Schéma désormais classique du loup solitaire, chasseur d'épave, échoué sur un monde reculé, terraformé mais vide, qui trouve un super ordinateur pour l'aider et repartir dans le monde… Ah, erreur, aujourd'hui ce n'est pas un super ordinateur, c'est une plante verte (bon qui se couple à un ordi quand même).
Bon en dehors de la farce, géranium conscient et en plus super intelligent et capable de révolutionner la physique en quelques heures, hautement ridicule, le petit bouquin se laisse lire en quelques heures.
On ne donnerait pas le nom de l'auteur qu'on devinerait au bout de quelques pages de qui il est. Toujours un peu moralisateur, gentiment désuet, dans son univers désormais classique dans lequel il nage (et nous aussi) comme un poisson dans l'eau.
Il aurait mieux valu que notre héros tombe sur un ordinateur devenu conscient après des siècles de solitude plutôt que sur un bégonia extraterrestre mais bon, sans surprise, mais sans déplaisir non plus (peut être même avec plaisir d'ailleurs).
Entre deux lectures plus complexes.
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un roman vibrant d'humanisme, histoire d'amitié entre un humain et une plante. C'est beau, paisible. Un moment rare de lecture, pour le fond. Pour la forme, le style de PJ n'est pas toujours parfait, mais ici cela n'a aucune importance.
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les plante n'ont pas de cerveau.... et si?
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La plupart des politiciens ont une ambition extrême, anormale. Et c’est comme ça depuis toujours ! Nous choisissons des malades pour nous diriger… Cela explique, en partie, toutes les formes de guerre qui nous ont opposés. Parce que ces politiciens, eux, ne font jamais la guerre véritable, ils y envoient les autres !
L’anonymat. La seule, la vraie liberté réside dans l’anonymat. Ne pas se faire remarquer, être un parmi les autres. A ce moment on peut jouir totalement de la civilisation humaine.
En réalité, ces politiciens ne possèdent que le pouvoir apparent. Le véritable pouvoir est celui de l’argent, et là on aborde un autre aspect de notre société. L’argent est détenu par quelques groupes financiers, industriels, commerciaux, ou de très puissantes compagnies. Et ces groupes économiques sont assez puissants pour imposer leur volonté aux politiciens qu’ils achètent souvent en leur donnant des avantages, ou de l’argent officieusement. Afin que leurs compagnies en gagnent toujours plus, précisément, grossissent davantage. Les hommes qui les dirigent sont capables de n’importe quelle décision. Ordonner de tuer, voler ne les gêne pas. Ils emploient d’autres hommes pour cela…