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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Il y a des livres qui vous marquent, vous habitent plus que d'autres. Et le roman "La maison des hollandais" de Ann Patchett en fait partie.
J'ai eu un coup de coeur pour ce roman. Il m'a résisté au début mais ensuite, j'ai moi aussi gravi les marches de la maison des hollandais. Cette maison de Maître est un personnage à part entière. Elle est le symbole d'une enfance fracturée, de l'abandon de deux parents par une mère en souffrance et de la réconciliation.

Résumé
Danny et sa soeur Maeve vivent dans une belle demeure dans la banlieue de Philadelphie. Depuis le départ de leur mère, ils sont élevés par un père froid et distant et par deux femmes, personnel de maison, Sandy et Jocelyn, qui leur apportent l'affection et la tendresse dont ils ont besoin.
Mais un jour, leur père croise le chemin d'une femme, Andrea. Cette rencontre brisera à jamais l'équilibre si fragile de cette famille.

Avis
Ce roman m'a bouleversé. L'auteure nous montre comment des liens si forts entre un frère et une soeur peuvent nous sauver de l'abîme. Comment se remettre un jour de l'abandon d'une mère, de l'indifférence d'un père et de la cruauté d'une belle-mère? Des lieux qui ont abrité toute votre enfance peuvent devenir douloureux et vous hanter toute votre vie.
Danny et Maeve tentent de se construire en tant qu'adulte malgré ce trou béant au coeur. Mais ce roman ne tombe jamais dans le pathos.
Les sujets abordés dans ce livre sont multiples: la figure de la mère, la transmission et l'amour fraternel.
Mais surtout, Ann Patchett nous montre le chemin difficile du pardon.
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Danny, le narrateur de cette histoire, et sa soeur Maeve vivent dans « la maison des Hollandais », ainsi nommée à cause des précédents propriétaires. Cette maison , leur mère la déteste, au point de ne plus pouvoir y vivre : elle abandonne sa famille pour s'engager auprès des plus démunis , en Inde. Et quand leur père tombe dans les griffes de la jeune Andréa, leur vie à tous va prendre un tournant dramatique…

J'ai beaucoup aimé ce roman où la maison est un personnage à part entière. Attractive pour certains, détestée par d'autres, elle est le lieu où se cristallisent tous les souvenirs et dont personne n'arrive à se détacher. Il y a des scènes fortes qui restent en mémoire ( les retrouvailles avec la mère, le retour à la maison 27 ans après…), d'autant que beaucoup de scènes se répètent, mais dans une constante évolution ( par exemple ,les dialogues du frère et de la soeur dans la voiture, quand ils reviennent devant la maison, sans jamais y entrer). le récit joue avec le temps, Danny évoque des faits passés, joue avec des indices sur ce qui va se passer par la suite, des prolepses que le lecteur ne comprend qu'à la fin de l'histoire, une fois que les pièces du puzzle s'emboitent les unes aux autres. Les personnages eux-mêmes sont travaillés dans un jeu de parallélisme et d'opposition (les deux mères, Céleste et Maeve… ).
Ce roman m'a donné envie de lire un autre ouvrage de cette autrice !
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Maeve et Danny Conroy ont grandi dans la maison des hollandais. Cette majestueuse et grandiose demeure fut construite en 1922 par les VanHoebeek qui avaient fait fortune dans le commerce de cigarettes avant d'être ruinés par la crise de 1929. le père de Maeve et Conroy acheta la maison en 1946 pour faire une surprise à sa femme. Cadeau qu'elle appréciera très modérément puisqu'elle la quitta du jour au lendemain sans explication. le lien entre les deux enfants se resserre alors pour devenir inextricable. Des employées dévouées et bienveillantes s'occupent des deux enfants pendant que le père travaille et consolide sa fortune faite dans l'immobilier. Ce dernier demande un jour de venir au salon où il leur présente Andrea, jeune veuve, mère de deux filles. L'arrivée de cette femme va bouleverser à jamais la vie de Maeve et Danny.

J'ai ouvert « La maison des hollandais » avec un mélange d'excitation et d'appréhension, le dernier roman d'Ann Patchett serait-il à la hauteur du formidable « Orange amère » ? La réponse est oui, mille fois oui. L'auteure reprend des thématiques déjà présentes dans son précédent roman. Nous sommes ici également dans une chronique familiale qui va se déployer dans le temps. Comme dans « Orange amère », Ann Patchett choisit un récit non linéaire : le narrateur, Danny, fait des aller-retours entre le passé et le présent sans que nous ne soyons jamais perdu. le récit se déroule avec une extraordinaire fluidité. le point de départ du livre est l'arrivée dans la famille Conroy d'Andrea. Comme dans son précédent roman, l'arrivée d'une personne extérieure à la famille va totalement en bouleverser l'équilibre. Il est l'évènement traumatique qui va décider de la vie de Maeve et Danny. Ce point de rupture va être un point de cristallisation du passé vers lequel les deux personnages centraux vont sans cesse se retourner. Les personnages sont vraiment l'un des points forts du roman. Immédiatement, j'ai éprouvé de l'empathie, de la sympathie pour Maeve et Danny. le lien indéfectible qui existe entre eux est magnifique. D'ailleurs, au travers de son récit, Danny souhaite avant tout raconter l'histoire de sa soeur, lui rendre hommage. Et ils sont tous les deux formidablement bien entourés, tous les personnages secondaires sont incarnés : Pluche, la nounou qui réapparait des années plus tard, Sandy et Jocelyn, les soeurs d'une loyauté sans faille, le père distant et pudique, Andrea, la marâtre de conte de fée, M. Otterson, le discret et fidèle patron de Maeve. Tous contribuent à faire vibrer le lecteur au fil des pages.

Il ne faut pas oublier de mentionner l'un des personnages centraux, si ce n'est le principal, la maison. A la façon du Menderley de « Rebecca », la maison des hollandais influence le destin des personnages. Son histoire est fascinante. Lorsque le père l'achète, tous les effets des VanHoebeek sont encore dedans. Les Conroy vont vivre dans les meubles des anciens propriétaires, avec leurs portraits accrochés aux murs. Seule appropriation des lieux par la famille Conroy : le magnifique portrait de Maeve qui a été imaginé par Noah Saterstrom pour la couverture du livre. La maison des hollandais est très minutieusement décrite, elle est aussi luxueuse qu'oppressante, elle semble tour à tour porteuse de malédiction et lieu protecteur car lieu des souvenirs d'enfance. le rapport de Maeve et Danny avec cette maison est très finement analysé.

Cela semblait difficile mais « La maison des hollandais » m'a encore plus enchantée que « Orange amère ». C'est avec grâce et élégance qu'Ann Patchett nous fait le récit de la vie de Maeve et Danny, deux personnages infiniment attachants.
Lien : https://plaisirsacultiver.com/
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Après mon gros coup de coeur pour « Orange amère » (qui vient de sortir en poche chez Babel), j'étais très impatiente de lire le nouveau roman d'Ann Patchett. Et ce fut, à nouveau, une lecture délicieusement passionnante !

Un frère et une soeur, Dany et Maeve, voient leurs vies bouleversées quand leur mère s'enfuit en Inde. Leur père se remarie avec Andrea, affreuse belle-mère qui impose ses deux filles et s'empresse de chasser Dany et Maeve de la maison à la mort de leur père. Une fois adulte, ils reviendront souvent devant la Maison des Hollandais, revivre leurs souvenirs d'enfance.

Quel roman ! La Maison des Hollandais en est le personnage central et le pilier.

Chronique à lire sur mon blog !
Lien : https://histoiresdenlire.wor..
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Rien de tel que des secrets de famille pour se laisser embarquer dans une lecture addictive.
Ajoutez une maison intrigante et vous voilà pris au piège d'une excellente lecture.
A.Patchett a le don de nous raconter des histoires émouvantes, tragiques comme un conte de fée.
Les lecteurs de "Rébecca" de Daphnée du Maurier (1938) savent de quoi je parle.
Comment des lieux forgent nos souvenirs d'enfance, notre avenir et notre destin ?
C'est tout le sujet de ce roman splendide.
Cette "Maison des Hollandais" est l'axe central, l'architecture d'une histoire familiale remplie d'émotions partagées entre un frère et une soeur, Danny et Maeve unis dans leurs joies et leurs peines d'un passé douloureux.
A.Patchett excelle à éclairer les âmes humaines, pardon et abandon sillonnent ce roman passionnant.
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Lorsque les époux Conroy franchissent le seuil de l'imposante maison de ce quartier tranquille de Philadelphia, ils ne se doutent pas qu'il signe la fin de leur union. Cyril Conroy est heureux d'offrir à son épouse cette majestueuse maison symbole de reconnaissance et d'ascension sociale La maison des Hollandais est une demeure plantureuse et singulière construite dans les années 20 par les VanHoebeek qui avaient fait fortune avec les cigarettes durant la guerre, avant de finir ruiner. Leur portrait trône en bonne place au milieu de la maison.
Mais l'effet n'est pas celui escompté, ni les hirondelles sculptées dans les boiseries de la salle d'eau, ni l'immense salle de bal, pas même le plafond bleu et or tel une voute céleste, ne changeront la donne.
Alors Elna Conroy va s'enfuir, quitter mari et enfants. Quelques temps plus tard Andrea s'installe dans cette même demeure, si la première épouse était insensible à la maison des Hollandais, la nouvelle est subjuguée, véritablement fascinée !
Quand leur père décède prématurément d'une crise cardiaque, Maeve et Danny sont congédier sans état d'âme. Alors pour les enfants Conroy l'histoire prend un gout de paradis perdu.
Maeve va veiller sur son frère et le pousser loin dans les études, il sera médecin, contre son gré mais médecin quand même ! Et rituellement, ils reviendront dans la contre allée de la maison des Hollandais, tapis dans la voiture ils remonteront les souvenirs tandis que les lumières dansent devant les fenêtres. Besoin de comprendre et de revenir sur les zones d'ombre de leur enfance. Pourquoi leur mère est-elle partie ? Pourquoi les domestiques Sandy et Jocelyn lui sont-elles restées si attachées ? Qui était Pluche, leur nounou, proche un temps de leur père ?
Maeve et Danny n'ont pas les mêmes perceptions de leur enfance, le souvenir est tenace mais pas si juste !
Un livre à la veine romanesque, envoutant et addictif à l'image de la maison des hollandais.
Il y est question de fratrie et des liens indéfectibles tissés quand les parents ne sont pas fiables, du souvenir et de ce qu'il en advient une fois adulte.
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Cyril Conroy, parti de rien et devenu un magnat de l'immobiler, a acquis en 1946 un manoir dans une riche banlieue de Philadelphie pour y loger sa famille, sa femme Elna, et leurs 2 enfants, Maeve et Danny. Une maison immense datant de 1922, entièrement meublée, un cadeau surprise à sa femme, alors que Maeve a 5 ans et que Danny n'est pas encore né.
La maison, construite par un couple hollandais qui a fait fortune dans la cigarette, n'a pas été vidée. Les imposants portraits des anciens propriétaires trônent toujours dans le salon.
Une maison somptueuse avec d'immenses vitres qui recèle des histoires sombres et qui est au coeur de ce roman.
Alors que Maeve est âgée de 10 ans et Danny 3, leur mère s'en va. Sa disparition cimente un lien indestructible et puissant entre Maeve et Danny, un amour indéfectible qui sera renforcé par les épreuves.
Ils restent seuls quelque temps avec leur père, un homme mystérieux, impénétrable, rigide et froid, ainsi que 2 autres employées de maison après le renvoi de leur nounou, Pluche, qui servait déjà les anciens propriétaires.
Un matin, Maeve et Danny sont appelés pour saluer une jolie et jeune veuve prénommée Andrea. Elle est fascinée par la maison. Elle va s'y frayer un chemin accompagnée de ses 2 petites filles. L'arrivée de cette femme, encore plus que le départ de leur mère, signe la fin de l'innocence et de l'enfance de Maeve et Danny.
Le roman est écrit à la 1ère personne du point de vue adulte de Danny. On va suivre le frère et la soeur pendant 50 ans.
Comme la mémoire, le récit n'est pas linéaire et fait des allers et retours dans le temps.
Dans cette histoire, seule la maison ne change pas, seul élément immuable de leur vie (une maison si bien décrite qu'elle semble exister!) et devant laquelle ils vont instaurer un rituel. Ils vont prendre l'habitude de se garer dans leur ancienne rue, en face de la maison et passer du temps assis dans la voiture de Maeve à discuter.
Ce roman est une histoire de paradis perdu, représenté par la maison qui cristallise leurs différentes pertes et les émotions qui y sont liées.
C'est également l'histoire d'un frère et d'une soeur qui s'adore. Presque une déclaration d'amour à une soeur (le but initial du récit de Danny étant d'ailleurs de raconter l'histoire de Maeve).
Ce roman lumineux est captivant et saisit « avec brio comment le temps défait toutes les certitudes. »
Comme à son habitude, Ann Patchett se montre une fine observatrice de la nature humaine et maîtrise à merveille le vieillissement d'un ensemble de personnages sur plusieurs décennies. Et elle confirme qu'elle est une conteuse hors pair.
La romancière revisite ses préoccupations principales: les familles dysfonctionnelles avec lesquelles les enfants doivent grandir, l'instabilité de la vie familiale, les liens entre frères et soeurs et le processus de pardon.
J'apprécie énormément les romans dans lesquels une maison constitue le coeur du roman (je pense notamment à Rebecca) et représente une charge symbolique émotionnelle très forte en lien avec les personnages. Celui-ci ne fait pas exception. En bref, une réussite!
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Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec The Dutch House ?
"C'est encore une histoire d'Instagram et de jolies couvertures que vous commencez à connaître. de plus, Ann Patchett est encensée par la critique et j'avais vraiment envie de découvrir sa plume."

Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Danny nous raconte son enfance, et celle de sa soeur Maeve. Grandir à "The Dutch House", les samedis juste entre son père et lui, sa nouvelle belle-mère qui ne les a jamais aimés... Puis l'âge adulte, et tout le reste..."

Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"Pour dire toute la vérité, quand j'ai reçu ce livre, j'ai un peu regretté de l'avoir commandé. Tout à coup, il me faisait un peur... Et puis je l'ai commencé et je n'ai plus eu le temps de m'interroger. J'ai été séduite dès les premières pages. Tout d'abord, c'est bien écrit mais dans un anglais complètement fluide, à tel point que j'ai rapidement oublié que je ne lisais pas dans ma langue maternelle et ça, c'est toujours un réel plaisir (d'autant que le niveau de complexité ne fait pas la qualité...). Mais surtout, l'histoire de ce frère, de cette soeur, de cette maison, qui est presque le personnage principal du livre, la palette d'émotions que l'auteur nous fair ressentir : la fascination, la tendresse, l'indignation, la colère, la tristesse... J'ai adoré par-dessus tout la belle relation entre Danny et sa soeur Maeve, l'amour qu'ils se portent mutuellement envers et contre tous mais j'ai regretté la grande indulgence de l'auteur envers les parents des héros. C'est tellement plus facile de mettre la faute sur la belle-mère quand c'est pour moi la lâcheté du père qui est la première responsable de la situation. Quant à l'idée que l'on peut tout pardonner à une mère, même d'avoir abandonné ses enfants, je ne suis pas sûre d'avoir assez d'indulgence en moi. Mais Ann Patchett a un talent indéniable pour ne pas idéaliser ni le monde, ni les hommes et les dépeindre avec brio, tout en nous aidant à accepter ces imperfections."

Et comment cela s'est-il fini ?
"Là encore, j'ai pensé que je n'aimerais pas la fin. Je suis adepte, dans les romans, à défaut de pouvoir l'obtenir dans la vraie vie, des choses qui s'équilibrent. J'aime que les personnages aient ce qu'ils méritent et plus je tournais les pages, plus il m'était difficile de continuer à y croire. Pourtant, en refermant le livre, j'étais tout à fait satisfaite de cette boucle bouclée, sûrement ai-je lâchée prise moi aussi au fil des pages. C'est un roman très mélancolique mais qui fait malgré tout du bien. Je le conseille les yeux fermés et je suis ravie qu'il soit également disponible maintenant en français."
Lien : http://booksaremywonderland...
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C'est extrêmement rare que je décerne cinq étoiles à un livre. Attention ! Entendons-nous bien : "décerner", "cinq étoiles" sembleraient indiquer LE chef-d'oeuvre. Non, cinq étoiles pour moi marquent le livre dont je vois les dernières pages arriver avec regret, une histoire qui me coupe du monde autour de moi et des personnages auxquels on continue de penser même après avoir terminé sa lecture, comme si ils étaient dotés d'une vie propre.
Bon, oui, mais il parle de quoi ce livre ?
Et bien, ce n'est pas une réponse si évidente car; pour moi, on y lit ce qu'on y apporte aussi de soi-même.
Donc, je dirais qu'il s'agit d'un récit familial, dur et tendre à la fois, raconté entièrement du point de vue du narrateur, Danny qui, au début est un petit garçon. D'ailleurs, les premières pages sont assez déstabilisantes avec cette absence totale de marqueurs temporels.
Ce récit intime se greffe ou se développe sur le personnage central qui est la maison familiale. Une construction immense, magnifique, extravagante avec sa propre histoire.
Le tout ferait penser à un conte de fées avec la famille, la méchante marâtre, le père qui meurt et "la-chose-qui-nous-revient-de-droit-et-dont-nous-avons-été-spolié".
Pour finir, je ne vous dirais pas : "Lisez-le, c'est super !" mais juste que, moi, c'est un des rares bouquins qui m'a semblé être à la hauteur de ce que j'attends d'un roman.
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J’ ai mis du temps à me laisser séduire par ce roman. Je l’ ai enfin lu et ca en valait la peine. Au delà du titre se cache une histoire de famille que j’ ai trouvé fantastique. Car au delà de la tristesse que cette maison nous inflige, il y règne une beauté singulière : celle de la vie et de l’ amour, celle des liens qui se tissent envers et contre tout.
J’ ai adoré y retrouver des personnages féminins forts, dépeints par celui qui raconte, Danny, ce garçon, cet homme, qui n’ aurait pas pu être mieux choisi.
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