Le plus insupportable dans la perte, serait-ce la perte de vue ? Annoncerait-elle, chez l'autre, l'absolu retrait d'amour et, en nous, l'inquiétude d'une infirmité foncière : ne pas être capable d'aimer l'invisible ?
Telle est la question que déploie ce livre qui s'ordonne selon trois axes. Il décrit d'abord quelques formes du refus de la perte, de l'apathie à la réaction thérapeutique négative en passant par l'amour de la haine. Il a... >Voir plus
... il n’y a d’analyse effective, c’est-à-dire d’analyse qui engage aussi l’inconscient de l’analyste, que celle qui nous porte aux limites, dans une épreuve des limites et de nos propres limites.