Issue du milieu de la bourgeoisie catholique, Mme Carré de Malberg, née Caroline Colchen, aurait pu avoir un destin tout à fait habituel. Celui d’une femme rangée, d’une épouse et d’une mère consciente que, pour elle, la voie à la sainteté passait d’abord et surtout par son devoir d’état.
Sans renoncer à ses engagements familiaux, elle fait le choix d’une voie tout à fait singulière. Elle se lance dans l’apostolat laïc. En 1872, surmontant les résistances tan...
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