1944 à 2016.
En vrac pour les personnages : Maeve, Suki, Pascaline, Claudette, Phoebe, Marithe, Zhilan, Rosalind, Nicola, Daniel, Ari, Niall, Lucas, Timou, Todd, Lionel, Samuel, Paul, Jackie, Johnny...
Pour les lieux : Irlande, France, Suède, Bolivie, Ecosse, Etats-Unis, Chine...
Ça en fait du monde et des décors différents. Mais il faut bien peupler ces 550 pages, quitte à perdre et lasser le lecteur.
Cette saga rappelle celles de Jonathan Tropper, J. Courtney Sullivan - en beaucoup moins bien.
Factuelle, alourdie de longueurs, sans humour, avec un fil rouge qui s'effiloche, que j'ai eu bien du mal à suivre.
Amitié, famille, couple, trahison, séparation, enfants privés de père... Tout ce qui fait une vie de nanti occidental entre la fin du XXe siècle et le début du XXIe.
Beaucoup d'ennui à lire ce roman en forme de patchwork mou.
Trop d'effort à fournir à chaque chapitre pour se remettre dans un autre univers spatio-temporel et une autre histoire - toujours plus ou moins liée au personnage principal, mais quand même.
De cette auteur, j'avais aimé 'Quand tu es parti', 'L'étrange Disparition d'Esme Lennox', et - merci Meeva ! 😉 - 'Cette main qui a pris la mienne'...
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Bon, j'avoue que c'est bien le seul roman de Maggie O'Farrell pour lequel je suis vraiment déçue. Je connaissais son style d'écriture particulier et sur lequel il faut s'adapter mais là trop c'est trop...
Tous les chapitres sont mélangés, c'est un vrai fouillis, et je me dis qu'à la fin du livre j'aurais dû secouer le livre et que ces derniers se remettent dans l'ordre chronologique des années pour mieux cerner cette histoire sens dessus dessous.
Quant aux personnages, entre Daniel, Claudette, leurs enfants, les amis de fac et les villes traversées Donegal, New York, Londres, Paris enfin tout ça pour en arriver à une fin pour laquelle j'ai dû perdre le fil à je ne sais quel chapitre...d'ailleurs je me demande sur les 550 pages si vraiment je l'ai suivi.
Une déception pour moi qui suis assez droite dans les structures et qui ne supporte pas vraiment qu'on m' emmène jusqu'au bout sans savoir où l'on va.
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