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Citations sur Sur les ailes d'un papillon (31)

Les gémissements de Sophie se firent de plus en plus rapprochés, son corps tout entier se contractait. Elle était sur le point de craquer sous le plaisir qui atteignait son paroxysme. Je sentis la jouissance monter le long de ma verge, excité comme un jeune puceau. D’un geste rapide, j’emprisonnai sa gorge. J’y exerçais une légère pression pour lui procurer encore plus de sensations et la dominer complètement. Elle voulait jouir comme jamais, j’allais lui donner ce qu’elle désirait : une baise sauvage !
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J’étais envahi de sensations indescriptibles qui me transportèrent immédiatement dans le monde des plaisirs. La chaleur de sa muqueuse humide comprimée contre ma verge provoquait en moi une déferlante de bonheur, au point de me raidir la nuque et de crisper mes mâchoires. Un torrent de puissance coulait en moi, et ce corps nu, déposé devant moi, s’offrait comme autant de mets exquis à consommer sans retenue. Je pris d’abord le temps de m’imprégner de chacune de ces délicieuses sensations, exécutant mon va-et-vient avec lenteur. Nos regards ne se quittaient plus, mon visage à peine à quelques centimètres du sien, nos âmes résonnaient de concert.
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J’avais eu beaucoup de chance que ma femme me voue un amour incommensurable. Sans celui-ci, elle n’aurait jamais réussi à oublier mes faux pas. Néanmoins, malgré toutes ces bonnes intentions, la blessure que je lui avais infligée était si profonde que nous avions perdu notre belle complicité.
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Retrouver ma femme avec toute la fougue de nos premières fois et avec ces petites fantaisies en supplément me faisait me sentir homme. Je me sentais désiré et profondément vivant.
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Son corps, ses seins, ses longues jambes ainsi mises en valeur me subjuguèrent. Ses cuisses en équerres laissaient entrevoir son intimité et attiraient irrésistiblement mon regard. Je restai un instant immobile, la dévorant des yeux avec gourmandise et envie. Les flammes dansaient sur sa silhouette presque nue, découpant habilement le contour de sa poitrine généreuse, projetant la timide ombre de ses mamelons en érection. Ses hanches se dessinaient, chaleureuses, charnues et délicates.
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Je rêvais, moi aussi, de retrouver un foyer chaleureux, de jeter mes chaussures en cuir une fois le seuil de la porte franchi et de ne plus penser à ma journée de dur labeur. Ma femme, attentionnée et aimante, m’attendrait les bras grands ouverts. Elle m’enlacerait avec tendresse et on discuterait de tout et de rien. Et surtout de rien, sans jugement, sans tension et dans la simplicité. Un délicieux repas mijoterait sur le feu. Les plats tout préparés ne me manqueraient pas.
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J’oscillai entre la honte et la colèr e  ; honte de ce que j’avais pu faire par le passé et en colère contre moi-même, mais aussi contre Ambre qui me forçait à me remémorer des souvenirs que j’essayais d’enfouir au plus profond de mon être. J’endossais malgré moi le rôle de l’enfant qu’on prend sur le fait et qu’on punit dans un coin de mur après lui avoir infligé une bonne correction. Une question me rongeait : comment pouvait-elle avoir connaissance de ces détails-l à  ? Sophie n’en parlerait jamais à sa fille tout de mêm e  ? Ma colère se projeta brièvement sur elle. Ou bien l’avait-elle deviné  ? Avait-elle entendu des choses à l’époque qu’elle aurait gardées pour elle ?
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L’euphorie laissa place au vide, au néant. J’étais à nouveau aspiré par le gouffre de mon existence. J’obstruai ma bouche pour contenir tout ce qui pouvait en sortir et me balançai d’avant en arrière comme un dément.
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Tout ceci n’était que fantasme, mais donner vie à ces événements allégeait ma colère et ma peine. J’étais mis à pied pour deux semaines pour faute professionnelle avec une forte probabilité de licenciement. Mon sort était scellé.
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Vivre me manquait. Mais comment songer au bonheur quand on ne peut plus vraiment réfléchir sur ses désirs et ses aspirations ? Comment agir tout simplement lorsque notre tête subit un millier de tournants ? Tout m’était insupportable.
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