vie et de la mort, l'expression de la souffrance.
L'enfant Jean-Paul juge cruellement sa mère, ou la voit comme une sœur dont il est le poupon.
Comment peut il effleurer par exemple les sentiments d'un Camus qui est dévoué et bouleversé par sa mère.

Il y a, me semble t-il beaucoup de souffrance, dans ces pages, et comme une nausée que l'adulte cherche à dissiper. Ce qui fait mystère et ce qui donne à cette confession une force exceptionnelle c'est de sentir son doute prodigieux, entre ses rêves démesurés et ce corps, sa condition humaine, qui n'a cessé de l'encombrer.

Qualifiant son œuvre, il est sévère ou élogieux et la perçoit comme évangélique pour changer le monde.Ou bien, une chimère tant les mises en perspectives sont violentes, avec ce "je suis un parasite" !

Dans un interview, Arlette Elkaïm Sartre, rapporte que Les Mots devait commencer par Jean sans terre, ( sans assise).


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critiques presse (1)
Lexpress
27 décembre 2018
La réédition des cinq volumes de ses Situations prouve que le père de l'existentialisme a de vraies qualités d'écrivain.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (415) Voir plus Ajouter une citation
Et puis le lecteur a compris que je déteste mon enfance et tout ce qui en survit: la voix de mon grand-père, c'cette voix enregistrée qui m'éveille en sursaut me jette à ma table, je ne l'écouterais pas si ce n'était la mienne, si je n'avais, entre huit et dix ans, repris à mon compte dans l'arrogance, le mandat soi-disant impératif que j'avais reçu dans l'humilité. (p.137)
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Bref, il me jeta dans la littérature par le soin qu'il mit à m'en détourner : au point qu'il m'arrive aujourd'hui encore, de me demander, quand je suis de mauvaise humeur, si je n'ai pas consommé tant de jours et tant de nuits, couvert tant de feuillets de mon encre, jeté sur le marché tant de livres qui n'étaient souhaités par personne, dans l'unique et fol espoir de plaire à mon grand-père. (p.135)
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Ce qui venait alors sous ma plume – pieuvre aux yeux de feu, crustacé de vingt tonnes, araignée géante et qui parlait – c'était moi-même, monstre enfantin, c'était mon ennui de vivre, ma peur de mourir, ma fadeur et ma perversité.
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J’étais un faux enfant, je tenais un faux panier à salade ; je sentais mes actes se changer en gestes. La Comédie me dérobait le monde et les hommes : je ne voyais que des rôles et des accessoires ; servant par bouffonnerie les entreprises des adultes, comment eussé-je pris au sérieux leurs soucis ? Je me prêtais à leurs desseins avec un empressement vertueux qui me retenait de partager leurs fins. Étranger aux besoins, aux espoirs, aux plaisirs de l’espèce, je me dilapidais froidement pour la séduire ; elle était mon public, une rampe de feu me séparait d’elle, me rejetait dans un exil orgueilleux qui tournait vite à l’angoisse.
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Mes bouffonneries prennent les dehors de la générosité : de pauvres gens se désolaient de n’avoir pas d’enfant ; attendri, je me suis tiré du néant dans un emportement d’altruisme et j’ai revêtu le déguisement de l’enfance pour leur donner l’illusion d’avoir un fils.
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