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L'Héritage d'Emilie tome 2 sur 5
EAN : 9782205052992
48 pages
Dargaud (01/03/2003)
3.85/5   31 notes
Résumé :
Juillet 1801. Un ancien militaire français, errant en Irlande, découvre dans les landes désolées du Connemara, un cairn très ancien. Au fonds des grottes qu'il dissimule, repose le corps d'une femme-guerrier parée de bijoux. L'homme les lui arrache et s'enfuit tandis que les parois s'effondrent derrière lui. Quelques instants plus tard, il ne reste rien du cairn... La revente du trésor volé assure la fortune de celui qu'on ne connaîtra désormais que sous le nom de J... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Mais la jeunesse est infidèle et la sienne le quittait déjà.
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Ce tome fait suite à L'Héritage d'Emilie, tome 1 : le Domaine Hatcliff (2002). Sa première édition date de 2003. Il a entièrement été réalisé par Florence Magnin, scénario, dessin et couleurs. Il comprend quarante-six pages de bande dessinée. Cette série a fait l'objet d'une intégrale publiée en 2023.

Émilie Bertin a franchi les portes du domaine d'Hatcliff et elle avance à pied dans la large allée bordée d'arbres à l'épaisse frondaison, sa valise et son parapluie dans une main, son manteau de l'autre. Elle regarde de part et d'autre, prenant le temps d'admirer les arbres et le statuaire. Elle arrive enfin devant le majestueux château, avec ses tours et ses créneaux, au milieu d'une large clairière. Depuis une fenêtre à l'étage, à l'abri d'une lourde tenture, Christopher Jenkins la regarde s'approcher et il commente son avancée à Lady Darkmooth confortablement installée dans un moelleux fauteuil, sa canne à la main. Émilie pénètre dans la cuisine où elle fait sursauter Nancy la cuisinière qui ne l'avait pas entendu arriver. Elle s'excuse et s'explique : la grille était ouverte, elle s'est permise d'entrer, maître Duclos ne l'avait pas avertie de son arrivée ? Elle se présente de manière plus explicite : elle est l'arrière-arrière-petite-nièce de John Hatcliff et son héritière. La cuisinière joint les mains devant elle, en s'exclamant que Lady Darkmooth avait raison. Nancy invite Émilie à s'assoir, et Nancy continue : ils vivent très retirés, Lady Darkmooth ne sort jamais, et les autres… c'est-à-dire sa dame de compagnie, le docteur et Christopher Jenkins, ce dernier étant le descendant de l'ami d'Hatcliff.

Émilie s'étonne que tous vivent au château. Nancy explique : après la mort d'Hatcliff, il a bien fallu s'occuper des terres. C'est Jenkins qui s'en est chargé. Seulement ses rentes n'y suffisaient pas, c'est que ça coûte une maison pareille ! Heureusement qu'il avait des relations. Les Darkmooth, ce sont eux qui l'ont aidé à garder cet endroit. Ils y venaient l'été. le reste du temps, un gardien s'occupait du parc. Mais à la fin du siècle, la dernière du nom s'est trouvé ruinée. Plus un sou ! C'est alors qu'elle a décidé de s'installer ici. Aussi, qui aurait pu prévoir qu'on retrouverait Émilie un jour ?! Nancy continue : Émilie fera connaissance avec Lady Darkmooth ce soir, en attendant elle va installer Émilie dans une des chambres. Émilie va pouvoir voir que rien n'a changé depuis l'époque d'Hatcliff. La jeune femme emboîte le pas de la cuisinière. Elles passent par le hall monumental, et montent les marches de l'escalier, recouvertes d'un tapis rouge. Émilie regarde à nouveau autour d'elle, admirant les trophées animaliers accrochés au mur. Puis elle s'installe tranquillement dans sa chambre, pendant que Nancy se hâte d'aller faire son rapport à Lady Darkmooth, Christopher Jenkins, et Meghan sa dame de compagnie. Émilie ressort de sa chambre et monte encore d'un étage par une échelle en bois, aboutissant au grenier. Parmi les malles et les commodes, elle trouve une robe d'un autre siècle qu'elle essaye devant un miroir en pied.

Pas de surprise : le lecteur retrouve exactement la même ambiance que dans le tome un, une forme de douceur et de calme, portée par des dessins posés et détaillés. Émilie Bertin agit comme une jeune femme calme et tranquille, gentille et curieuse. Elle arrive tout naturellement au château, marchant posément, pénétrant par la petite porte, celle de la cuisine. Elle papote avec la cuisinière d'égale à égale, elle s'installe dans sa chambre en toute simplicité, elle en ressort en avançant sereinement dans le couloir, puis en empruntant une échelle de bois. Elle se laisse guider par sa curiosité en essayant une robe. Elle devise poliment avec les autres convives et elle se laisse guider par sa curiosité lors de sa balade du soir, et elle ressort un autre soir, toujours guidée par sa curiosité. Les images montrent une personne avec des gestes posés, des mouvements fluides et confiants. le lecteur éprouve la sensation de regarder le paysage et les intérieurs avec le calme d'Émilie. Il suit son regard alors qu'elle marche dans la grande allée : les arbres ; les statues et leurs postures, les nombreux ustensiles dans sa cuisine qui n'échappent pas au regard de la jeune femme, l'architecture intérieur de la demeure, les habits dans le grenier, l'aménagement de l'immense parc du château, le village abandonné, les fêtes à l'époque de John Hatcliff, la décoration de l'appartement à Paris, etc.

Dans le même temps, que va découvrir Émilie ? le lecteur s'en est fait une petite idée dans le tome un et il découvre qu'il a raison : une gentille histoire de petit peuple… mais pas seulement. Autour d'Émilie, tout le monde semble en savoir plus qu'elle. Les personnes vivant dans le château d'Hatcliff connaissent tout de la demeure, de son histoire et du sort de Louis-André Bertin, le trisaïeul de la jeune femme. Dans les environs du château, les gens du voyage disposent également d'une connaissance étendue de la situation. À Paris, un groupe d'individus attend avec impatience de savoir quels événements Émilie va déclencher, afin d'en tirer avantage. À tel point que Lady Darkmooth finit par qualifier Émilie d'oie blanche. Mais elle ajoute que cette héritière en sait beaucoup plus qu'il n'y paraît, et qu'il va falloir la faire parler en recourant aux services du mystérieux docteur. En observant l'héroïne, le lecteur voit bien qu'elle n'a rien de naïve ou d'ingénue. Elle se laisse guider par sa curiosité pour explorer d'autres pièces du château, pour sortir de nuit dans l'immense domaine, et bien sûr pour continuer à lire le journal de son ancêtre. Elle s'avère également être moins farouche que son apparence pure ne le laisse supposer, ce qui renvoie le lecteur au métier qu'elle exerçait au début du premier tome.

Dans le même registre, l'intrigue comprend des moments durs et des actions cruelles. Paradoxalement, le lecteur peut ne pas s'y arrêter, car ces situations sont racontées avec la même douceur que les scènes calmes, ou les discussions feutrées. Cependant, il n'y a pas à s'y tromper : la mort d'un chien dans une chute de plusieurs dizaines de mètres, la vengeance du roi Brendan qui terrorise la région avec ses étranges guerriers, sans laisser d'autres traces que les ruines qui brûlaient derrière eux, une noyade, l'appétit d'une reine, le manque d'empathie de Lady Darkmooth et Meghan qui ne voient en Émilie qu'un moyen pour parvenir à une fin, sans état d'âme. D'un côté, le lecteur sent bien que certains personnages sont animés de mauvaises intentions ; de l'autre côté, il lui faut prendre le temps d'y penser pour se rendre compte qu'il ne s'agit pas de vilains d'opérette, mais d'un comportement très humain, d'individus mus par des émotions crédibles et normales en un sens. de même, l'autrice retourne dans le passé, à une époque plus ancienne que celle évoquée au travers du voyage de Louis-André Bertin et Christopher Jenkins, pour évoquer la relation entre le roi Brendan et Maeve, celle mentionnée dans le titre.

Il est vraisemblable que le lecteur soit également revenu pour la narration visuelle, à nouveau sa douceur et son attention aux détails, menant à des images qui restent en mémoire. Impossible de résister à l'envie de se promener dans le domaine du château d'Hatcliff : la large allée bénéficiant de l'ombre du feuillage des arbres, avec ces statues placées à intervalles irréguliers, une vision du jardin sous la neige alors que Nancy évoque la fin du siècle précédent, des parterres de roses, une clairière tapissée d'herbe tendre, les belles allées bien droites du jardin, la vision de ce même domaine de nuit dans une ambiance baignée de vert émeraude, la partie marécageuse du domaine avec des essences d'arbre très différentes, une plongée sous la surface de l'eau. le lecteur aimerait bien pouvoir passer plus de temps à explorer les pièces du château, de la cuisine au grenier, pour en admirer l'ameublement et les décorations.

Outre des moments mémorables, le lecteur admire le doigté avec lequel l'artiste sait faire insensiblement glisser la narration visuelle d'un registre vers un autre. Il sourit de contentement en décelant les légères variations de consistance et de luminosité qui attestent de l'influence du petit peuple. Il se trouve épaté de la manière dont les dessins savent faire coexister sur le même plan le naturel et le surnaturel, sans solution de continuité, tout en distinguant bien ce qui relève de la réalité prosaïque et ce qui vient y apporter du merveilleux. Il se rend compte à posteriori de ce que l'artiste parvient à faire passer comme normal et qui lui apparaît comme sortant de l'ordinaire avec le recul : l'envie d'Émilie d'essayer une robe, le jeu élégant de Bran interagissant avec Émilie, l'ascendant naturel de Lady Darkmooth en tant que vieille dame imposant le respect, la bizarrerie d'une fillette jouant du pipeau la nuit, le vol de magnifiques papillons, et même le spectre d'un brontosaure.

Trop facile d'accès, trop doux à l'oeil ? le charme de la narration tant visuelle que situationnelle opère à l'insu du lecteur totalement séduit par ces images sereines et cette héroïne sans aspérité. Mais gentillesse n'est pas faiblesse, et douceur n'est pas fadeur : Émilie avance au gré de sa volonté, progressant dans le mystère du passé de son trisaïeul, en dépit de son image d'oie blanche dans ceux qui souhaitent profiter d'elle. Rasséréné par la narration visuelle, le lecteur retrouve le merveilleux de l'enfance, tout en conservant son regard d'adulte. La nature humaine conserve toutes ses imperfections. du grand art.
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"L'Héritage d'Emilie" est une série particulièrement frustrante : j'ai longtemps pensé que Florence Magnin pouvait dessiner n'importe quoi, et je que la suivrais volontiers quoi qu'elle dessine… Mais là elle me met en porte-à-faux, car après un tome 1 100% fantastique et après un tome 2 100% fantasy, qui passaient joliment de la Duboisie à la Portal Fantasy, l'auteure a changé son fusil d'épaule pour piocher dans une Science-Fiction entre onirisme, solipsisme et postmodernisme… Et on final on se retrouve avec des naufragés spatio-temporels, des insectes terraformateurs, des plantes psioniques, des dragons dealers/junkies, une fantôme énamourée, une sorcière intéressée, une banshee passionnée, des leprechauns joviaux, des saltimbanques interdimmensionnels, des droïdes politiciens comploteurs, une Intelligence Artificielle mégalomane et la Marelle d'Ambre… Waouh, attention au gloubi-boulga quand on passe de "Narnia" à "L'Incal", des univers de Denis Gerfaud à ceux de Roger Zelazny !


J'ai adoré ce tome 2, sobrement intitulé "Maeve", dans lequel nous découvrons en même temps qu'Emilie Bertin le Domaine d'Hatcliff littéralement placé hors du temps ainsi que ses étranges résidents : Lady Darkmooth, plus sorcière shakespearienne qu'aristocrate victorienne, Meghan sa dame de compagnie rousse incendiaire aux yeux verts, Bran O'Neill le prétendu neveu, Christopher Jenkins prétendu descendant du compagnon de John Hatcliff, Nancy la servante gironde faussement commère qui garde bien des secrets, et le mystérieux le Docteur dont tout le monde parle mais qu'on ne voit jamais (et pour cause puisque SPOILER ^^).
Par divers moyens, Emilie prend connaissance de la soudaine disparition de son aïeul en 1808, de la découverte par ce dernier d'un labyrinthe souterrain menant sur un portail du multivers, de la triste histoire de Brendan le roi des Tuatha Dé Danann, l'homme qui a eu la folie de prendre femme au pays des fées, et sur celle du fantôme de ladite femme du pays des fées toujours à la recherche du souvenir de son bien-aimé…
A la recherche de Bran, avec lequel notre jeune parisienne des Années Folles a immédiatement noué une idylle, Emilie se perd dans les bois du Domaine Hatcliff où elle rencontre une petite joueuse de flûte fantôme, une tribu préhistorique et des créatures du jurassique…
Bran augmente sa dette envers le petit peuple pour sauver Emilie, le nosferatu derrière cette bizarre histoire d'héritage s'impatiente, les résidents du château s'impatientent, les saltimbanques tinkers aux abords dudit château s'impatientent alors qu'Emilie découvre la porte du labyrinthe menant à la Marelle d'Ambre… Vite, direction le tome 3 !

Sinon, les dessins de Florence Magnin bien que typés et datés restent plus que jamais un enchantement pour les yeux tant est grande leur puissance d'évocation…
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Cet album rentre dans le vif du sujet : on découvre la fameuse demeure et son monde féérique dans un jardin fabuleux. Les dessins sont somptueux, je me suis régalée ! L'histoire a su me captiver et je me suis attachée au personnage d'Emilie, douce mais déterminée. J'ai hâte de lire le troisième opus.
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Un deuxième tome très prometteur, on découvre petit à petit le domaine,son magnifique jardin et la découverte du monde du petit peuplel et es secrets qui regorgent J'ai hâte de lire les prochains tomes. Les aventures D'Émilie dans ce magnifique domaine ne fait que commencer.
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toujours dans la même lignée que le tome 1, superbe
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
- Je crains que le château ne vous paraisse bien inconfortable ! Nous vivons tout comme votre aïeul ! Mêmes vêtements, mêmes objets, mêmes usages…
- En mémoire de lui ?
- Grand Dieu non ! L’unique raison est que je considère le siècle dernier comme une longue décadence… et que le vingtième me paraît encore pire ! Mon entourage me fait la grâce de partager ce point de vue… Mais rassurez-vous, je ne vous ne demanderai pas d’en faire autant !
- Encore heureux !
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À cette époque, la mer couvrait la forêt, et ces terres étaient celles d’un roi de la lignée des Tuatha de Danann. Brendan était son nom. Les conquêtes ne lui manquaient pas, ni vassaux, ni femmes… Mais la jeunesse est infidèle et la sienne le quittait déjà. Les druides s’inquiétèrent de cette forteresse vide où ne retentissait aucun rire d’enfant. Qu’adviendrait-il du royaume après sa mort ? Pour la première fois de sa vie, ce guerrier, qui ne savait que jouir de chaque jour, dut songer à l’avenir. On racontait alors que sur la grève de Cluana Hór se promenait une femme d’une extraordinaire beauté. Aveuglé par son orgueil, Brendan décida de séduire l’étrangère. Alors qu’il rôdait au pied de la falaise, elle sortit d’une grotte dont l’entrée n’était accessible qu’à marée basse. La passion qui les unit fut immédiate et réciproque. Mais la belle n’accepta de demeurer aux côtés du roi qu’à une condition : qu’il l’accompagne trois jours durant dans son pays, afin qu’elle puisse faire ses adieux à ceux qu’elle ne reverrait plus jamais. Malgré les mises en garde de ses conseillers, Brendan accepta ce marché.et un beau soir, son escorte le vit disparaître dans l’ombre de la grotte où l’attendait la future reine. Trois jours passèrent… Puis dix… On sonda la caverne, qui n’était qu’un cul-de-sac, et le pays se résigna à l’attente. Durant les décennies qui suivirent, les récoltes pourrirent sur pied, la famine et les maladies décimèrent les villages, et sa population dut se soumettre à un autre clan. Nul n’espérait plus le retour du vieux roi. Et pourtant…
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La population locale est très superstitieuse. Je suppose qu’ils le croient maudit. Mais ils ont dit vrai ! Hatcliff a disparu au cours de la dernière fête qui ait eu lieu ici. À la fin de la nuit, une fusée devait s’élever au-dessus du château dans une gerbe de lumière. Malheureusement, l’engin a explosé au sol et c’est Hatcliff qui est parti en fumée. […] Curieux, surtout. On n’a rien retrouvé de lui, pas la moindre trace ! Beaucoup l’ont soupçonné d’avoir profité de l’occasion pour échapper à ses créanciers.
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Dès demain, vous pourrez visiter vos terres. Ces jardins sont sans danger. Mais une partie de la propriété est un marécage où vous ne devez jamais vous aventurer seule. Un de nos chevaux s’y est englouti en moins de dix minutes. Quant au château, je crains qu’il ne vous paraisse bien inconfortable. Nous y vivons tout comme votre aïeul : mêmes vêtements, mêmes objets, mêmes usages.
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Des milliers d’années se sont écoulées, l’océan a reculé, la falaise a disparu, mais le passé est demeuré intact, enfoui sous la terre et protégé des hommes.
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