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Le monde romain s'effondre, les confins de l'empire sont désertés par les légions. Les raids barbares s'intensifient sur l'île de Bretagne, les Scots, les Angles, les Saxons, tous ces peuples dont le mélange formera la riche culture britannique ne sont encore que des envahisseurs, des guerriers farouches venus piller ou s'établir sur des territoires volés.
Mais il n'y a pas d'unité sur l'île de Bretagne ; les descendants des Romains se sont mêlés aux locaux, côtoient de loin les Pictes refoulés derrière le mur d'Hadrien, mais chaque petite ville ou ancienne place forte est autonome.
Sous la pression des envahisseurs pillards et la menace d'un roitelet cupide et cruel, le pays se meurt. Qui est assez fort, courageux et ambitieux pour prendre les rênes d'un pays si peu unifié ?

Et là vous répondez : Arthur !
Eh bien non : si papa n'avait pas posé les jalons, Arthur se serait trouvé bien embêté. En tout cas, c'est ainsi qu'on peut reconsidérer la légende arthurienne à la lecture de ce roman.
Tout le monde connaît la légende du roi Arthur, mais qui s'est jamais donné la peine de savoir qui était Uther Pendragon, à peine mentionné comme un géniteur, un guerrier mal dégrossi qui a eu la cruauté de se faire passer pour un autre, autre qu'il venait de tuer d'ailleurs, juste pour tirer son coup. Évènement qui aurait pu rester anecdotique (sauf pour Ygerne, bien entendu), mais qui engendrera l'un des plus grands rois fédérateurs de l'histoire de la littérature.

Oui mais voilà qu'Akex Nikolavitch s'interroge, lui, sur le bonhomme Uther (Pendraig ici).
Il écrira ce roman que je trouve d'une grande mélancolie.
En reconstituant le contexte historique de la fin de l'Empire romain occidental et l'avènement de la religion chrétienne, l'auteur nous donne à voir un monde déstabilisé, méconnaissant son passé et sans espérances pour le futur, des peuples qui ne savent plus s'ils doivent s'accrocher à leurs traditions ou s'ils doivent accueillir le changement.
Les personnages sont forts, déterminés, courageux, mais le monde est vaste et la vie est brève. Uther, fils de chef et chef à son tour, se posera de nombreuses questions sur les batailles qu'il décidera de mener. En quête de sens, il partira au bout du monde. Accompagné par quelques compagnons, il traversera sur de frêles esquifs de cuir (les fameux coracles) un océan de dangers et accostera sur les rivages du monde occulte des fées et de la folie.

Que d'aventures avec ce récit !
Avec une plume toujours aussi bien travaillée et une trame jonglant entre deux temporalités, Alex Nikolavitch narre la geste d'Uther Pendragon avec une belle sensibilité.
J'ai beaucoup aimé et je recommande chaudement tout ouvrage de cet auteur, par ailleurs d'une grande gentillesse.
À bon entendeur !
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Qui était Uther Pendraig (ou Pendragon) ? le père d'Arthur, certes, mais encore ? Très probablement un roi de Bretagne, combattant les envahisseurs Saxons, Angles... Et surtout, ayant l'oreille des anciennes divinités, dans un pays où la religion chrétienne commence à s'installer...
C'est un pays en mouvement, en mutation profonde que veut conserver Uther. Comme lui, le lecteur se demande ce qu'il essaye de défendre : l'ancienne idée romaine ? une idée nouvelle, basée que l'unité de la seule Bretagne, hors de tout empire ? Un mélange des deux ? Après tout, il est dans une continuité, celle de Rome et sa volonté unificatrice, mais aussi dans un chemin nouveau qui passe certes par une unification, mais de peuples qui se ressemblent et vivent sur le même territoire. Cette idée sera d'ailleurs poursuivie par Arthur, plus tard. Toujours une histoire d'héritage... Un héritage ou une nouvelle voie aidé à la fois par l'ancienne religion mais aussi par la nouvelle...
Uther Pendraig est à la croisée des chemins, le centre de la querelle des Anciens et des Nouveaux, dans un monde en mutation, qui se cherche, et se recompose tout doucement.
Un peu comme le nôtre...
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Uther, Arthur, les chevaliers de la Table Ronde, les légendes celtiques… ça vous parle ?
Ça tombe bien : Trois coracles cinglaient vers le couchant est le premier roman d'une série de réécritures de ces légendes par Alex Nikolavitch.

Trois coracles cinglaient vers le couchant s'attache à Uther. L'homme, derrière le mythe. En chair, et en os. Avec ses gloires, ramenées à un niveau humain, et ses faiblesses. Il y a beaucoup d'humanité dans ce roman. Alex Nikolavitch quitte le registre traditionnellement épique de ces récits pour proposer un portrait d'homme et de chef de guerre inscrit dans son environnement et son Histoire. Forcément, j'ai trouvé cela moins trépidant, mais paradoxalement, j'ai davantage apprécié; pas sur le coup, mais en y réfléchissant ensuite et à la fin de ma lecture, j'étais bien plus convaincue par ce récit et le parti pris de l'auteur que les romans médiévaux et les réécritures plus fantasy de ces mythes.

Derrière la vie de cet homme, c'est tout un pan de l'Histoire qui se dessine : l'arrivée des Saxons, le morcellement des terres bretonnes, leur christianisation, le pillage de Rome…
Là encore, un récit réaliste et ancré dans son temps. C'était là aussi intéressant pour moi qui ne m'étais jamais vraiment interrogée sur la véracité historique autour de ces récits légendaires.

Le rythme du roman est donné par un double récit, fractionnant la vie d'Uther et alternant deux époques. J'ai aimé ce récit mélodique, qu'on imagine aisément déclamé par les bardes d'antan… le titre qui reprend la phrase seuil, l'alternance des deux récits, la boucle que forme le roman, un phrasé simple mais efficace… : le style m'a fait penser aux récits oraux.
Si j'ai apprécié le voyage, me laissant bercer par ce rythme, j'ai cependant rencontré là aussi un peu d'ennui pendant la première partie du roman, notamment durant le voyage d'Uther vers l'Ouest. Un voyage dont on ne connait pas le but ni la destination, et l'on vogue jour après jour. La raison du voyage se découvre cependant par la suite, et tout alors s'éclaire !

Alex Nikolavitch reprend ici un matériau littéraire bien connu, renoue avec une forme de récit oral, mais dépoussière la narration et le regard sur les personnages et leurs actions.
C'est fin, rafraîchissant, intelligent et sacrément bien fait.
Lien : https://zoeprendlaplume.fr/a..
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Sur la suggestion d'un étrange barde prénommé Cynddylan, Uther embarque avec lui quelques hommes sur trois coracles vers une destination inconnue. Cette expédition au fil de l'eau est l'occasion pour lui de se remémorer ses souvenirs et son passé guerrier marqué par des victoires et des défaites pour repousser l'envahisseur. Arrivé à un tournant de sa vie, trouvera-t-il un nouveau sens à lui donner ?

On ne peut pas parler du mythe arthurien sans revenir sur ses origines. C'est la raison pour laquelle Alex Nikolavitch ouvre le bal avec un portrait d'Uther Pendragon. Guerrier et meneur d'hommes, il prend la suite de son père pour bouter hors de la Bretagne les Saxons, les Jutes et les Angles qui n'ont de cesse d'envahir son île. Ainsi, l'auteur a tissé son récit des Trois coracles cinglaient vers le couchant autour des luttes menées par ce chef de clan et égrenées par ses victoires et ses défaites.

Dans son roman, Alex Nikolavitch s'est emparé de ses faits d'armes car ils ont façonné l'histoire de la Bretagne et apparaissent, de facto, comme le parfait écrin pour accueillir sa réécriture. Ainsi, il s'est réapproprié les éléments notables du mythe comme l'assistance d'un célèbre mage, l'usage d'un subterfuge pour pousser une femme à l'infidélité ou encore l'acquisition d'une épée prodigieuse. Ils sont les repères pour éclairer le chemin des lecteurs se plongeant dans cette histoire universelle.

Au fil des pages, on va partager le quotidien et les souvenirs d'Uther. On goûte également à son introspection personnelle le menant sur une voie empreint de magie.

En effet, il ne peut être question du mythe arthurien sans évoquer le merveilleux qui l'entoure. Déjà, il est fait mention du don de double vue qui permet à Uther de percevoir l'invisible. Ensuite, en s'embarquant sur les flots, il va non seulement donner une nouvelle impulsion à sa destinée mais aussi rencontrer ses dieux. C'est la porte d'entrée choisie par l'auteur pour introduire le peuple féérique qui accompagne les hommes dans le façonnage de leur légende. Pour Uther, le représentant le plus prégnant entre ces lignes est bien entendu Cynddylan qui n'est autre que Merlin. Dans ce premier volet, Alex Nikolavitch nous en livre une réinterprétation très sombre. Il est une créature surnaturelle insaisissable et mystérieuse dont il est difficile de connaître les pensées et de comprendre les actes. Sa présence instille au texte toute la dimension folklorique propre au mythe et lui donne même une aura envoûtante. Bien que la magie soit résiduelle, davantage suggérée qu'explosive, l'enchantement, lui, est total car la plume d'Alex Nikolavitch est habile pour redonner vie à certains épisodes des légendes arthuriennes et nous entraîner dans un voyage teinté de nostalgie.

Avec Trois coracles cinglaient vers le couchant, on plonge dans le questionnement d'un homme sur ses actes, sur le futur vers lequel il veut aller et surtout l'héritage qu'il va laisser derrière lui.

Comme dans ses autres romans, Alex Nikolavitch s'est attelé à donner une vraie profondeur à ses personnages qu'il déshabille de leur statut légendaire pour les ramener au rang d'hommes et de femmes animés par des sentiments, des désirs et de l'espoir.

Trois coracles cinglaient vers le couchant donne donc le coup d'envoi d'une réécriture élégante et confidentielle du mythe arthurien. Alex Nikolavitch a les mots justes pour remettre en lumière ce légendaire immortel... plus sur Fantasy à la Carte.


Lien : https://fantasyalacarte.blog..
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Après Eschatôn, j'avoue que j'étais curieuse de voir à quoi allait ressembler le nouveau roman d'Alex Nikolavitch. Une chose est sure. Ou plutôt deux. Trois coracles cinglaient vers le couchant a un titre à rallonge difficile à oublier. Et surtout ce livre est à l'opposé du précédent. Là où le premier nous lançait dans un space opéra lovecraftien, celui-ci repart aux sources de la légende arthurienne et de la Grande-Bretagne. Et si pour vous les chevaliers de la Table Ronde ne sont qu'un souvenir lointain ravivé de temps en temps à coup de Kaamelott, Trois coracles cinglaient vers le couchant va vous dérouter. Déjà, parce que le héros de l'histoire n'est pas Arthur (mentionné sans être nommé en une ligne), mais son père Uther. Hormis un nom familier aux amateurs de la série d'Alexandre Astier, et Uther donc, vous n'y trouverez aucun nom connu. Même cette chère Excalibur change de nom et devient Calibourne (une variante du nom latinisé de l'épée au XIIe siècle), ce n'est d'ailleurs pas le seul élément à changer de nom, voire de genre…
Cette impression étrange entre familiarité et dépaysement totale persiste presque d'un bout à l'autre du roman, donnant au lecteur l'impression de se perdre dans les brumes d'Avalon (encore un endroit non nommé et pourtant bien présent). Ajoutez-y une alternance entre un Uther vieillissant dans un chapitre et un plus jeune au début de sa « conquête », défense de l'île et de son peuple, et vous revoilà encore plus perdu dans les méandres de la légende.
Et pourtant… Pourtant, comme souvent avec les textes d'Alex Nikolavitch, tout coule de source. le récit en lui-même est limpide tant qu'on n'essaie pas de replacer sur carte mentale les différents lieux et personnages. L'île britannique en cette fin d'Empire romain n'a en effet que peu à voir avec la Grande-Bretagne que nous connaissons actuellement ni avec celle popularisée par la plupart des variations de la geste arthurienne. Oubliez donc ce que vous savez déjà et laissez-vous porter par les mots. le récit se veut une fresque historique mâtinée de quelques détails la faisant entrer dans le domaine de la légende et de la fantasy. Suffisant pour qui aime se promener en Féérie sans pour autant apeurer qui préfère une aventure humaine solide. Souvent oublié de l'histoire ou présenté comme un bourrin plutôt rustre (merci John Boorman et Excalibur), l'Uther de Trois coracles cinglaient vers le couchant est touchant que ce soit dans sa naïveté de jeune homme livrant ses premières batailles à la place de son père, ou dans son amertume et sa lassitude d'homme mûr embarqué dans une dernière quête. Il n'en devient pas un héros à la Lancelot ou à la Perceval pour autant et conserve un côté ours et sanguinaire, mais il gagne dans ce roman en humanité.



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Ce roman propose une réécriture de la légende arthurienne et plus spécifiquement de l'histoire d'Uther. Nous y suivons un petit groupe d'hommes s'élançant sur l'océan vers une destination inconnue. Que font-ils ? Quel est leur objectif ? Qui sont-ils ? Tout cela nous l'apprenons grâce aux chapitres revenant sur les faits antérieurs, les batailles d'Uther, sa rencontre avec ses différents compagnons…
Le récit s'ancre dans le réel, mais garde tout de même une grande part de mystère avec des références aux rites et divinités. L'auteur replace la légende dans son temps et l'expurge de tout le folklore médiéval ce qui, pour ma part, m'a vraiment plu.
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Uther Pendragon, père du plus célèbre Arthur, est au centre de ce livre.
Deux récits entrelacés, entre la quête mystérieuse d'Uther sur l'océan, à bord des trois bateaux du titre, en compagnie de ses vieux frères d'arme d'une part. le passé d'Uther et sa rencontre avec chacun de ces compagnons (un romain, un picte, un barde...) d'autre part.
Les courts chapitre alternent entre ces deux histoires. Un zeste de magie primitive, une épée symbolique qui deviendra Excalibur...
Entre notions assez historiques (l'histoire des iles de Grande Bretagne de l'époque, entre empire romain déclinant, scotts, Angles, Pictes...) et scènes plus mystiques (pouvoirs et prophéties), s'opère un mélange des genres assez intéressant pour un profane de cette histoire.
Sans doute les experts en mythe arthuriens ou les amateurs d'histoire celte seront déçus. de même que les fans d'Héroïc Fantasy souhaitant plus de combats ou de magie.
Mais l'histoire reste un agréable conte entre initiation au mythe Arthurien et quête initiatique d'un souverain. le tout se terminant sur la préparation de la venue d'Arthur...
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Moi quand on me parle de mythe arthurien, je suis toujours au rendez-vous. C'est l'un des univers de légende de mon enfance qui m'a offert les plus beaux moments d'évasion et j'adore y retourner. Je m'attendais donc à être enchanté, j'ai vite déchanté avec un texte qui ne fut jamais assez enchanteur pour moi, ni assez historique. Un entre deux bancal.


Je découvrais avec ce texte l'univers et la plume d'Alex Nikolavitch dont l'autre roman L'île de Peter m'a toujours attirée. Je ne suis plus sûre d'y aller. Pas que sa plume ne soit pas assurée mais elle n'a pas su me toucher. Il s'est vite dégagé de ce texte un côté très académique qui m'a bloquée. L'enchaînement de chapitres courts où les transitions étaient souvent absentes fut un vrai frein également. Je me demande du coup si son passé de scénariste de BD n'est pas responsable de cette narration qui n'a pas collé à mes attentes, car ce qui a pêché ici, semble être ce qu'on recherche dans une narration de BD. (Je ne suis pas sûre d'être très claire, pardon >
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Trois coracles cinglaient vers le couchant sont les mots qui ouvrent ce roman d'inspiration arthurienne. En effet, Alex Nikolavitch emprunte à la matière de Bretagne pour tisser une histoire qui noue et dénoue une fois de plus le mythe d'Arthur et de ses ancêtres. Néanmoins, l'auteur choisit de s'attaquer à la figure paternelle d'Arthur: Uther Pendragon.

Le récit alterne deux espaces-temps: certains chapitres sont très historiques et montrent l'ascension d'Uther comme chef de guerre sur les terres de Bretagne. Il tente d'unifier et de pacifier les terres tour à tour dominées par les Scots, les Pictes et autres barbares. Ces chapitres montrent au lecteur un chef patient, tacticien, sachant prendre les bonnes initiatives et nouer des alliances avec les chefs d'autres peuples. Les autres chapitres sont consacrés au voyage qu'entreprend Uther avec quelques hommes, à bord de trois coracles, afin de rejoindre une île. A bord de ces bateaux, il y a un barde qu'Uther appelle le « Vilain chien noir ». C'est lui qui a pour tâche de guider Uther jusqu'à cette île mystérieuse où il trouvera une réponse à ses questions.

J'ai beaucoup aimé les chapitres au présent qui racontent l'épopée d'Uther sur la mer, toujours plus loin vers le couchant. L'ambiance y est étrange, merveilleuse et mystérieuse. Les hommes embarqués devront affronter bien des dangers et arrivés sur l'île, ils ne seront pas au bout de leur surprise.

J'ai également aimé les chapitre liés au passé de chef d'Uther même s'ils comportent quelques longueurs concernant la politique d'unification. C'était en revanche très intéressant sur le plan historique.

Alex Nikolavitch laisse tout de même planer le doute jusqu'au bout sur l'épopée d'Uther. A-t-il vraiment rencontré une fée sur l'île? S'agit-il de Morgane? Et ce barde, s'agit-il ici de Merlin? de nombreux indices laissent le penser mais l'auteur n'est jamais catégorique. C'est au lecteur de faire des choix et d'interpréter les choses comme il le souhaite.

« Trois coracles cinglaient vers le couchant » est un roman envoûtant et mystérieux qui séduira les amateurs du mythe arthurien.
Lien : https://carolivre.wordpress...
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Intéressante variante du début d'une longue histoire connue partout en occident. Nikolavitch aura su jouer des légendes, se les approprier, les retravailler, les transformer à l'avantage de ce roman qui, d'entrée de jeu, m'avait attiré. Ce n'est pas transcendant. Mais je lui donne certainement la qualité d'être de ces livres qu'on lit tranquillement, au coin du feu peut-être, et qu'on prend plaisir à reprendre, entre quelques gorgées de chocolat. Bref, agréable lecture, sans toutefois m'étonner.
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