allez on continue dans le cadre du challenge de lectures 100% romance érotiques pas avec le meilleur tome
Pourquoi poursuivre alors que le dernier n'était pas si transcendant ? par curiosité bien sur et compléter cette saga
Sans regrets aucun parce que je pense que ce tome est mon préféré , je pensais mime qu'il relevait bien cette petite trilogie durant les premiers chapitres. parce que l'intrigue est plus intéressante avec ce duo qui travaille sur les meurtres passé d' Anne et présent( la mère de Sara). des meurtres commis de manière identique mais avec plus de 100 ans d'écart.
Il y a aussi le secret de Sara et le très séduisant Gabriel Ange déchu qui a succombé aux vices des hommes à un des 7 péchés capitaux comme ici la gourmandise. On trouve aussi les difficultés de gérer et se débarrasser des addictions dans lesquelles on tombe pour trouver l'oubli, ici alcool et drogues.
Tout ceci était très attrayant, avec ses petits jeux de séduction jusqu'à ce que l'on retombe dans le même ennui avec ses répétitions qui finissent par être ennuyeuses à force de les relire trop souvent.
Oui on a compris la punition de Gabriel s'est que les femmes tombent folles de lui au point de s'humilier pour qu'il les aime en retour. Mais lui aime profondément Sara, au point bien sur de se sacrifier pour elle,comme dans les autres tomes en fait. le démon capable de mourir pour sa belle.
Quelques rebondissements dans ce tome et bien sur comme il se doit le happy end sans surprise.
Donc voilà une petite romance érotique , facile à lire , idéale pour l'été ou l'hiver au coin du feu.
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Alors...
Et bien j'ai passé une très bonne soirée à lire ce livre!
Le contexte est contemporains avec une majorité d'humains et quelques anges déchus (dont notre héros). On a donc aucun mal a entrer dans l'ambiance du roman.
La grande force de ce livre c'est la qualité du style de l'auteur. le "petit truc" est là. C'est donc un plaisir d'évoluer dans le livre, il n'y a pas d'exagérations ni d'abus ce qui est fort agréable. On vois bien que le côté un peu surnaturel n'est là que pour pimenter et que ce n'est pas l'axe principal du livre.
On est surtout centré sur la relation qui se tisse entre Sara et Gabriel, deux personnages que l'auteur maitrise parfaitement et a sut rendre intéressant. Chacun à son caractères, très bien construit et attachant. On n'as pas de problème pour s'impliquer! Tout les deux ont leur problèmes, qui leurs accordent une certaine profondeur, un relief particulier.
L'intrigue, à savoir l'enquête sur les meurtres de la mère de sara et de l'ancienne concubine de Gabriel est bien menée également. Pas de temps mort, même si pour moi, c'est surtout la romance qui prime dans ce roman. Donc ce n'est pas un polar. Mais ce n'est pas bâclé non plus et le dénouement n'est pas aussi évident qu'il peut le sembler. (en même temps je précise que je suis très nul pour ce qui est de parier sur le coupable xD)
Bref, même si ce n'est pas LE bouquin à lire absolument ça n'en est pas moins une lecture que je recommande et qui procure un certains plaisir ....
Vila, vilou
A plus...
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Je crois à la médecine légale. J'ai toujours trouvé une certaine satisfaction professionnelle à prendre une substance inconnue et à l'identifier. À fournir aux enquêteurs les éléments dont ils ont besoin pour reconstituer le puzzle et arrêter les criminels. Peut-être n'y arriverons-nous pas cette fois-ci, mais nous pouvons essayer. Quel que soit le résultat, quand nous aurons écrit le mot « Fin »et que vous remettrez votre manuscrit à votre éditeur, je serai parvenue à faire mon deuil. C'est ce que je veux. En finir. Et avancer.
Dans une ville assiégée par le crime, il n'est pas inhabituel que l'assassinat d'une femme perdue passe inaperçu. Mais c'est justement cette attitude cavalière qui a poussé certains citoyens au bout de leur tolérance. Composé de divers membres riches et influents, le Comité de vigilance a été constitué pour attirer l'attention sur l'immoralité croissante et la violence qui règnent dans certains districts.
Il savait que son corps humain était dépendant de l'alcool, de l'opium et de l'absinthe. Il n'en éprouvait d'ailleurs aucun remords. Tout ce qui le dérangeait, c'était le désagrément des symptômes du manque.
Au cours des deux ans où il avait arpenté cette terre en tant que veilleur, il avait absorbé la puanteur des souffrances et de la misère humaines qui l'entouraient jusqu'à ce qu'il ne puisse plus supporter le sentiment d'impuissance et le désespoir qu'elles lui inspiraient. Tous ces regards suppliants, tristes, accablés étaient plus faciles à affronter lorsque ses sens trop aiguisés d'ange étaient affaiblis par le whisky, l'opium et surtout sa belle fée verte, l'absinthe, qu'il adorait.
Si personne ne revient sur le droit des femmes de petite vertu de gagner leur vie sans la risquer, tout le monde n'est pas certain que l'existence légale des maisons de tolérance soit dans l'intérêt d'une ville de plus en plus connue pour sa criminalité. Malgré le mécontentement des habitants du quartier, les sources officielles semblent peu enclines à agir et, le plus souvent, la police ne fait rien pour rechercher les coupables des crimes.