Mirai Nikki, Tome 3

Le problème de ce genre de manga quand vous êtes comme moi, c'est qu'on se perd rapidement dans les protagonistes quand on le lit qu'un tome par an.
Il faut alors se remettre les numéros, les noms et les pouvoirs de chaque chronographe en tête et ce n'est pas toujours facile.

En démarrant ce troisième tome, j'avais souvenir que le problème de la secte était terminé. Ce n'est pourtant pas du tout le cas, Yuno et Yukki sont loin de s'être tirés d'affaire et Keigo et Minéné ne peuvent pas non plus se sortir de là.

J'en étais arrivée à un point où je ne pouvais plus supporter Yukki et ses chouineries incessantes. Pour un personnage principal, je le trouvais assez antipathique avec sa tendance à toujours compter sur les autres pour venir à son secours. Si Yuno est assez fatigante, elle était au moins un peu plus active que lui.
Cette fois, pourtant, Yukki se bouge un peu et réussit à les sauver tout en détruisant le chronographe de la Numéro 6, ce qui marque la fin de l'arc de la secte.

Les personnages n'ont pas pour autant le temps de se reposer puisque on assiste à l'entrée en lice de Numéro 5, Reisuké Hôjô, un petit garçon aux marionnettes, qui possède le journal de l'Hyper Vision.
Il n'y a rien à faire, j'ai toujours trouvé les gosses hyper agaçants et le fait que Yukki refuse de lui faire du mal m'a encore plus énervée.

En revanche, je suis très intriguée par l'alliance entre Numéro 4 et Numéro 9 et ce que Keigo compte bien en tirer. C'est un des personnages les plus mystérieux du jeu et j'ai toujours l'impression qu'il a quelques coups d'avance sur les autres
La partie avance rapidement et les alliances peuvent servir comme handicaper les joueurs.
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