En 1857, lorsque François Guizot évoque devant l’Académie française Charles de Lacretelle (1766-1855), historien de la Révolution décédé deux ans plus tôt, il le salue comme « l’interprète fidèle des sentiments, des honnêtes gens […], le représentant de la conscience publique dans les temps qu’il retrace ». Par ces quelques mots, l’ancien ministre de Louis-Philippe brosse le portrait d’un homme qui a combattu comme lui les excès de la Révolution et défendu la monarc...
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