« Paupières grand ouvertes
l’iris fouetté le blanc fou
les veines rafraîchies
les sangs chauds comme en août
les ponts la mer le vent la houle
les nuages qui courent le soleil qui roule
poissons en bancs en solitaire en troupeaux
tu te couvres d’écailles blanches tu tombes du bateau
nous quittons le ponton
chute
chute
chut
l’ile
ça y est
allons pêcher ». >Voir plus