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3,52

sur 193 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Pour ceux qui s'en souviennent, j'avais relu La maison des oubliés pour pouvoir enchaîner avec la suite, 47 Allée du Lac.

Ce vieux et gigantesque manoir hanté avait un charme et une "présence" presque inoubliables.
En tout cas, j'avais beaucoup aimé.

Je me suis donc jetée avec enthousiasme sur la suite, parce que c'est pas le tout, mais je me demandais où étaient passés tous ces morts... fantômes.
C'est kif-kif.

Après l'incendie qui a réduit le manoir en poussière, tout a éé rasé pour construire un lotissement de maisons modernes et classieuses.

Un couple sympathique visite la plus grande d'entre elles et tombe sous le charme dès le premier regard.

De plus, ça tombe bien, le second étage fait toute la dimension de la maison, des baies vitrées partout... idéal pour un atelier.
Et justement, Jason est artiste peintre. Il commence à se faire une certaine popularité, les clients se bousculent, les galeries lui organisent des expositions.

Au rez-de-chaussée, une cuisine professionnelle a remplacé le garage, ce qui tombe également très bien, puisque la femme de Jason, Emily, est traiteur.

Commande de tout ce qui est électrique à la voix, etc. aménagement de la maison à la pointe de la technologie.

Bon, le bidule tombe en panne dès les 5 premières minutes, mais qu'à cela ne tienne, ça marche même débranché. Sauf que ça marche comme ça veut.
Parce que les entités, qui ont évolué au même rythme que quand ils étaient vivants, font mumuse avec les gadgets.

Je ne sais pas vous, mais moi je suis certaine que j'en ferais autant.
Ils se montrent, parlent, répondent, font du boucan. La durée de leur absence ne les a pas rendus plus aimables qu'auparavant.

Hormis Jason et Emily, dans la maison d'en face, nous avons un couple un peu extravagant, pour ne pas dire cocasse, que je vous laisse découvrir.
Ils m'ont bien amusée, ces deux-là.

Et puis il y a l'homme au cigare, j'ai failli l'oublier !

*******

J'ai été déçue par ce roman. Les phénomènes se multiplient mais Jason cherche une explication rationnelle à tout ce qui se passe, et la trouve.

Il voit des choses qui ne se sont jamais produites, même si sa femme les voit aussi, puis le nie.
Rencontre des gens apparemment en chair et en os...

Je n'ai pas trouvé l'histoire crédible, je n'ai pas frissonné du tout. J'ai beaucoup ri par moments, c'est toujours ça de pris.
J'attendais quand même autre chose, d'autant que j'aime beaucoup Peter James.
Il s'est sans doute autant amusé que moi, en fait.

Sa plume est toujours aussi belle, mais aucune émotion n'en est ressortie pour ce qui me concerne. Les personnages ne m'ont pas touchée du tout.
Plus qu'à passer au suivant.

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J'aime bien Peter James, j'aime bien son style, ses chapitres courts et les histoires qu'il raconte avec son policier habituel...Mais, je n'aime pas quand il se lance dans des histoires avec fantômes ou assimilés, j'en suis sûre maintenant.
Jason et Emily aimaient bien leur petite maison à Brighton. Lui est peintre et il commence à être connu, à avoir beaucoup de commandes : c'était difficile sans atelier. Emily est traiteur : elle aussi commence à être connue et préparer un repas de 80 couverts dans sa petite cuisine...Et en plus il avaient envie d'habiter la campagne...
Alors la maison idéale se trouve là, près des Downs...Un ensemble de pavillons neufs construits sur une ancienne grande propriété, et une maison où ils pourront installer toutes leurs activités.
Mais, dès le début, tout n'est pas parfait. La maison est hyper connectée et si la télévision démarre sans qu'on lui demande et que l'eau de la douche devient glaciale, cette IA n'est peut être pas si intelligente que ça ! Il faut un peu de réglages.
Et s' ils ont l'impression de voir des gens qui sont là, ou pas, c'est peut être le stress du déménagement, de la nouvelle vie.
Bien sûr au Pub, certains des locaux ne sont pas contents de voir arriver les gens de la ville, mais c'est partout pareil...Et il y a les voisins d'en face, les seuls à habiter dans les nouvelles maisons. Ils sont aussi prétentieux que vulgaires, mais bientôt il y aura de nouveaux arrivants...Du reste, on les a vus, ou pas...
Mais peu à peu, leur anxiété augmente tellement ils ont l'impression d'être témoins de choses étranges....jusqu'à la scène finale quasi shakespearienne !
Cela ne m'a pas gênée de voir des fantômes dans une maison neuve. On sait que l'ancien manoir vient d'être détruit, que des gens y ont eu des malheurs... Mais un tel assemblage de fantômes méchants et vindicatifs, ça m'a vraiment étonnée. Que ce soit les fantômes anglais, écossais, et maintenant islandais que je connais, aucun n'est méchant à ce point...
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J'avais passé un très bon moment avec La maison des oubliés de Peter James, alors j'avais bien envie de refaire un tour du côté de Cold Hill pour de nouveaux frissons. Si dans le précédent livre l'histoire de cette maison hantée peut sembler classique, il faut dire qu'elle était tout de même bien efficace.

Malheureusement, avec 47, Allée du Lac j'ai pris beaucoup moins de plaisir à découvrir les lieux. L'ancienne et grande demeure a laissé place à un joli quartier pavillonnaire très moderne, à la pointe de la technologie. Bizarrement avec moi, ça n'a pas trop marché, j'ai trouvé l'endroit trop lisse justement. Il m'a manqué le charme que l'on retrouve dans les maisons dites maudites. Vous savez, le bois qui craque, la tuyauterie qui fait des siennes, la maison qui semble vivre d'elle même... du coup une bonne partie du livre se contente de "jumpscare" entre visage qui surgit de nulle part et cris venus d'une autre pièce. Bien sûr, il n'y a pas que ça, mais je n'ai pas ressenti réellement d'effet de surprises, c'était assez redondant.

Heureusement, j'ai beaucoup apprécié le couple qui s'installe dans la maison la plus prisée du lotissement. Jason et Emily semblent très soudés malgré les choses étranges qui se déroulent chez eux. Et ils ont toujours le bon mot pour se remettre de leurs émotions. Il y a une complicité entre eux que j'ai bien aimée.

Une suite que je trouve tout de même légère comparée à La maison des oubliés. J'ai eu le sentiment d'un remake aux allures plus modernes, avec une maison moins impressionnante que l'originale. Ca reste tout de même un bon divertissement, même si ma préférence va largement au premier.
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Dès les premières pages de 47, allée du lac, le dernier Peter James, mes cheveux se sont dressés sur ma tête. J'ai même failli arrêter ma lecture. Heureusement, Fred était à côté de moi, je me suis persuadée que rien ne pouvait m'arriver. Rien, hein ?

Il y a des livres ou des films qui font tellement flipper que vous ne pouvez plus bouger. Deux options alors : arriver à vous en extirper ou continuer. J'ai choisi de continuer pour en finir avec ce roman, ce qui m'a valu une bonne insomnie.

Jason et Emily Danes avaient envie de campagne. Lui, peintre au succès grandissant ; elle traiteur renommée. Ils achètent une maison immense à Cold Hill, où se construit une grand lotissement sur les vestiges d'une propriété au passé tragique. Ils avaient envie de campagne oui, mais high-tech et moderne avec l'entièreté de la maison reliée à une commande vocale. Jason installe son atelier au dernier étage et Emily annexe le garage pour son activité. Celui-ci doit être assez grand pour accueillir ses dix-sept congélateurs ! Certaines maisons de Cold Hill sont déjà terminées mais pas encore occupées. Les seuls voisins des Danes sont des cinquantenaires avec qui ils ne s'entendent pas des masses – ce qui peut tout à fait se comprendre – mais entretiennent des relations cordiales en attendant l'arrivée d'autres voisins qui auront peut-être plus de points communs .

Dès leur arrivée au 47, de drôles de choses se produisent. Des voix, des ombres, une femme qui apparaît dans le miroir (l'angoisse), des pas à l'étage, des portes fermées qui pourtant claquent. Les Danes se demandent s'ils ont bien fait de s'installer là, regrettant déjà leur petite maison de ville. Jason est le plus touché par les évènements qui se déroulent chez eux et, pour ne pas devenir fou, il va mener l'enquête.

Je vous ai déjà dit que je n'étais pas fan de paranormal dans les thrillers, parce que je trouve ça trop facile. L'auteur n'a pas à se creuser la tête, c'est la faute du fantôme maléfique, tadamm. Mais là, 47, allée du lac, est un livre horrifique. Et évidemment, là, le paranormal a toute sa place. Mais qu'est-ce que ce livre m'a fait flipper !

Ce qui est drôle, c'est qu'alors que j'étais en pleine lecture de ce livre, j'ai passé une soirée avec mon amie Chloé qui m'a traduit – en jouant presque les rôles – une pièce qu'elle avait vu à Londres avec Tom Felton (la chanceuse), 2:22 a Ghost story, dont elle avait le script. J'ai passé un excellent moment – j'adore qu'on me raconte des histoires et celle-ci était top – mais je n'arrivais pas à me sortir 47, allée du lac de la tête.

Est-ce que Emily et Jason étaient morts tout simplement, ou allaient-ils réussir à s'échapper de cette malédiction et retourner en ville. Leurs voisins étaient-ils des fantômes, ou alors le sale Arthur, personnage absolument détestable, allait-il finir écrasé son son tracteur. Mon cerveau était en pleine ébullition.

A la fin du roman, j'ai été soulagée d'en avoir fini. Pourtant, j'ai trouvé qu'il manquait un certain nombre de choses non expliquées, et pas forcément cohérente – ce n'est pas parce qu'on est dans le paranormal qu'il faut bâcler la fin. Bref, une lecture en demi-teinte. Qui m'a quand même bien effrayée. Je vais donc me plonger dans un petit thriller réconfortant et ça ira beaucoup mieux.
Lien : http://mademoisellemaeve.wor..
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Quel plaisir de retourner à Cold Hill , mais je pense très sincèrement que Peter James aurait du s arrête au premier ouvrage, qui je trouve ce terminait très bien.
Mais bon celui reste quand-même un peu la suite des évènements même si l on sait exactement où l'on va aller...
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Bon, je ne vais pas m'éterniser sur cet avis livresque tout simplement parce que je vais, à peu de choses prêt, lui attribuer le même avis que le tome 1 "La maison des oubliés".

Pour ce tome 2, c'est le même schéma. Cette fois ci, c'est le couple Danes qui va s'installer dans le manoir de Cold Hill. Enfin anciennement manoir, puisque depuis le dernier drame de 2015, la région a connu de gros travaux. Tout y a été détruit, puis reconstruit. Jason Danes est artiste peintre et se voit très bien développer son âme d'artiste dans cette somptueuse maison. Sa femme, Emily, est traiteur et tombe sous le charme également. Mais dès l'emménagement, des phénomènes étranges s'y déroulent jusqu'à en terroriser les nouveaux occupants. Jason va perdre la notion du temps, avoir des hallucinations (même si tout ça n'est encore pas très clair). le couple va bien entendu vouloir s'enfuir mais.... y arriveront-ils seulement ?

Bien-sûr, une fois de plus, Peter James ne nous laisse aucun répit : atmosphère anxiogène, apparitions brutales, phénomènes inexpliqués. Mais j'ai encore été déçue par la fin! En plus ce livre n'apporte rien de nouveau. Je pense sincèrement que si toutes ses histoires finissent comme ça, je vais m'arrêter là avec cet auteur. C'est dommage, parce que l'intrigue est terriblement bonne, l'ambiance est flippante à souhait mais la fin ne nous apporte jamais aucune réponse concrète, même si je pense que finalement la région est "simplement" maudite. La fin n'est même pas surprenante ! J'ai l'impression d'avoir lu un copier/coller de la Maison des Oubliés. Vraiment, quelle frustration de ne pas en savoir davantage. Je trouve vraiment très très dommage alors qu'à la base le concept est top !

En période d'halloween, si vous voulez vous faire je vous le recommande vivement !
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Je suis mitigée sur ce roman traitant du thème de la maison hantée.

Quand je lis ce genre de livre, c'est pour frissonner, avoir les cheveux qui se dressent sur la tête, ressentir de l'angoisse... Je suis assez difficile dans ce genre-là car c'est un genre que j'adore mais j'ai besoin que ce soit un minimum crédible pour arriver à m'immerger dans ce type d'ouvrage (oui je sais c'est paradoxal vu le genre).

Or ici, j'ai eu beaucoup de mal avec le début de ma lecture. Peter James dévoile dès le début les soucis que vont rencontrer Emily et Jason dans leur nouvelle maison. Mais il le fait de manière tellement cliché, que j'ai plus d'une fois levé les yeux au ciel: la télévision qui s'allume toute seule, l'électronique qui n'en fait qu'à sa tête... Bref, c'est quand même du vu et revu.

Pour les personnages, nous avons donc ce couple plus le couple d'en face Claudette et Maurice. Et oui comme leur nom l'indique, ils sont également un cliché à eux deux: la femme qui tyrannise son mari, qui jalouse et dénigre les autres en permanence, et le mari qui dit déteste sa femme mais qui dit amen à tous ses caprices.

Avec tout ça comme points négatifs, je partais très mal dans ma lecture. Mais c'est sans compter le talent d'écriture de l'auteur. Il m'aura quand même fallu arriver aux alentours des cent pages pour que ma curiosité soit enfin piquée.
Même si je n'ai pas sursauté comme une dingue dans mon fauteuil, la plume incisive, courte et fluide de l'auteur aura fini par m'embarquer dans cette histoire.
J'ai bien aimé le concept de la temporalité qui permet au lecteur d'être aussi confus que le couple par moment. Peter James instille le doute: réel, imaginaire ? Et puis je me suis prise au jeu et je voulais vraiment savoir ce qui allait leur arriver au final.
Cette fin m'a d'ailleurs plutôt plu. Elle est en totale adéquation avec l'histoire.

Ce livre est fait pour vous:
- si vous aimez les histoires de maison hantée bien écrite (forcément, hein !).
- si vous ne cherchez pas une réelle profondeur dans l'intrigue ni les personnages.
- si vous ne venez pas de déménager dans une maison neuve d'un tout nouveau lotissement !
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Une histoire de fantômes qui se prête bien à la période ( oui même si Halloween est passé 🙃), j'ai apprécié retrouver Cold Hill, découvrir les nouveaux personnages.

Le déroulement de l'histoire est fidèle au 1er tome, #peterjames distille au fur et à mesure la peur et l'angoisse, une ambiance pesante règne, c'est sombre mais... j'attendais davantage d'explications sur le quartier maudit, son histoire plus détaillée surtout avec quasi 400 pages.
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Une lecture agréable

C'est vraiment une lecture qui se lit toute seule, c'est fluide donc déjà un très bon point.

L'auteur nous amène vers différentes pensées pour nous faire un peu tourner en rond, j'avais deviné cette fin mais j'attendais que ce soit officiel ahaha. J'ai pourtant bien apprécié !

Le petit point qui m'a perturbée c'était le découpage des chapitres qui parfois était assez incohérent. Mais évidement, rien de grave !

Je n'ai pas été déçue car je ne m'attendais à rien de particulier mais peut-être que si j'avais eu une attente précise ça n'aurait pas été pareil.
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Je m'attendais à mieux avec 47, allée du Lac. le parc de Cold Hill a un passé très lourd et les habitants disparaissent de façon tragique. le suspens est présent, et on suit le personnage principal Jason Danes dans ses inquiétudes, la recherche de la vérité, ses doutes.
Je m'attendais à un dénouement plus original, celui-ci fut annoncé, sans surprise. En bref, un livre qui me laissera pas un souvenir impérissable.
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