Briar University, tome 4 : The dare

Ne jamais dire jamais. Je pensais ne pas revenir à cet univers et puis l'envie d'une romance facile en milieu universitaire et sportif m'a pris, j'ai replongé avec non pas le tome 3 mais le 4. Oui je sais... Mais j'ai toujours bien aimé les histoires de faux fiancé / petit ami, plutôt que celles sur les héros voulant rester chaste ^^

Nous voici donc à suivre Conor Edwards, nouveau joueur bad boy de l'équipe de hockey arrivé en début d'année, mais ce ne sera pas vraiment lui le héros ici, ce sera Taylor, un belle blonde pulpeuse appartenant à une sororité qu'on défie d'emmener Conor dans une chambre au cours d'une soirée. Bien que n'étant pas du tout sûre d'elle, en ayant marre de se faire embêter par sa consoeur Abigail, Taylor se lance.

Je ne suis pas une fan des sororités et des ambiances fêtes d'étudiants avec alcool et jeu d'Action ou Vérité. En général, ça finit mal. Je ne partais donc pas hyper confiante. Conor est LE beau gosse de l'année, Taylor LA fille hyper complexée par sa poitrine imposante, ça ne partait pas super bien et pourtant, j'ai adoré leurs débuts. J'ai découvert en Conor un type vachement sympa, qui sait apprécier les formes et les courbes de Taylor. J'ai découvert une Taylor qui sous ses complexes a un sacré cran et beaucoup d'humour. Ça match direct entre eux, enfin surtout du côté de Conor, du coup j'ai beaucoup aimé qu'ils fassent semblant de sortir ensemble. C'était assez fun avec plein de scènes rigolotes où ils se jouent de leur entourage à l'aide de phrases à doubles sens et autres phrases de drague complètement ridicule. Très vite en plus, le jeu se transforme en autre chose et le désir qui palpite entre eux électrise tout. Ça démarrait donc très bien.

J'ai fini par apprécier qu'on dénonce la vie dans les sororités, les bizutages subits, les rivalités entre filles, les fêtes où ça dégénère. C'était une bonne façon d'approfondir l'histoire et de ne pas se cantonner à leur fausse histoire future vraie histoire, et de ne pas retomber dans une histoire autour du hockey. Malheureusement, ça n'a pas suffit. Pourquoi ? Parce que l'autrice s'est senti obligée de mettre des couches et des couches de drames autour des histoires personnelles des deux héros et que les moments où ils se repoussaient mutuellement pour cacher leur mal être m'ont vraiment semblé très pénibles. Je n'ai pas du tout aimé.

Que cachaient nos héros ? Taylor, on le sait depuis le début, ce sont les complexes autour de son corps et si je comprends les complexes, j'en suis bourrée aussi et j'ai un problème en commun avec elle, je trouve quand même que l'autrice a écrit ça de manière bien trop lourde, sans subtilité et avec bien trop de répétition. Je n'en pouvais plus de ses hésitations et de ses rebuffades au bout d'un moment. du côté de Conor, c'est son passé qui vient le rattraper au mauvais moment et là aussi c'est tellement mal géré qu'on ne reconnaît plus notre surfeur-hockeyeur et qu'on en vient à avoir très envie de le gifler. Ils peuvent se serrer la main tous les deux, aucun ne sait gérer ses problèmes, ses crises, sans s'en prendre à l'autre, alors qu'il n'y peut rien. C'est très moyen et j'ai vraiment eu le sentiment que l'autrice écrivait ces drames parce qu'elle ne savait pas comment dynamiser son récit autrement. C'est bien triste.

Heureusement qu'à côté il y avait plein de choses chouettes. J'ai adoré la copine piquante de Taylor : Sacha. J'ai beaucoup aimé les développements autour des familles de chacun. J'ai aimé les profils de mères-célibataires courages des deux côtés et les hommes qu'elles se sont trouvés. J'ai hurlé de rire en en découvrant un. J'ai été émue par une certaine discussion avec un autre. J'ai aussi adoré retrouver, bien sûr, les coéquipiers de Conor, qui vont l'asticoter comme lui a su le faire à l'époque, de même que les copines de ceux-ci. C'était vraiment rigolo et très bon enfant, mais en plus ils les ont vraiment aidé dans leur histoire.

Celle-ci fut une romance comme je les aime dans un premier temps. J'ai adoré voir Conor lui tourner autour et tenter de transformer leur mascarade en réalité. J'ai adoré le voir la séduire et se montrer toujours très respectueux et attaché au consentement, allant à son rythme à elle. Leur relation était vraiment belle en ce sens et j'ai aimé qu'ils aiment autant parler et se confier l'un à l'autre, qu'ils parlent de leur futur, qu'ils s'aident mutuellement à s'accepter et se trouver. Ils sont rigolos aussi ensemble et ce dès la première scène où ils simulent une bonne partie de jambe en l'air pour tromper les consoeurs de Taylor. C'était chouette de suivre leurs échanges. Il n'y a que ces drames dont je parlais plus haut qui m'ont parfois gâché le plaisir...

Je quitte donc, provisoirement peut-être, l'univers de Briar Université sur une note mitigée car la romance avait un sacré potentiel, régulièrement gâché par une autrice en peine d'imagination, qui comme ses personnages, gère mal les drames qu'elle génère. C'est dommage, ça aurait pu être tellement plus fun et touchant, là je retiens juste mon agacement.
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Quatrième et dernier tome de Briar Université, on rencontre Taylor, étudiante de deuxième année à Briar U, pas du tout intégrée dans sa soro et qui se sent terriblement mal dans sa peau. Alors quand sa pire ennemie des Kappa Chi lui lance le défi de séduire et de passer la nuit avec le plus beau gosse célibataire de l'université, AKA Conor Edwards.

Encore un tome bien cliché, avec une héroïne décrite comme grosse, mais qui doit faire un 36 ou 38 au lieu d'un 32 ou 34… Et qu'est-ce que ça m'énerve… Bref, ce manque de réalisme dans cette série est récurrent dans les quatre tomes et a tendance à m'agacer ! D'autant plus que c'est le tome quatre et j'avais l'impression de lire des reddit des premiers tomes.

L'autrice a pensé ses personnages l'un avec d'énormes complexes, l'autre avec un passé trouble. Mais elle en fait trop avec ses personnages que ça en devient pas crédible et manque de réalisme. C'est dommage…

J'ai quand même pris plaisir à découvrir l'histoire de Taylor et Conor, cela reste une lecture plaisir et sans prise de tête et qui clôture bien la série des Briar Université.

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12/20

Après la publication de sa saga à succès « Off Campus », Elle Kennedy entreprend l'écriture de quatre nouveaux livres des prochaines générations de nos hockeyeurs préférés. Nous n'allons pas nous mentir, car qui était fan de hockey avant de les connaître ? L'autrice revient en force avec des surprises : Colin n'est pas un joueur de hockey mais un geek invétéré, derrière la princesse Summer se trouve une part de douceur et de sensibilité, Brenna dissimule sous son caractère de lionne un passé douloureux, Jake est un joueur séduisant et doué mais qui joue pour l'équipe ennemie, Hunter entreprend des mois d'abstinence, et Demi se désintéresse du sport mais excelle en psychologie.

Pour ce dernier tome, nous retrouvons Conor, encore et toujours : le mec le plus séduisant de l'Université (mais il y en a eu combien ???). Seulement : pas touche les filles ! Conor Edwards n'est pas accessible pour la simple et bonne raison qu'il n'est pas intéressé. Dans ce cas : pourquoi laisse-t-il entendre que Taylor l'intéresse ? La jeune fille blonde n'est pas en bonne compagnie chez les Kappa Chi, puisque ses soeurs se moquent de ses soi-disant « formes disgracieuses ». Mais alors, pourquoi Conor ne lâche-t-il pas l'affaire ? Pourquoi souhaite-il se moquer des ennemies de Taylor en leur faisant croire qu'ils sortent ensemble ? Peu confiante, notre jolie blonde se demande si le sportif ne chercherait pas à la ridiculiser, elle.

Je suis assez mitigée par ce tome-ci. Néanmoins, pas pour des raisons évidentes puisque je ne lui reproche pas plus qu'aux autres. Je trouve surtout dommage qu'Elle Kennedy n'est pas su se renouveler dans l'extension de la saga Off Campus. Briar est encore plus cliché que la saga qui le précède. J'aurais souhaité l'inverse. J'aurais réellement souhaité que les rôles se mélangent : pourquoi il s'agit toujours du sportif alors qu'on pourrait parler de LA sportiVE. Même si les histoires sont différentes, la trame narrative reste identique. Personnellement, je me suis lassée au fur et à mesure que je lisais ces tomes.

Alors, oui, j'aime le couple de Conor et Taylor autant que les autres. Mais sans plus. C'est là que quelque chose manque. J'aurais vraiment voulu les adorer, mais la magie de Off Campus, pour ma part, n'opère plus.

Pourtant, j'ai longtemps porté cette saga dans mon coeur, puisqu'il s'agit de la toute première série de romance que j'ai lue. Je devais avoir pas loin de 15 ans lorsque j'ai entamé ce périple. Je les ai lus, relu, sans m'en lasser. Mais désormais, j'espérais quelque chose de novateur, loin des clichés. Même si j'ai passé un bon moment, j'en attendais davantage venant d'Elle Kennedy. Pour la forme, je lirai le cinquième tome, mais seulement pour la forme.

mon dieu vous vous rappelez quand on nous a annoncé que nous allions avoir un tome 4 de Briar ?
on avait hâte et un peu de stress car vu les trois premiers tomes il fallait pas se louper pour clôturer cet univers!

Et vraiment je suis pas déçu du tout de ce tome! Ce n'est pas mon préférée mais c'est clairement une belle histoire pour clôturer Briar!

Ce livre parle de thème qui est pas vraiment abordé dans ce genre de livre normalement et c'était appréciable de pouvoir les voir ici.

Grâce à Connor et Taylor j'ai passé un moment tellement cocooning et d'une douceur absolue.

Connor est clairement un personnage tellement attentif et attentionné qu'il m'a fait craquer plus d'une fois.
Et le meilleur pour la fin, Taylor est vraiment une femme forte et appréciable à regarder évolué.

Taylor n'est pas à l'aise avec son corps (aux formes trop généreuses selon elle), ni avec les gens (principalement ses « soeurs » des Kappa de l'université) : alors quand ces dernières la défient de séduire le mec le plus sexy de l'équipe de hockey de la fac, elle sent le calvaire et la honte arriver… Pourtant quand elle aborde Conor, il rentre dans son jeu : il faut dire que c'est bien plus amusant et stimulant que toutes ces filles qui se jettent sans arrêt à ses pieds (et qu'il ne rappelle évidemment pas une fois qu'il a couché avec !) Mais, à vouloir jouer à faire semblant, que vont-ils vraiment gagner ?
Ce roman est le 4ème tome de la saga Briar Université, et comme pour les 3 premiers il est centré sur de nouveaux personnages ou personnages qui étaient secondaires dans les autres volumes, ce n'est donc pas vraiment une suite en tant que telle.
J'ai passé un bon moment de lecture et j'étais très contente de retrouver le Campus si familier de Briar (même si on ne croise pas tellement les anciens personnages dans ce tome-là, dommage). La plume d'Elle Kennedy est toujours aussi agréable, l'histoire est mignonne mais sans trop de surprise (mention spéciale quand même à la petite digression sur la romance de la mère de Taylor, je ne l'avais pas vu venir celle-là !).
Nos 2 personnages sont « cute » et vont très bien ensemble, même si j'aurais aimé un peu moins de clichés, ils n'en demeurent pas moins attachants. Elle est complexée mais Conor la trouve magnifique ; il n'a aucune estime pour lui-même avec un léger syndrome de l'imposteur mais Taylor le trouve merveilleux… ils vont apprendre à se voir au travers du regard de l'autre.
A lire si vous avez déjà lu et aimé les 3 premiers tomes, car on reste dans le même ton. Une lecture agréable (mais qui ne restera pas forcément mémorable) dans l'univers des romances à la fac, avec des personnages vraiment mignons.

Surement le tome que j'ai le moins aimé de toute la saga avec off campus.

J'ai eu beaucoup de mal à m'accrocher à Conor, joueur talentueux et aimant à femmes. Je n'ai pas accroché, peut être car redondant, même si Taylor est une femme qui pour une fois n'apparait pas comme la fille en taille XS toujours tiré à 4 épingles comme on dit.

Je ne sais pas, peut etre car il s'agissait du dernier tome mais j'ai eu du mal à le finir.