Excellent livre d,un écrivain qui sait si bien écrire et conter. Toutes les histoires se passent en Italie en 1843, chez des gens différents, qui se foutent un peu de la guerre. Certaines nouvelles m,ont émues ( Marie de Brunico) et d,autres m'ont fait sourire (Le dernier touriste). A lire
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Je n'osais pas marcher plus vite tant je craignais de lui faire peur, tant je craignais de détruire son petit courage qu'elle tenait bien serré contre elle. (P. 22)
Ce serait si beau de pouvoir prendre ainsi quelqu'un et, à force d'amour, d'arriver à lui faire recommencer certaines années de sa vie. (p. 29)
Faites-vous tant d'histoires, lorsqu'on joue votre air national? Moi, je me lève. C'est mon derrière qui obéit. Mais mon esprit reste libre. (p.97)
Mais on laisse entendre des choses, on ne dément pas une supposition flatteuse et, un jour, votre personnage vous dévore. (p. 164)
Au fond d'une grande déception, il y a encore de quoi se faire un petit bonheur.
Alain Finkielkraut est reçu sous la Coupole, le jeudi 28 janvier 2016, au fauteuil de M. Félicien Marceau pour lequel il fait l'éloge. (fauteuil 21).