Avant de lire cet ouvrage, j'avais connaissance que les femmes étaient souvent minoritaires voir absentes des essais cliniques pour évaluer l'efficacité des nouveaux traitements. J'imaginais bien que tout le processus, de la conception à la commercialisation, et même la prescription, étaient composés majoritairement d'hommes.
Toutefois, trois informations m'ont marqué :
1- Les femmes sont majoritaires à signaler des effets indésirables.
2- Elles représentent un marché juteux entre taxe rose et femwhasing.
3- L'histoire des scandales pharmaceutiques se répète.
Une mise en lumière très intéressante qui incite à être vigilant sur les bénéfices-risques des traitements auxquels nous avons recours.
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