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3,75

sur 148 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Vous avez envie de découvrir une enquête incroyable, de découvrir les paysages fantastiques des pays du Nord.
C'est avec Yoran que je me suis emporté dans une aventure très prenante à la recherche d'indices sur la disparition de son ami Claude.
L'auteur nous emporte dans des endroits bien sombres et lugubres et Yoran va devoir affronter des personnages souvent antipathiques et dangereux.
Dès son retour de voyage dans la pluvieuse ville de Brest, avec l'aide d'un policier en fin de carrière, ils vont découvrir quelques surprises sur cette affaire qui pour ma part m'a mise dans un état de stress intense.
Ce bon roman mérite bien son prix du suspens et un grand bravo pour cette plongée dans une ambiance très particulière, grise et humide sur fond d'une petite musique qui fait son effet.
Je n'aurais jamais imaginé un tel scénario, barbare et surprenant.
C'est quand la vengeance terrorise et foudroie des gens ignobles que la lecture devient de plus en plus addictive.
Quand le passé refait surface, on apprend des choses impensables sur certaines personnes, le diable se faufile souvent dans des lieux et dans des hommes qui cachent bien leurs jeux.
"L'habit ne fait pas le moine."
Je vous conseille vivement de découvrir ce livre et je remercie les éditions les nouveaux auteurs pour leur confiance, pour moi c'est toujours un plaisir de lire leurs thrillers de qualités.
Lien : https://sabineremy.blogspot...
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Ne vous laissez pas impressionner par ce pavé de 700 pages, toutes sont nécessaires pour nous emporter avec délectation dans un thriller sanglant et breton. Yoran Rosko, photographe ne voyant la vie qu'en noir et blanc suite à une maladie rare va tout tenter pour retrouver la piste de son ami Claude qui a disparu. Alors qu'une série de meurtres fait apparaître le portrait d'un « Tueur de sel » aussi impitoyable que mystérieux. J'ai beaucoup aimé le personnage de Yoran tout en retenu, plutôt taiseux mais au final attachant. J'ai apprécié sa ténacité, sa façon de ne pas perdre de vue ses objectifs et son attachement à sa ville de Brest. Il faut dire que je n'ai jamais mis les pieds à Brest mais avec toutes les descriptions et les détails historiques, j'avais l'impression de mieux connaître cette ville aux pluies diluviennes. L'intrigue en elle-même est brillante et bien imaginée. On laisse les montées en tension nous prendre aux tripes et l'écriture est un vrai plaisir. le suspense s'installe rapidement pour ne plus nous quitter jusqu'à la dernière ligne. L'enquête nous fait voyager en Norvège et jusqu'aux confins du cercle polaire et cela donne un nouveau souffle avec les côtés thrillers nordiques que j'apprécie tant. Un univers masculin à découvrir dans le cadre dur et rigoureux des marins pêcheurs. le personnage d'Olaf est une merveille, certes on retrouve les clichés du mâle viking mais bon, c'était quelque chose ! Un auteur au talent certain que je vais suivre dorénavant avec grande attention. Bonne lecture.
Lien : http://latelierdelitote.cana..
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Grand prix du suspense psychologique 2019 Gwenael le Guellec est une plume à découvrir et à suivre, car le Monsieur a le sens du détail et du mystère. Un peu impressionnée, je dois le dire par l'épaisseur de ce roman, mon appréhension s'est bien vite transformée en passion tant il a su m'emporter et m'immerger dans un thriller mitonné aux petits oignons.

Dès les premiers instants, j'ai été captivée par le personnage de Yoran Rosko. Sa particularité le pousse à voir notre monde différemment et les choses sous un autre angle, ce qui le rend d'autant plus captivant. C'est un homme qui ne lâche rien, un ami qui cherche des réponses coûte que coûte et qui compte bien trouver les réponses à ses questions. Au fil des pages, je l'ai admiré et me suis beaucoup attachée à lui.

L'auteur a pris le parti de baser son histoire à Brest et a joué le jeu jusqu'au bout. Moi qui n'ai jamais visité le coin (mais ce n'est pas l'envie qui m'en manque) je dois reconnaître que j'en connais plus sur cette ville que sur mon propre village. Toutefois, ne pensez pas que toutes ces informations alourdissent le texte, car bien au contraire, elles apportent du cachet à l'ensemble et permettent de bien situer les faits. D'autant que, croyez-moi, chaque détail compte dans ce genre de situation.

On pourrait se dire qu'il faut s'armer de patience lorsque l'on entame ce livre. Seulement voilà, à aucun moment je n'ai éprouvé d'ennuis lors de cette lecture. Les pistes se brouillent subrepticement de sorte qu'une multitude d'interrogations se pose et nous pousse à avancer pour connaître enfin le fin mot de l'histoire. Au fil des chapitres, la tension imprègne nos pores, l'ambiance devient aussi glaçante que la pluie qui s'abat et c'est une enquête sous la houle des éléments que l'on suit avec avidité.

De plus, pour réellement vous plonger dans l'ambiance, Gwenael le Guellec a concocté une playlist incroyable qui accompagne Yoran dans sa quête de vérité. de quoi ravir nos yeux et nos oreilles,

Armorican psycho est le genre de roman impossible à lâcher jusqu'à la dernière ligne. le contexte est prenant, l'atmosphère qui s'en dégage est sombre, angoissante. C'est un récit captivant que l'auteur nous offre et qui vous filera, j'en suis sûre, des frissons dans le dos.

Une belle découverte donc qui me donne envie, d'ores et déjà, de lire d'autres ouvrages de cet écrivain. Chaque chose en son temps, bien évidemment, je vous laisse, tout d'abord, savourer ce texte et vous faire votre propre opinion sur cette histoire.
Lien : http://www.virtuellementvotr..
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Yoran Rosko habite Brest, avec vue sur la rade. Il est photographe et préfère vivre la nuit en raison de sa maladie visuelle qui ne lui permet de voir le monde qu'en noir et blanc. Quand son ami Claude Garrec disparaît et que le cadavre d'un marin disparu bien des années plus tôt est retrouvé dans son appartement, sa vie bascule. Yoran n'a qu'un but en tête : le retrouver. Et quand les meurtres s'accumulent, exécutés selon un même mode opératoire, il y a urgence. de Brest à la Scandinavie, Yoran est en quête de son ami, et de la vérité. Quitte à en souffrir…

« Armorican Psycho » est le premier roman de Gwenael le Guellec. Paru aux éditions Nouveaux Auteurs en 2019, il s'est vu décerner le grand prix du suspense 2019, présidé par Bernard Minier.
Ce premier roman est remarquable et captivant de bout en bout. Bien construit, il saisit d'emblée le lecteur dans une spirale car la tension est distillée au fil des pages et va croissante… jusqu'au terme qui prend par surprise, même si l'on pouvait déjà avoir quelques hypothèses quant à la vérité.

L'intrigue est bien construite en différents chapitres dotés d'un titre souvent percutant et illustratif. Adoptant le point de vue narratif de Yoran, dont le monde monochrome déteint sur son mental, la narration progresse, pas à pas, pierre après pierre, entrecoupée, çà et là, d'autres types de chapitres, avec une écriture en italique et à la première personne du singulier. Qui parle ? Et quand ? 700 pages et trois parties plus tard, on y voit plus clair, on n'a pas vraiment vu le temps passer et les pages ont tourné à un rythme comparable à la force des vents un soir de tempête à Brest !

« Armorican Psycho » est aussi un roman d'atmosphère. L'auteur, originaire de Brest, rend sa ville à merveille, dans ses particularités, sa beauté sous des dehors parfois austères - pluie, tempête, et ville reconstruite quasi en totalité suite aux bombardements de la seconde guerre mondiale. L'auteur rend bien également l'atmosphère fantastique, voire mystique, de certains lieux qui déteignent sur les autochtones : les escapades dans les Monts d'Arrée – terres de légendes – l'illustrent. La minéralité, l'aridité des lieux sont aussi bien décrits que le caractère maritime de Brest. L'incursion en terres scandinaves nous amène vers d'autres sensations et descriptions, le froid qui pénètre jusqu'à la moelle, les fjords norvégiens (que l'auteur met en parallèle avec les abers bretons), les paysages âpres et rugueux.

Le mystère s'épaissit à mesure que les pages se tournent, le suspense va croissant et on ne lâchera plus le livre tant qu'on n'aura pas pleinement compris les tenants et aboutissants de ces meurtres en série…

Ce premier roman est un prodige d'écriture qui mérite pleinement ce grand prix suspense 2019. Vivement le deuxième !
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Retour d'une excellente lecture bretonne en compagnie de Yoran Rosko , personnage central souffrant d'une pathologie occulaire rare avec qui j'ai arpenté de nombreuses rues et quartiers brestois ainsi que d'autres villes des contrées nordiques ,afin d'élucider la disparition de son meilleur ami Claude . Equipe toi chaudement car tu risques de prendre froid face aux éléments déchainés de Mére Nature .Avec pas moins de 700 pages dénombrant de multiplies cadavres ,l'auteur nous embarque dans une aventure aux innombrables rebondissements où tu traqueras le mystérieux « Tailleur de sel », où tu découvriras de merveilleux paysages ( que l'auteur agrémente avec ses photos au fil de l'eau sur son blog) sans bouger de ton fauteuil !!
Armorican psycho de Gwenael le Guellec paru aux Editions Nouveaux Auteurs (Grand Prix Suspens 2019) ne te laissera assurément pas de glace !!!
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Quand j'ai refermé le livre il y a quelques jours, je me suis dit "waouh" Il y a des auteurs comme ça, c'est leur premier bouquin, et tu te demandes si c'est vraiment le premier.
Puis bon, je suis brestoise, alors forcément, une histoire policière qui se passe à Brest, je ne pouvais pas passer à côté.
Un livre en noir et blanc, comme j'aime le qualifier ainsi, comme Yoran, en lisant Armorican psycho, dans ma tête, je voyais Brest en noir et blanc.
700 pages difficile à lâcher.
L'ami proche de Yoran, Claude, a disparu, un meurtre a été commis dans l'appartement de ce dernier. Puis un autre et encore un autre. La particularité est que le tueur recouvre les blessures de ses victimes de gros sel. Il est vite surnommé le "tailleur de sel". Mais où est Claude ? Et quel est le lien avec tous ces morts? de Brest à Oslo, Yoran mène son enquête.
Un bon thriller comme on les aime.
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Je sais que je suis loin d'être le premier à chroniquer ce roman... mais, si comme moi, vous ne l'aviez pas encore lu, apprêtez-vous à découvrir un univers...

Gwenael le Guellec a une voix, un style et il bâtit ici tout un monde autour de chaque personnage de ce roman. Ce qui explique les 779 pages ! Ne vous affolez pas, ça se lit tout seul. Il ne m'a fallu que 4 jours. Oui, je sais, je lis vite et je suis à la retraite. 😀
Donc...

Yoran Rosko est photographe et mal voyant (il souffre d'achromatopsie, c'est à dire qu'il voit en nuances de gris). Il vit essentiellement la nuit et dort quasiment toute la journée. Fidèle en amitié, il s'inquiète de la disparition de Claude Garrec, son presque seul ami. D'autant qu'on a découvert chez celui-ci un cadavre "haché menu" ou quasi écorché (comme vous préférez) généreusement saupoudré de gros sel. Premier cadavre d'une longue et cruelle série. Yoran part à la recherche de Claude, recherche qui va le mener très loin dans tous les sens du terme. Brest dans la tempête, puis les pays nordiques mais aussi la souffrance, bien au-delà de ce qu'il aurait pu imaginer.

Voyage initiatique, chemin de croix. Cela le mènera à... l'obscurité. Parce que lorsque "la lumière se fera" 😉 l'obscurité régnera encore. Vous verrez ! Gwenael le Guellec alterne les chapitres de son récit avec ceux d'un homme non identifié, un tueur, le tueur ? qui raconte à la première personne son passé, ses crimes, ses tentatives de rédemption. A ce propos, gardez-vous le temps de lire les 140 dernières pages d'une traite, vous risqueriez de perdre le fil et de gâcher les révélations finales. Cette fin justement est cinématographique, haletante, cruelle.

Qui tue ? Et pourquoi ? Et pourquoi ce cérémonial ? Psychopathe vengeur ? Mystique halluciné ? Toutes mes hypothèses se sont révélées fausses. Même les plus improbables.

Gwenael le Guellec va vous marquer avec cette ambiance nocturne, embrumée, pluvieuse, glaciale, avec des personnages secondaires très forts, avec son héros solitaire, obstiné, un peu maso diront certains... Yoran est de ceux qu'on n'oublie pas... Je m'attendais au vu du titre à un serial killer breton, une intrigue classique avec des gendarmes compétents et quelques scènes bien saignantes. Un thriller comme il en existe des dizaines. Pas du tout ! L'auteur nous en réserve bien quelques unes, de ces scènes saignantes... mais son intrigue est bien plus complexe qu'on ne l'imagine au départ. Vous allez créer vos propres fausses pistes ! Si si !

Allez ! Embarquez pour la Norvège et ça va secouer ! C'est promis... 😊
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Yoran Rosko est photographe mais il est un peu particulier ; il voit le monde en noir et blanc. Sa maladie visuelle l'empêche de vivre normalement le jour. Alors la nuit est sa principale destinée. Il apprend que son ami Claude a disparu et qu'un cadavre a été retrouvé dans son appartement. Ce dernier est à priori un ancien capitaine de cargo norvégien, disparu en mer en 1995.Yoran n'a qu'une obsession retrouver au plus vite son meilleur ami. Ce cadavre serait l'oeuvre d'un tueur redoutable intitulé " le tailleur de sel "....


" Armorican Psycho" est un véritable pavé de plus de 700 pages, cela me freinait à le lire mais une fois les premières pages tournées, j'ai plongé avidement dans l'histoire. J'ai découvert Brest et ses environs, une pluie battante à chaque instant où la mer se déchaine inlassablement.
" Chaque Brestois avait une histoire à raconter à propos du quartier de Recouvrance, dont le pont constituait le lien privilégié avec le centre-ville. D'un côté, la vieille tour Tanguy et le jardin des Explorateurs, de l'autre, le château de Brest, régnant sur la cité du haut de ses dix-sept siècles, et l'Arbre emphatique d'Enric Ruiz Geli et ses sept plantes. L'alliance, si brestoise, entre passé regretté et avenir espéré. "
J'ai senti l'écume et le vent qui glace jusqu'au point d'être en état de gel. J'ai ainsi voyagé pour mon plus grand plaisir !
Cette histoire a capté mon attention et le personnage Yoran Rosko m'a beaucoup plu. C'est un être à part entière. Son handicap visuel n'est pas pour lui pas un problème. Yoran est même redoutable, il ne lâche rien !
Il sait braver la tempête comme le climat brestois.

Gwenael le Guellec a fait de ce roman un thriller remarquable et un véritable page turner. L'histoire est captivante sans aucun temps mort. L'ambiance du livre y est pour beaucoup. C'est sombre, vertigineux, frémissant et glaçant ! Quant à l'enquête, elle est palpitante à chaque chapitre.

Alors ça vous dit de découvrir non seulement cet auteur mais aussi l'univers de Brest ! N'ayez pas peur de l'épaisseur du roman, vous verrez il se lit sans relâche !

Je suivrai assurément les aventures de Yoran, d'ailleurs l'auteur vient de sortir depuis peu son deuxième roman intitulé " Exil pour l'enfer " aux éditions les Nouveaux Auteurs.

Lien : https://delphlabibliovore.bl..
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Ce livre, je crois bien que je me le suis noté dans ma liste d'envies il y a déjà bien longtemps. Et le temps passe, les nouveautés me happent. Je l'achète bien après sa sortie en poche et va rejoindre ma pal interminable. On s'en fout, me direz-vous? Eh bien moi non car je l'ai laissé m'attendre alors que moi j'attendais ce genre de lecture. Et je vous explique de suite pourquoi.

1/ la Bretagne : Je suis un peu chauvine quand même ! Et puis Brest, je m'y suis rendue plusieurs fois et je suis loin de la connaître sur le bout des doigts. Mais grâce à l'auteur, j'ai retrouvé la mémoire visuelle de certains lieux et l'olfactive, celle des jours de tempête, les embruns, le sel de la mer, le port.
2/ le voyage : l'auteur nous emmène de la pointe bretonne à l'Islande, par voie maritime, dans un immense chalutier. Découverte et sensations fortes assurées. La plume de l'auteur est très immersive.
3/ et l'essentiel : une intrigue cousue de main de maître. Même si le texte peut sembler long, pas loin de 800 pages, il est impossible de le lâcher. Vous voudrez savoir, je vous l'assure ! Car vous ne pouvez pas imaginer où l'auteur va vous emmener avec son personnage principal, Yoran Rosko, photographe et explorateur urbain où la nuit domine. Atteint d'une maladie oculaire faisant craindre la lumière du jour, il préfère la noirceur de la nuit et les lieux dissimulant encore un peu de l'histoire de Brest, sa ville, et de ces  quelques obscurs évènements qui ont pu y avoir lieu. La disparition de son ami et mentor va le précipiter en eaux sombres et nous avec !
4/ dernier point et non pas des moindre, celui qui me prend la gorge et me serre : l'exploration de la nature humaine dans ce qu'elle a de plus glauque avec un tel réalisme que ça fait froid dans le dos.

Un excellent moment de lecture.

Je vais, bien évidemment, me procurer la suite des aventures de Yoran Rosko, EXIL POUR L'ENFER, sorti le 7 Janvier 2021. Mais vais-je tenir jusqu'à la sortie poche ? Car quand j'achète une duologie ou une trilogie, j'aime bien tous les avoir au même format. Et vous ? Aussi psychorigide que moi ?

Bonne lecture

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🌧💧📷 " Armorican Psycho "

Je ne connaissais pas l'auteur, mon époux m'a offert ses deux romans et pour l'instant, j'en ai lu qu'un, mais je sais que je vais lire le précédent très vite.

Ce roman fut pour moi en tout point extra, moi, je me moque de la taille des livres fin, gros, ça ne me freine en aucun cas .

Avec ce roman, j'ai été captivé du début à la fin, parce que cette façon de décrire Brest, les petites villes, ça rend une atmosphère prenante au roman et puis même si je vais beaucoup en Bretagne parce que je suis marié à un breton/italien bah y a des choses que j'ai découvertes et je ne connaissais pas.

Oui, dans ce roman, j'ai voyagé à travers les yeux, j'ai imaginé, je me suis laissé porter.

J'ai suivi Yoran à la recherche de son amie Claude et sur les traces de ce tueur " le tailleur de sel " et par moments, je ne voulais pas que le roman se termine. Parce que je l'ai suivi dans Brest avec son temps météo capricieuse et venteuse comme par dans le Loiret quand il pleut et aussi en Norvège temps froid à la recherche d'indices.

Ce roman m'a rappelé l'émission sur france 3 la carte aux trésors, pourquoi cette comparaison.

Car ici, plus je suivais Yoran dans sa quête d'indices, plus j'apprenais un fait historique, sur les bateaux, la ville, les marins, et plein d'autre chose, et plus je suivais un Yoran détermine, courageux et ambitieux, qui n'a vraiment peur de rien, il est prêt à tout dans sa quête de vérité.

Oui, bien sûr, ici, je parle d'un tueur qui tue et de la pire des manière et le roman prend une tournure sanglante, mais ses meurtres ce n'est pas, je te balance sa là et pas d'explication, non, non, ici tout a son explication et c'est bluffant.

On parle d'homme avec un grand H, qui par leur fonction hiérarchique, son passé du mauvais côte, son devenu des hommes mauvais où la noirceur à gagner leurs coeurs et ils ont font des choses ignobles, atroces et tout ça le joug d'un homme qui les a fait devenir ses disciples, un homme qui a pourri leurs coeurs, en sachant déjà qu'à la racine ses hommes était déjà gagné par le mal, il en a profiter et les a pervertie, comme lui.

Franchement fabuleux du début à la fin ce roman, une total découverte, et encore un nouvel auteur à ajouter à ma bibliothèque.📷💧🌧
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