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Trinity Seven tome 1 sur 27
EAN : 9782809434538
164 pages
Panini France (13/11/2013)
1.88/5   4 notes
Résumé :
Le monde d'Arata bascule le jour où un cataclysme connu sous le nom de "phénomène destructif" frappe sa ville et expédie sa cousine Hijiri dans une autre dimension. Pour en apprendre davantage sur ce mystérieux phénomène et retrouver sa cousine, Arata intègre l'école royale Biblia. Il y fait la rencontre de sept filles sublimes et surpuissantes : les mages du Trinity Seven !
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
A la suite d'un petit pack découverte (3 tomes pour le prix d'1), j'ai décidé d'entamer la série Trinity Seven édité par panini depuis 2013 et qui compte à ce 28 volumes dont 25 parus au Japon. Une petite longévité qui prouve que ce titre a priori fanservicieux possède quand même son public.

Fanservicieux ou plutôt comédie ecchi, ce premier tome de Trinity Seven l'est assurément. Comme l'avait souligné l'une des courts avis déjà parus sur ce site, ce manga s'ouvre dès la troisième page sur notre héros agrippant accidentellement le sein d'une lycéenne... de quoi donner le ton de l'humour de cette série qui annonce de la fantasy harem par le biais d'un pervers rustre entouré de jolies jeunes mages dans un autre monde proche quand même d'un lycée japonais.

Sans surprises, ce début de titre peine à orchestrer une véritable intrigue au profit d'un humour ecchi mais ne soyons pas hyppocrite, les couvertures des manga le montrent déjà bien et c'est pour ça qu'on le lit !! ( vive le boeuf )

En quelque part, on sait à quoi s'attendre et, parfois, l'humour de ce style n'éclipse pas de bons mangas. Je pense notamment à Prison School ou le stupîde mais délirant SuperHxEros sans compter l'ambigue Kaijin Reijoh. le problème, c'est qu'à trop vouloir abuser sur cet humour, c'est de tomber dans la lourdeur et ce premier Trinity Seven , même si il n'est pas trop méchant, annonce cela .

Le héros n'est rien de plus qu'un pervers qui balançe continuellement des remarques sur les poitrines de ses camarades tandis que ces dernières, même si chacune possède un semblant de personnalité, ne sont clairement là que pour la pose. Je charrie un peu car ce premier tome n'est pas non plus abusé en terme de dessin vicieux et tente de contenir une histoire avec un cadre de lycée magique dans lequel sont formés les futurs mages de demain. C'est donc un calque d'un lycée japonais où l'uniforme sexy cotôie de sérieux ennuis magiques. le héros possède aussi un enjeu important puisqu'il doit retrouver sa cousine, aka sa petite soeur adoptive aka son flirt malsain (si, si...) , perdue dans une autre dimension.

Il y a donc une piste à suivre au niveau de l'histoire qui, on l'espère en tout cas, parviendra à s'élever un peu plus que le niveau des blagues mais pour l'instant, ce n'est pas gagné. le scénario de Kenji Saitou ( qui a notamment travaillé sur une nouvelle série Saint Seiya , Saint Seiya : dark wing , à paraitre très prochainement) est plutôt décousu ave cun passage inexistant entre deux mondes comme un isekai mal ébauché et surtout vécu à travers les yeux d'un héros qui ne semble jamais surpris de ce qu'il découvre. En clair, l'intrigue est calqué sur un rythme échevélé pour se concentrer principalement sur cette académie de magie, le cadre principal de l'histoire. A partir du moment ou le héros arrive dans cette académie, le scénario est un poil plus intéressant et déroule le strict minimum en présentant tour à tour ses personnages tout en expliquant quelques notions autour de ce monde entre deux chapitres. Il y a tout de même une volonté d'introduire un univers de magie.

Côté dessin, le style d'Akinari Nao (I'm standing on a million lives ) est très propre avec une pointe de classe dans les tenus vestimentaires des personnages sans abuser forcément d'un style trop plastique comme le laissait présager la couverture ( sérieusement, il y a pire). C'est plutôt étonnant dans le registre de la comédie ecchi.
Chaque personnage est d'ailleurs bien identifié entre l'intello autoritaire, la disrète ninja ou encore la troublante et ambigue futur promise du seigneur du mal. Une bonne galerie illustré par la patte du mangaka.

Comédie ecchi des plus convenus avec son lot de blagues vaseuses jetées d'entrée de jeu, ce premier tome de Trinity Seven annonce clairement une petite comédie de fantasy harem sans grande prétention. Pour l'heure, les personnages et l'intrigue sont peu interessants malgré un style très propre de la part du mangaka. Pas de grandes espèrances mais la longévité de la série (28 tomes pour l'instant) peut laisser supposer un bon équilibre entre humour vaseux et un semblant d'aventure fantasy.

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Lorie nous chante la positive attitude. Alors, en indécrottable fan, je vais essayer d'appliquer ce mantra que les plus âgés d'entre nous connaissent, à l'instar de Raffarin dans une séquence télé devenue culte...

Arata se promène avec sa cousine Hijiri. Il remarque que sa poitrine est plus volumineuse. Il remarque ensuite que le soleil n'est plus l'astre jaune rougeoyant, mais un énorme soleil noir bulbeux et bourgeonnant... Puis une fille à gros seins lui dit qu'il doit se réveiller. Et paf, bardaf, il se réveille dans un monde en ruines. La ville d'Arata a été victime d'un breakdown phenomenon, et tout n'est que ruines.

Il décide alors de s'engager dans un collège de magie où officient 7 mages expertes dans leurs thème de recherche. Accessoirement, plusieurs de ces mages ont de gros seins. Une d'entre elles ressemble à Hijiri. Elle a pour thème de recherche la "Ruine". Elle aime se balader nue dans les douches hommes. Mais elle n'a pas de gros seins. Arata doit alors trouver son propre thème de recherche. Un thème qui lui permettra de toucher de gros seins.

Or Arata possède un grimoire, semble-t-il donné par Hijiri avant qu'elle ne disparaisse happée par le breakdown phenomenon. Il est même, grâce à ce grimoire, un mage en puissance, qui pourrait même être candidat à devenir Magic King. A quoi ça sert d'être Magic King? Je pense que vous avez deviné: à palper de gros seins.

On boucle le tout dans un épisode hystérique à gros seins où l'école manque de se faire exploser et Arata de se faire dégommer. Dommage, avant d'avoir ken entre deux gros seins.

Finalement j'ai compris pourquoi ce manga était un sein-en... Il y en a de gros. Malheureusement, on ne les voit pas vraiment. Censure japonaise oblige, ils sont floutés, non dessinés ou couverts. Et même, les seuls dont on ait les mensurations font du 82C... soit pas spécialement volumineux.

Bref, j'avais déjà lu des mangas nuls, mais celui-ci décroche la palme.

Bien sûr, ce manga joue la carte de l'humour à gros seins. Façon Bigard japonais, somme toute. Mais 160 pages de vide, cela fait quand même beaucoup à se farcir pour quelques gros seins.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
-Édition spéciale! Un nouvel étudiant arrive en cours d'année! On raconte qu'il aurai un pouvoir colossal digne du Mao!
*bom*
-Eh bien... il a l'air balèze lui!
-AH! LE NOUVEAU!
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