Le Dahlia noir

Il y a quelques mois, la première tentative de lecture de ce titre s'était soldée par un échec. A peine commencée, elle m'avait mise KO ( j'ai horreur de la boxe) ! Ne voulant pas m'avouer vaincue, devant la renommée de ce roman, je me suis décidée à retenter l'expérience. Peine perdue, malgré mon goût pour le polar noir et le thriller glauque, j'abandonne à mi-roman.

Une 1/2 étoile, simplement pour signifier cet abandon. James Ellroy est sûrement un grand écrivain pour certains, mais à mes yeux, il est totalement illisible. J'ignore si c'est la faute de sa plume, de celle de son traducteur ou à cause des nombreuses coquilles relevées dans cette édition de poche. L'enquête principale est totalement parasitée par des détails annexes. Je me suis enlisée dans les boues sombres de cette Los Angeles d'après-guerre. Les enquêteurs semblent être des machines de guerre sans empathie.
J'ai tout de même lu la postface de l'auteur en fin de livre et je découvre que l'écriture de ce roman lui a servi en quelque sorte d'exutoire à l'amour incestueux qu'il éprouvait pour sa mère assassinée alors qu'il était enfant. J'en comprends mieux toute la noirceur et le côté sordide.

Après de multiples essais, je ne suis jamais parvenue au bout de ce livre. Une atmosphère trop glauque, des combats de boxe continuellement en arrière-fond alors que j'ai en horreur ce..... peut-on dire sport. Noir c'est noir, tout est noir. Un pur thriller certes, et je n'aime pas forcément les fins heureuses, mais trop c'est trop.

Comment dire. Je ne suis jamais entré dans ce roman. Il m'a littéralement laissé à la porte. Après 150 pages d'une lecture laborieuse, j'ai purement et simplement abandonné.
Du coup mon impression est très mitigée. L'histoire est intéressante mais le style et la façon mener la narration m'ont empêché de poursuivre normalement ma lecture. Il faudra que j'y retourne un jour.

lecture abandonnée a 150 pages...

Le dahlia noir est un best-seller, un classique de littérature.
Pourtant, il m'a laissé froide.
J'ai tenté de m'accrocher mais les propos de l'auteur me paraissait totalement décousu.
Après 120 pages, il était évident que ce roman ne serait pas pour moi.
Dommage.

Suis passé à côté de ce roman dont j'avais vu tant de bonnes critiques "le roman noir de l'année ", le ceci, le cela... bref insipide de bout en bout, on en rajoute pour faire durer les pages mais pas le suspens... on voit vite ou est l'assassin, l'intrigue traine en longueur, sans fin, sans saveur... ai refermé le livre 100 pages avant la fin en ayant l'impression d'avoir sincèrement perdu mon temps pendant de longues soirées... mais çà fait dormir c'est déjà çà de gagner... A fuir...

Je le classe en numéro un des livres les plus mauvais que j'ai lu, c'est pour dire, il ne se passe quasiment rien du début à la fin et c'est un livre ennuyeux a mourir....

A part une intéressante ambiance du climat régnant dans les locaux du LAPD, dans les années d'après-guerre, l'histoire racontée dans ce livre, surtout la fin, ne m'a pas paru crédible

Le style est lourd, c'est glauque, les personnages assez peu crédibles. Je ne suis vraiment pas rentré dans ce roman pourtant assez plébiscité.

impossible d'aller au bout.Vu la critique, je ne suis pas dans l'air du temps le style d'écriture ne me convient pas