Sans suivre assidument les aventures de Jérôme K. Jérôme Bloche, j'apprécie de lire une aventure de temps en temps.
Je ne sais pas comment l'expliquer, mais je lui trouve un côté sympathique très prononcé. Sa maladresse et son côté anti-héros doivent jouer :-)
Bien sûr ses enquêtes ne me restent pas nécessairement en mémoire, mais je passe en général un moment chargé de suspens et souvent je souris devant les bourdes de Jérôme !
Ici, il apporte son aide à une vieille Baronne, dont le fils (adulte) a été enlevé. Filature plus ou moins discrète, fausse piste, siestes à toute heure et en tout lieu, on se demande comment il va réussir à tirer cette histoire au clair !
Le dessin est soigné, détaillé, réaliste, pour ma part cela me convient. Pour l'enquête, je me suis laissée prendre par l'histoire.
Une petite bande dessinée "policière" qui reste agréable à lire.
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Je me replonge dans les deux derniers tomes de Jérôme K. Jérôme Bloche avec les tomes 26 et 27.
Les années passent mais Dodier n'a pas perdu la main sur son héros et sur les intrigue qu'il amène. J'y retrouve cette nostalgie des premières histoires.
Mon regret est plutôt de retomber dans les mêmes ficelles à chaque tome et dans les mêmes situations.
Le gâteau au chocolat de Dodier est très bon, j'aime en remanger de temps en temps, mais je sais ce que je vais manger. A présent, une part de moi voudrait qu'il me surprenne avec une pâtisserie différente.
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Dessins soignés pour ce polar à l'ambiance urbaine. Les ingrédients habituels, humour, maladresses en cascades, et de l'action avec des personnages hauts en couleurs. J'ai bien aimé la baronne, vielle autoritaire qui ne s'en laisse pas compter. Je préfère les épisodes avec un peu plus de mystère, mais cela reste un bon opus.
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Devenue une référence, Jérôme K. Jérôme Bloche est une série paradoxale qui, d’un côté, respecte les codes les plus traditionnels du Neuvième Art et, de l’autre, s’avère profondément ancrée dans le monde d’aujourd’hui. Alain Dodier continue de surprendre sans s’égarer. Chapeau l’artiste !
Lire la critique sur le site : BDGest
La partie dessin démontre qu’Alain Dodier a acquis, au fil de ses albums, une réelle maîtrise de son art. Très classique dans son rendu, le trait qui anime Jérôme et ses pairs reste incroyablement plaisant à parcourir grâce à cette rigueur dont il fait preuve. Une nouvelle enquête policière à la Jérôme Bloche comme on les aime, à la fois généreuse et divertissante.
Lire la critique sur le site : Sceneario
On ne se lasse pas de suivre les aventures du détective binoclard et maladroit circulant en Solex, vieux copain des lecteurs de Spirou. [...] Une enquête mouvementée, la vingt-septième, menée à petits pas comme à son habitude par le rouquin décidément inusable.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Règle numéro un sur le terrain: couper la sonnerie de son téléphone. Tant il est vrai qu'en vertu d'une loi immanente il y a toujours quelqu'un pour vous appeler au plus mauvais moment.
Il y règne un désordre qui laisse à penser que votre fils vit seul ou alors avec quelqu'un de plus souple que ma compagne question ménage.
- ça fait une paie qu'on t'avait pas vue dans le quartier. Qu'est-ce que tu deviens ?
- Vieille ?
Trois jours sans portable et on se rend compte que le monde continue de tourner malgré tout.
J'ai bien plus peur de Babette que de ta façon de conduire !
Jérôme K Jérôme Bloche 28