Mais cet éléphant avait quelque chose de différent au plus profond de lui: un rêve.
Un rêve immense comme une forêt dans laquelle on se sent tout petit.
Un rêve parfumé de vent frais, caressant sa peau dure et rugueuse.
Un rêve brillant d'étoiles, sous lesquelles il est doux d'écouter les grillons et de chanter à la lune.
Il avait seulement besoin d'une paire d'ailes. [...]
Petit à petit, à battre des ailes, il s'est soulevé du sol, en bourdonnant.
Nous nous sommes dit au revoir, nez contre nez.
Un rêve brillant d'étoiles, sous lesquelles il est doux d'écouter les grillons et de chanter à la lune.