« Penser sans le savoir. Marcher sans le savoir.
Ni savoir comment faire pour marcher ou pour penser. S’étonner de manquer de savoir.
Et s’étonner de pouvoir savoir sans savoir savoir, sans avoir conscience de savoir. »
D’ordinaire, le langage répond aux interrogations par des énoncés articulés autour de verbes soumis à la conjugaison, rattachant ainsi l’homme à ses questions sans pour autant lui répondre.
Restait à tenter l’e... >Voir plus