Eriger Harry stiles et T.Chalamet en héros du féminisme car ils portent des costumes cintrés et des colliers de perle... il fallait oser. Je trouve ça regrettable que soit mentionné à la marge le fait qu'ils entretiennent cette image de féminité avant tout de maniere commerciale. Sous couvert d'ouverture sur l'autre, de masculinité saine, ils perpetuent un systeme de domination hetero cisgenre et blanc et finissent par le légitimer (en montrant que même dans ce système tout le monde est libre de s'exprimer tel qu'il est alors que seuls les hommes blancs cis en bénéficie réellement) . Pourquoi devrait-on féliciter ces personnes privilégiées pour leur engagement minime (des stories insta contre Trump), quand des militants lgbt ou des femmes racisées risquent beaucoup plus au quotidien pour réellement faire bouger les lignes. Ce livre est un éloge à l'engagement performatif.
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Déjà, je pense que je ne suis pas forcément le public cible. Je m'explique : j'ai lu auparavant d'autres essais féministes, et surtout des livres d'histoire, de sociologie, sur les femmes, leur droit, le genre, le féminisme. Pour le coup, c'est à mon goût, trop peu.
Les idées développées sont très intéressantes, très bien illustrée, expliquée. Mais pour moi, le livre ne va pas assez loin. Certaines explications semblent presque répétitive, et je n'adhère pas totalement au côté "fan" du livre. La plume est fluide, mais mériterait (peut-être) un peu de décontraction, d'humour. Si on veut un livre de vulgarisation, destiné à un public large, je pense que cela passe aussi par l'écriture, qui ici est un peu plate, et manque de panache.
Néanmoins, j'ai passé un bon moment de lecture. Je regrette un peu, parce qu'il y a un potentiel énorme... mais pas assez exploité
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Le livre aborde les limites et frontières de la masculinité du physique et de la mode en utilisant Timothee Chalamet, Harry Style, Billy Porter et bien d'autres. Sans être un essaie transcendant, il questionne sur place donner aux muscles, aux vêtements et à l'attitude virile. Est-ce que ces nouveaux modèles masculins qui sortent du moule vont être des modèles vers un questionnement des limites des genres notamment vestimentaire où va-t-on comme pour Bowie, Price et bien d'autre assister à un effet de mode? Les critiques sur la commercialisation des codes féminins ou LGBT par ces vedettes sont peu aborder.
Est-ce une appropriation culturelles? Une influence ? Qu'est-ce qui défini que ces vêtements/façon d'agir doivent demeurer restraint a certain groupe ? L'auteure semble davantage souhaiter qu'on dépasse la question du genre vestimentaire. Pourquoi exclure des gens de porter certain vêtement ? Pourquoi les hommes ne porterait pas de robe ? Pourquoi seulement les gays pourraient afficher leur féminité?
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Livre avec des idées intéréssantes que je partage, cependant beaucoup de pages d'éloges à T. Chalamet qui personnellement me rend indifférente, j'avoue que ça m'a un peu fatiguée. J'aurais dû me fier à la première de couverture ! Cela mis à part, il y a quand même des sources intéréssantes pour continuer ma lecture sur le sujet.
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