Après guerre, sous l’impulsion de Jean Cocteau, un puissant ciné-club fit le constat que le cinéma de l’époque était en voie d’uniformisation : Objectif 49.
Son analyse tranchait : un cinéma industriel et paresseux s’était imposé grâce aux grands réseaux de distribution et à leur monopole. Un manifeste fut donc rédigé afin qu’un nouveau cinéma puisse trouver sa place en marge des superproductions.
Un « festival du film maudit » fut même créé, à Biarritz, où les noms et figures d’Orson Welles, de Renoir ou de Bazin coexistèrent pour la première fois avec ceux de jeunes cinéphiles comme Rohmer et Truffaut.
Après guerre, sous l’impulsion de Jean Cocteau, un puissant ciné-club fit le constat que le cinéma de l’époque était en voie d’uniformisation : Objectif 49.
Son analyse tranchait : un cinéma industriel et paresseux s’était imposé grâce aux grands réseaux de distribution et à leur monopole. Un manifeste fut donc rédigé afin qu’un nouveau cinéma puisse trouver sa place en marge des superproductions.
Un « festival du film maudit » fut même créé, à Biarritz, où les noms et figures d’Orson Welles, de Renoir ou de Bazin coexistèrent pour la première fois avec ceux de jeunes cinéphiles comme Rohmer et Truffaut.