La chronique des Bridgerton - Intégrale, tome 1

Les Bridgerton sont une famille d'aristocrates anglais du début 19ème siècle. le patriarche est décédé et c'est désormais à l'aîné de la famille Anthony, que revient la charge de la famille.
Dans cette première intégrale, nous suivons d'abord Daphné, la soeur aînée qui a fait son entrée sur le "marché" du mariage. Attirée par un lord, ami de son frère, elle va l'épouser malgré l'impossibilité de ce dernier d'avoir un enfant.
Dans la deuxième partie, nous suivons Anthony pour qui le mariage est un devoir et une charge supplémentaire destiné à prolonger le nom des Bridgerton. Les sentiments n'ont pas de place dans cette affaire jusqu'à sa rencontre avec une jeune fille en particulier.

J'ai aimé l'ambiance vieille aristocratie anglaise de ce début du 19ème siècle à travers les descriptions des décors et des vêtements. le climat social est bien rendu lors des soirées mondaines où les jeunes filles s'exhibent telles des pouliches à acheter. En revanche, le récit aurait gagné à approfondir la situation politique et sociale de cette période mais j'imagine que ce n'est pas le but recherché lors de cette lecture.

Certaines situations cocasses ont eu le mérite de me faire sourire mais dans l'ensemble j'ai trouvé tout cela plutôt niais. Les personnages sont des caricatures et manquent vraiment de nuances. Au final, c'est la chroniqueuse anonyme qui m'aura le plus amusée. J'ai préféré le personnage d'Anthony à celui de Daphné. Cette dernière a définitivement perdu ma sympathie avec ses méthodes scabreuses pour avoir un enfant.

Dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment mais sans plus. J'ai l'intégrale 2 qui m'attend. J'hésite à le lire pour être honnête.

TOME 1
étoiles : 3/5

Je n'ai pas vu la série TV mais je n'ai pu échapper au lavage de cerveau "Bridgerton" sur les réseaux sociaux, donc oui , moi aussi , faible âme , j'ai voulu savoir et, PAF , me voilà ...

Du sous-sous-sous-sous-Jane-Austen revisité façon film-de-Noël croisé avec un film-érotique (voire porno-soft: après le mariage c'est la fête-du-slip les amis ...).

Selon moi ça ne vaut pas du tout 4 étoiles ( je suis même gentille avec mon 3 étoiles) car il y a peu de subtilités et beauuuuuucouuuup de longueurs (genre au début on passe plus de 5 pages à hésiter pour savoir si on ramasse ou pas Nigel qui s'est vautré la tronche par terre après avoir essayé de tripoter Daphné ... On le ramasse ? oui ... non ... euh... peut-être ... ah il se relève ... on l'aide... non ...ah il retombe ..on fait quoi etc... )(franchement pfffff) mais ça se lit (et pour ma part je me suis couchée à 3H du mat avec toutes ces bêtises, parce que je ne pouvais pas lâcher ce maudit bouquin)(malgré les grosses ficelles ça émoustille Mémé toutes ces bêtises, ah ! ).

En route pour le tome 2 bien sûr !

TOME 2
étoiles : 1,5 /5

J'arrive ici après avoir lu (forcément) le tome 1 à qui j'ai mis, presque contrainte (ah!) , 3 étoiles ... Alors je ne peux me permettre de "trop" noter ce tome-ci que j'ai nettement moins apprécié.

Déjà, quasi dès les premiers chapitres, erreur fatale de la part de l'autrice : le bellâtre file un coup de pied dans le ventre de l'héroïne, volontairement, et il aime ça (je cite "Pour dire la vérité, ce ne fut pas sans un soupçon de plaisir qu'il la frappa alors qu'elle était à terre").
Sans déconner ??? Déjà qu'Anthony m'avait saoulée dans le tome1 (avec son envie ridicule de se battre toutes les trois pages avec un gars qui aimait sincèrement sa soeur ... ) là franchement : la consternation.
On ne tripe pas sur les mêmes gars , Julia Quinn et moi ... Je n'ai jamais fantasmé sur un gars qui me filerait un coup de pied dans le ventre ...
BREF ... ça gâche vraiment le personnage (si tant est que ... bref) ... et on aurait pu se passer de ce paragraphe qui n'ajoute rien à "l'intrigue" (... ).

Non et puis : "un couple se forme, le gars se retient d'aimer trop la nana parce que bon faut pas tomber amoureux d'une femme non plus, il s'enfuit un peu avant la fin du bouquin pour revenir se jeter dans les bras de sa dulcinée lors des derniers chapitres" . Ok , ça se passe comme ça pour les deux premiers tomes, mais si tu nous remets ça dans le tome 3 , Julia Quinn, ça ne passera plus hein ... faut pas exagérer.

Alors pourquoi ai-je mis tout de même 1,5 étoiles ? Eh bien parce que je l'ai lu et que je n'ai pas eu envie de laisser tomber cette lecture en cours de route (eh ben ouais ... c'est facile une romance, ça accroche forcément la "ménagère" ... eh voilà ... on se retrouve à attendre le tome 3 maintenant ... pffff quelle faiblesse ... ah! :-)

Chronique en deux temps : je viens de finir la partie 1 consacrée à Daphné. je parlerai de la partie 2 plus tard.
Comme beaucoup sans doute, je suis arrivée au livre après avoir vu la saison 1 de la série de Netflix qui reprend l'intrigue autour de Daphné et le Duc. J'ai regardé la série par curiosité après en avoir tellement entendu parler, voulant me faire ma propre opinion. J'en étais sortie avec un impression mitigée : les deux personnages principaux avaient une certaine épaisseur et l'évolution de leurs relations était intéressante, mais l'histoire était à mon goût mal desservie par tout le cadre autour : une espère d'uchronie ou un faux cadre historique plein d'anachronismes, un choix de casting se voulant plus politiquement correct que historiquement probable et des scènes de sexe à tout-va qui ne servaient pas à grand chose si ce n'est flatter le côté voyeuriste du spectateur. Je me suis donc tournée vers le livre, en général meilleur que l'adaptation en série/film comme me l'avaient dit certains amis lecteurs. C'est effectivement le cas.
Le livre 1 ne présente pas autant de "fioritures" que la série, ce que j'ai apprécié ! Il se concentre vraiment sur la relation Daphné/Simon et les liens familiaux, et leurs psychologies : et c'est bien mieux et plus intéressant. Je trouve qu'il y a un peu de Rhett Butler et Scarlett O'Hara dans les non-dits et la tension entre les deux personnages.
Historiquement, le cadre du livre est beaucoup plus juste : on retrouve les conventions et codes sociaux de l'époque, avec chacun sa place, chacun son rôle; il est donc plus crédible aussi : ouf ! Bien sûr, ma lecture a été certainement biaisée par le fait de connaître l'essentiel de l'histoire avec des images de la série. Certes, l'écriture est très "simple" et les dialogues ne brillent pas forcément par leur originalité, mais il y a deux -trois répliques assez drôles et piquantes. Ca se lit très vite, c'est "léger" : il ne faut pas s'attendre une fresque historique, plutôt un roman amoureux dans un cadre historique, comme Angélique marquise des Anges à la mode contemporaine. C'est donc une "légèreté distrayante". J'attends la lecture du volume 2 consacré à Anthony (un personnage que j'aime bien) pour confirmer cette assez bonne première impression.

ET HOP, me revoilà pour la partie 2 consacrée à Anthony.
Si vite ? eh oui : Bridgerton, ça se lit vite, très vite ! L'écriture ne demande pas d'ouvrir un dictionnaire. C'est une écriture simple, rapide et efficace, et l'intrigue ne se perd pas en route, elle est simple et ne perd pas le lecteur non plus ! On comprend très vite ce qu'il va se passer ....
Cette deuxième histoire est un peu décevante quand même ! j'ai eu l'impression de retrouver les mêmes ficelles d'intrigue et les mêmes caractéristiques générales des personnages, certaines scènes aussi (discussions mère/fille pré-nuptiale et nuit de noce, par exemple). Pour faire court et un brin caricatural, c'est du Jane Austen (pour le cadre géographique et chronologique et la course au mariage) version light et très modernisée. Cependant, si les personnages de Jane Austen sont avant tout dans la retenue et des êtres de pensées, ceux de Julia Quinn sont des créatures très sensuelles, avec toujours le même profil -certes lié à l'époque : mademoiselle est une ingénue qui n'a d'autre choix de vie décent que de se marier et monsieur succombe à l'oiselle -contre son gré : aimer sa femme serait d'un vulgaire !- mais devenu son mari il est son professeur de débauche, fort de son expérience et ravi d'avoir succombé. Après le mariage, survient un obstacle/une contrariété/un problème, qu'ils vont résoudre dans l'amour .... et les licornes gambadent dans la prairie au milieu des arcs-en-ciel.
La différence ici, c'est que c'est un garçon qu'il faut marier : on inverse le centre de l'histoire (Daphné dans le tome 1, Anthony dans le tome 2). Néanmoins dans une même scène JQ change de narrateur, ce qui peut être intéressant. Kate a une certaine parenté avec Elisabeth Bennet ("jamais ma soeur ne l'épousera, moi encore moins, ... quoi que mince il n'est pas ce qu'il semble et même zut il me plaît"). Anthony gouverne sa vie dans la perspective d'une mort précoce et refuse l'amour, ne voulant que faire son devoir : un héritier pour le titre et le nom (l'inverse de Simon, donc). L'un et l'autre ont gardé de leur enfance un traumatisme qu'ils vont guérir à deux : Julia Quinn évoque ici les relations filiales d'une manière assez forte et touchante. Comme dans Daphné et le Duc, le mariage arrive "à l'insu de leur plein gré" : décidément les Bridgerton ont un don pour se faire surprendre quand ils ne respectent pas les convenances ce qui les entraînent jusqu'à l'autel ... là où ils voulaient aller finalement, mais dans une situation ambiguë c'est quand même mieux pour garder l'attention du lecteur !!! Il y a dans ce deuxième tome, beaucoup de rires et de beaux moments familiaux qui m'ont plu, comme l'irrésistible partie de croquet (Pall Mall) ou la tendance qu'ont les Bridgerton à tout le temps "se mettre en boîte" et se menacer de s'assassiner les uns et les autres alors que l'amour familial le dispute à l'agacement et à la taquinerie.
en BREF : Il y a quand même de grosses redondances entre les 2 histoires, dans les caractéristiques des personnages et les situations qu'ils traversent. Néanmoins c'est "léger" et distrayant, comme un Gala ou un Voici grand format : savoir ou non ce qu'il va advenir des personnages ne changera pas votre vie, mais puisqu'on l'a sous la main, ça fait passer le temps sans prise de tête. J'espère quand même qu'il y a aura plus de variété dans la suite, car sinon la première série : 9 tomes, va être longue et je n'irai pas au bout.

Après le succès de l'adaptation télévisée sur Netflix du livre de Julia Quinn, « Daphné et le duc », les Éditions J'ai lu ont réédité La chronique des Bridgerton dans un volume qui regroupe les deux premiers tomes, parus pour la première fois en 2000 et sortis plus tard en France dans la collection Aventures et Passions. En treize ans, l'auteur a écrit une série de onze tomes qui retracent dans la haute société de la Régence anglaise, les amours d'une fratrie de huit enfants ; quatre garçons et quatre filles.

Lady Violet Bridgerton, veuve depuis quelques années, a la lourde charge de veiller au bien-être de sa famille et de mener à bien les mariages de ses enfants. Ayant laissé à la mort de son mari la gestion de leur patrimoine à son fils aîné, le vicomte Anthony, elle se dévoue dans l'immédiat à Daphné qui a l'âge d'être courtisée et présentée à la cour. C'est la saison des bals, les jeunes célibataires se mettent en quête de trouver un mari, une femme, et Daphné, débutante accomplie, est la jeune fille la plus convoitée.
Il règne dans la demeure une joyeuse effervescence et si Daphné se prête au jeu des préparatifs avec complaisance, au plus secret de son coeur, elle rechigne à n'être qu'une proie pour des jeunes rapaces, et rêve de trouver un amour sincère.

L'actualité de cette aristocratie se partage entre les évènements mondains et les commérages sur une certaine lady Whistledown qui écrit des articles dans le journal La Chronique Mondaine. On ne sait rien de cette journaliste ou de ce journaliste et le mystère sur son identité alimente les discutions. Sur un ton humoristique, elle raconte l'intimité de la haute société avec beaucoup de piquant, son encre est parfois du vitriol, et chose surprenante, elle semble connaître les cachotteries des uns et des autres. Dans son dernier billet, elle annonce le retour du duc de Hastings, Simon Basset, qui avait quitté l'Angleterre après s'être disputé avec son père. Revenu pour prendre son titre à la mort de son géniteur, Simon va être l'un de ses sujets favoris… (avec Daphné).

Julia Quinn écrit dans son prologue les raisons pour lesquelles Simon a fui son père. On sait alors qu'à sa naissance sa mère mourut et que sa petite enfance ne fut pas heureuse avec un père violent et très sévère. le rejet a pour origine le bégaiement de Simon. Doté d'une intelligence peu commune, beau et fort, le petit garçon aurait pu être la fierté de sa famille, mais son « handicap » ne fut jamais accepté. Confié aux soins d'une gouvernante aimante qui fut pour lui une mère de substitution et qui lui apprit à bien respirer et à bien articuler, c'est à l'âge de onze ans que Simon se sentit capable d'affronter le duc. Mais c'est aussi à cet âge, qu'il prit conscience de l'inanité de son espoir… se faire aimer. En arrivant au château, il eut la surprise d'apprendre que pour tous, le jeune lord Clyvedon, héritier du duché, était mort. La confrontation avec son père fut une douleur supplémentaire et radicale car à compter de ce jour, le jeune Simon prit la décision d'être « l'exact opposé du fils désiré ».
Une jeunesse agitée, noceur et briseur des coeurs, le nouveau duc de Hastings a une sacrée réputation et pourtant, après une absence de six années passées à l'étranger, sa présence est recherchée car il est resté un homme intègre et bon. Fidèle en amitié, c'est avec une grande joie qu'il retrouve et renoue avec son meilleur ami d'Oxford et d'Eton, le vicomte Anthony Bridgerton, qui lui conseille de se montrer pragmatique en acceptant son héritage.

Les préoccupations des deux amis sont très différentes ! L'un est dans les souvenirs malheureux des relations avec son père et encore habité par la haine, et l'autre ne sait comment guider sa jeune soeur Daphné face à ses soupirants.
Bien que toujours souriante et enthousiaste, Daphné ne peut cacher à son frère ses véritables sentiments. Lasse, elle doute de ces damoiseaux si fades qui viennent la voir. Et ceux qu'elle trouve attirants n'osent pas s'approcher de peur de contrarier les frères Bridgerton.

Réunis en certaines occasions, bals, visites de courtoisie et promenades, Daphné et Simon vont se découvrir, sympathiser et conclure un pacte. Simon se plaint d'être poursuivi par les mères qui désirent avoir pour gendre un duc, et Daphné se plaint de ne pas avoir un véritable galant. Un complot assez fou germe dans la tête de Daphné qui lui propose des fiançailles de pacotille pour éloigner les marieuses et signifier que la demoiselle Bridgerton n'est pas si inaccessible…

A jouer avec le feu, on se brûle… et les deux jeunes gens vont être obligés de se marier. de la passion à l'amour, le chemin est plein d'embûches mais l'histoire sera belle.

Ce premier tome est plaisant à lire mais la romance a des passages assez critiques. Les obsessions de Daphné et du duc les conduisent à des actes peu honorables. Ça pourrait pimenter le scénario, mais à bien réfléchir ce n'est pas terrible…
Il faut donc s'attendre à lire une histoire romanesque légère et enflammée, qui charmera surtout la lectrice avec ses personnages secondaires et cette mystérieuse lady Whistledown qui ne dévoilera son identité que dans le quatrième tome.

Dans le second tome, c'est l'histoire d'Anthony qui est racontée.

Anthony prend la charge de sa famille à l'âge de dix-huit ans lorsque son père le vicomte décède. Aîné de la fratrie, il essaie d'être également le père manquant pour ses frères et soeurs, ainsi qu'un soutien infaillible pour sa mère.
Sa personnalité est complexe et double car il est tiraillé par ses devoirs de vicomte, l'image de droiture qu'il doit donner en exemple, et son tempérament de jouisseur. Traumatisé par la mort de son père à l'âge de trente-huit ans, il a la désolante idée que la vie est courte et que le grand amour n'est pas à la portée de tous.
C'est donc sans grande illusion qu'il décide un jour de se marier pour engendrer un héritier et qu'il jette son dévolu sur Edwina Sheffield, une jeune fille de dix-sept ans qui se lance dans le monde chaperonnée par sa soeur Kate.

Lorsque Kate Sheffield voit sa cadette danser au bras du vicomte de Bridgerton, c'est tout un chapelet de synonymes du mot « débauché » qui lui vient à l'esprit. Elle verrait plus un gentil mari pour Edwina, gentil et lettré, qui lui parlerait de littérature et lui réciterait de la poésie. Mais c'est sans compter la détermination d'Anthony qui voit en Edwina la mère parfaite de ses futurs enfants et qui adore encore plus faire enrager Kate.
Anthony s'applique à montrer ses meilleurs atouts et son charme fait des ravages. Il connaît bien les jeux de la séduction, et pourtant l'engrenage s'enraille quand son esprit songe à Kate… la belle et désirable Kate.
Un petit séjour à la campagne, dans la maison ancestrale, en compagnie des demoiselles Sheffield pourrait bien redéfinir les choses…

J'ai trouvé cette suite bien plus attrayante que le premier tome et pourtant l'histoire n'a rien d'original, mais lorsqu'on lit ce genre de romance, on n'en demande pas plus… Il est marrant de lire les tourments amoureux d'Anthony et de voir son personnage évoluer et s'abandonner à Kate.
Je tiens à préciser que cette saga a été écrite il y a plus de vingt ans et que la plume de l'auteur serait peut-être différente aujourd'hui.
Je suivrai avec plaisir les prochaines histoires qui raconteront les amours de Bénedict et de Colin Bridgerton.

Après le succès Netflix, il fallait absolument que je lise les romans… et c'est une déception pour moi.

Autant j'adore la série, mais je trouve les livres assez plat. J'ai eu du mal à finir le 2ème tome.

Nous suivons donc dans le tome 1, les aventures de Daphné et dans le tome 2, celles d'Anthony.

La partie avec Anthony est quand même un peu plus intéressante mais rien à voir avec la série où j'ai eu un énorme coup de coeur pour les personnages d'Anthony et Kate.
Je les trouve pas si attachants dans le livre. C'est plat, c'est mou. L'histoire, à chaque fois, se concentre seulement sur un personnage, ce qui est dommage. Je trouve qu'en intégrant les autres personnages de la famille Bridgerton, ça donnerait un peu plus de peps comme dans la série.

Je ne pense pas lire la suite du coup…

Que dire de cette relecture à part qu'elle a été plutôt plaisante mais quand même un peu longue…

La famille Bridgerton est très distrayante à suivre et j'ai eu une nette préférence pour l'histoire d'Anthony, trouvant celle de Daphné un peu trop niaise à mon goût.

Néanmoins, il faut aimer le mélodramatique à gogo mais comme c'est amené avec humour, j'ai accepté de poursuivre les aventures de cette drôle de famille aristocratique avec plaisir.

Je pense donc poursuivre la redécouverte de cette saga avec assez d'enthousiasme pour l'instant !

J'avais bien aimé le premier tome consacré à Daphné mais j'ai été beaucoup moins emballée par le deuxième tome qui tourne autour d'Anthony, l'aîné de la fratrie.

L'histoire est très prévisible : dès le début on devine facilement comment va se dérouler et se terminer l'intrigue. Il n'y a aucune surprise mais ça ne m'a pas empêchée de me laisser porter par l'histoire même si celle-ci ne m'a pas passionnée plus que ça.

La plume de l'auteure est fluide et agréable et on se plonge sans difficultés dans le roman.

Je n'ai malheureusement pas aimé le personnage d'Anthony que j'ai trouvé assez agaçant durant une bonne partie du roman. Cependant, j'ai apprécié les autres personnages et j'ai bien envie d'en découvrir un peu plus sur eux dans les prochains tomes.

Alors alors...
Ces deux premiers tomes...
Ils se lisent très bien là dessus rien à dire... après les scénarii ne réservent pas de grandes surprises, on voit venir de loin ce qu'il va se passer; mais on est captivé, et on veut aller jusqu'au bout de la lecture..
Je dirais qu'ils ressemblent un peu à des sucreries, on connaît le goût, la couleur etc.. on sait que ce n'est pas forcément exceptionnelle, mais on ne peut pas s'empêcher d'en manger..
Donc un ressenti un peu mi-figue, mi-raisin..
Je n'ai pas adoré, mais je ne peux pas dire que la lecture des aventures d'amour des différentes protagonistes ne m'a pas diverti!
Donc je conclurai que les amateurs d'histoire d'amour plutôt érotique (il faut le dire) vont adorer, et les autres passeront un bon moment en lisant ces romans!

Hello à tous,
Je voulais vous faire un retour sur ma lecture du tome 1 et 2 de la chronique des Bridgerton.
Le tome 1 est une déception pour moi.
Il faut savoir que j'ai vu la série avant de lire les livres.
Le tome 1 étant consacré à Daphné et le Duc , il m'a manqué tous les éléments de décors, costumes et surtout plus de détails sur les autres personnages par rapport à la série.
Pour ceux qui ont vu la série, la scène de viol est différente dans le livre puisque Simon est inconscient contrairement à la série où il est bien conscient. Cette scène a choquée pas mal de lectrice et je peux le comprendre. En effet cet acte est minimisé car effectué par une femme et laisse l'homme culpabiliser.
J'ai tout de même passé un bon moment de lecture mais déçue sur ce tome.

J'ai en revanche eu un coup de coeur sur le tome 2 avec les personnages de Anthony Bridgerton et Kate, on s'y attache bien et j'ai trouvé l'histoire plus captivante que dans le tome 1.

Je lirai avec plaisir la suite ( que je me suis déjà procurée).

J'ai lu ce livre en lecture commune avec @cecilia_cherieblossom et @lecturedemarie ainsi que @naomidaumale .

Comme beaucoup, je me mise à lire cette chronologie qui a été mise en scène dans une série sur Netflix (que j'ai pas vue).
Je suis mitigée pour cette série (je n'ai lu que les 2 premiers tomes). Je trouve la lecture agréable, facile, reposante et distrayante mais je trouve que les histoires se ressemblent (c'est franchement la même histoire entre le tome 1 et 2). de plus, je trouve que ce n'est pas vraiment très historique, je m'attendais à un peu plus de descriptions qui expliquent l'époque.. Ici il n'y en a pas du tout.
Je pense néanmoins lire le reste de la série mais ce sera vraiment quand j'ai le temps car ce n'est pas un livre prioritaire.

Cette série raconte l'histoire des 8 enfants des Bridgerton: 4 garçons, 4 filles.
Il est temps de marier les plus grands et c'est lors des "saisons " à Londres que se déroule l'histoire.
Le 1er tome est consacrée à la saison de Daphné et le 2eme tome est consacré à Anthony.
Alors, vont-ils se marier ?