AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,17

sur 1359 notes
C'est dans un tout autre registre que celui du « Gang des rêves » dans lequel nous entraîne Luca di Fulvio, avec les « Enfants de Venise. Là on se retrouve en 1515 (juste après la bataille de Marignan) dans la plus belle ville du monde pour les amoureux, je veux citer Venise.
Avec brio, il nous fait découvrir l'époque et la vie des Vénitiens, de la plèbe, des orphelins, à cette époque. Et tout part de là. Des enfants livrés à eux-mêmes, qui survivent comme ils peuvent, avec les moyens du bord qu'est le racket, le vol, le viol, la dominance des plus forts à tous les étages.
On va parcourir les rues de Venise et entrer dans les plus beaux palais mais aussi dans les coupe-gorge dont regorgent Venise et sa puanteur à certains moments de l'année.

Mercurio, personnage autour duquel s'articule le roman, nous entraîne dans ses peurs, ses espoirs, ses désespoirs, et surtout son amour pour Giuditta, jeune juive qu'il va rencontrer sur le chemin de l'exil. Chaque personnage fuit et tout ce petit monde va se retrouver, pour le meilleur ou pour le pire à Venise. On assiste aux intrigues à tous les niveaux, à la mise en place d'un ghetto pour les juifs et à la mascarade d'un procès de sorcellerie.

Qui triomphera ? Si vous voulez le savoir, alors plongez-vous dans ce roman, vous ne le regretterez pas. Ce roman est à la hauteur de Dumas ou de Féval (le Bossu) et je vous défie de le lâcher avant la dernière page…. Enfin presque… Il faut quand même s'octroyer des petites pauses.
Commenter  J’apprécie          290
Michel Leiris a écrit "Traduire, c'est avoir l'honnêteté de s'en tenir à une imperfection allusive."
Et quitte à prendre une position tranchée là ce n'est plus une imperfection allusive, mais une imperfection explicite,. Pourquoi me dire direz-vous ?

Et bien, je dois dire que de prime abord j'ai eu un peu de mal à comprendre pourquoi avoir sacrifié la traduction du titre original (La ragazza che toccava il cielo) par sa traduction littérale et certes plus poétique " pour une traduction plus passe-partout : " Les Enfants de Venise".

Pourquoi ce titre italien "La fille qui a touché le ciel" est devenu " Les Enfants de Venise". Mystère.....

On ne peut pas reprocher à ce titre français de coller à la réalité du livre car il s'agit bien d'une histoire d'enfant dans la Sérénissime, mais autant ce titre d'une platitude navrante cache un petit bijou de littérature.... Et ne lui rend pas service....

Revenons à l'histoire et ses protagonistes, nous voilà immergé dans un kaléidoscope de vies parallèles...
D'un côté Mercurio (le mercure ou le Mercure), Zolfo (le souffre), Ercole et Benedetta
De l'autre Yits'aq da Negroponte et Yeoudith qui deviendront Isacco da Negroponte et sa fille Giuditta.
Sans opposition leurs destins s'entrecroisent, s'entrechoquent. Ce sont des personnages qui comprendront qu'ils ont en eux les armes pour s'élever, pour améliorer leur propre condition, mais pas au détriment des autres.
"La vie est simple. Quand elle devient compliquée, ça veut dire qu'on se trompe quelque part. Ne l'oublie jamais. Si la vie devient compliquée, c'est parce que c'est nous qui la compliquons. le bonheur et la souffrance, le désespoir et l'amour sont simples. Il n'y a rien de difficile. "
Le fond historique est là aussi : la rivalité entre Rome la religieuse et Venise l'indépendante.
Nous sommes loin de la splendeur de la Cité des Doges et de ses palais de marbre, l'auteur italien Luca di Fulvio fait revivre avec maestria un milieu violent, à l'ombre du Rialto, fréquenté par de vils personnages aux noms qui semblent tout droit sortis d'un conte macabre.

Voici comment l'auteur à l'entame du chapitre 36 relate ce qui va tout changer, le premier soir où les portes du Ghetto de Venise vont se fermer :
"« Fermez ! », commanda une voix.
Les gonds grincèrent. Les deux battants claquèrent avec un bruit sourd. On entendit crisser les cadenas, fer contre fer.
« Fermé ! », dit une voix.
« Fermé ! », dit une autre voix en écho.
Puis ce fut le silence.
La communauté juive était réunie au grand complet sur le campo del Ghetto. Il n'y avait pas eu de programme, de rendez-vous concerté. Ils s'étaient simplement retrouvés là. Et tous avaient cette expression ahurie peinte sur le visage.
C'était la première fois qu'ils étaient enfermés. Ce soir était le premier soir.
Dans le silence qui suivit la fermeture des deux grandes portes, personne ne savait que faire. Les yeux de tous étaient fixés sur les battants cadenassés de l'extérieur.
« Comme des poules dans un poulailler, fit soudain une vieille femme, d'une voix rauque. Quelle horreur. »
Et dans ce silence, tous l'entendirent.
« Tu aurais pu trouver un autre exemple », lui dit un homme à côté d'elle.
Et tous l'entendirent lui aussi.
« Comme une poignée de punaises dans une tabatière, dit alors la vieille femme. Comme une tribu de cafards dans un pot de chambre. Tu veux que je continue ? »
Une autre voix dit : « Non ».
Le silence se fit à nouveau.
Alors, l'idiot de la communauté, un gamin qui avait toujours la bouche grand ouverte et la bave au menton, commença à entonner, de sa voix disgracieuse, un vieux refrain que l'on chantait aux enfants pour les faire s'endormir : « Dans le noir il y a une lumière… elle est à l'intérieur de toi… ferme les yeux, tu la verras… »
Une petite fille de cinq ou six ans, qui se frottait les yeux de sommeil, tendit sa petite main et la mit dans celle de l'idiot.
« Ferme les yeux, tu la verras… c'est celle de l'ange qui veille sur toi… c'est la lumière du jour de demain… »
Le père du garçon, ému, prit l'autre main de son fils et la serra fort. Sa mère, à son tour, prit celle de son mari et posa la tête sur son épaule. « Chante, mon enfant, dit-elle doucement.
— … C'est la lumière du jour de demain… qui sera ton jour, mon trésor… parce que le noir est déjà une lumière à l'intérieur de toi…
— … Parce que le noir est déjà une lumière à l'intérieur de moi… », répétèrent les enfants sur le campo del Ghetto, comme le voulait la chanson.
Et les parents leur firent une caresse et les prirent par la main pendant que l'idiot chantait la fin de la chanson : « … Parce que le noir est déjà une lumière à l'intérieur de nous… parce que l'agneau a retrouvé son troupeau… Dors, mon amour, dors… n'aie pas peur, mon ange… parce qu'il n'y a pas de peur dans la lumière ».
L'un après l'autre, en silence, dans ce nouveau silence, tous les membres de la communauté se prirent par la main, sans se soucier de savoir qui était leur voisin et sans détacher leurs yeux des grandes portes barrées, et ils formèrent une chaîne qui n'avait ni début ni fin.
Alors la voix du rabbin s'éleva, émue et grave : « Demain, à l'aube, quand ils ouvriront, nous serons de nouveau une multitude. Mais ce soir nous ne sommes qu'un."

Un grand moment d'Histoire servi par une grande plume.....
Un grand moment de noirceur servi par une écriture lumineuse.....
Un grand moment de douleur qui devient poésie mélancolique....

Bref ce fut une beau moment passé avec les Enfants de Venise....
Mais ce fut encore plus beau avec l'idée de cette fille qui a touché les étoiles.....
Et je retiens ces mots de Reina la magicienne "L'amour nourrit et engraisse. La haine consume et creuse. L'amour enrichit, la haine soustrait"
Commenter  J’apprécie          2715
Quel talent ! J'ai adoré ce récit plein de vie et de verve ! Je ne pensais pas pouvoir m'attacher à une bande d'enfants voleurs, menteurs et comédiens et pourtant j'ai eu beaucoup de mal à les quitter. Mercurio et Giuditta, leurs amis et parents resteront longtemps dans mon coeur. Leur histoire, la vie à Venise au XVI ème siècle, tout est passionnant dans ce récit romanesque de près de 1000 pages. À lire absolument !
Commenter  J’apprécie          270
Autant annoncer la couleur tout de suite, une nouvelle fois, Luca di Fulvio m'a scotchée. Après le gang des rêves, je me disais qu'il n'allait pas réussir à me faire deux fois le même coup. Eh bien si. Huit cents pages avalées en trois jours et encore, parce que Wimbledon oblige, j'ai dû faire des pauses pour admirer le maestro Federer. Il doit avoir une recette secrète pour parvenir ainsi à imprimer sa patte sans pour autant refaire le même livre, même si l'on retrouve quelques ingrédients communs comme cette facilité à se glisser dans la peau de jeunes héros à peine adolescents mais déjà muris par les épreuves de la vie.

"Il pouvait survivre dans une fosse d'égout à Rome et dans une cité aussi mystérieuse que Venise, il était capable de monter des arnaques, de se servir d'un couteau, de vider les poches de n'importe qui sans se faire prendre, de mélanger la chaux vive à la terre pour recouvrir les morts ; il s'était battu avec des hommes deux fois plus grands que lui, il avait tué un marchand, tenu tête à Scavamorto et fait la conquête d'un criminel comme Scarabello. Il savait tout de la vie. Mais il ne savait rien de l'amour."

Cette fois-ci nous sommes à Venise au 16ème siècle. L'Amérique du Gang des rêves n'est encore qu'un mirage pour beaucoup, un "nouveau monde" tout juste découvert par Christophe Colomb, synonyme de promesses encore bien vagues pour certains marins qui rêvent de le rejoindre sans aucune garantie d'y parvenir. Pour l'heure, Venise fait figure de liberté et de tolérance, rare cité où les Juifs peuvent résider en paix. Certes coiffés d'un bonnet jaune, mais enfin, par rapport aux brimades et aux interdictions d'autres endroits du monde, c'est presque le paradis. Voilà pourquoi Isacco da Negroponte et sa fille Giuditta (Isaac et Judith) choisissent de s'y établir. Au même moment, Mercurio, Benedetta et Zolfo, trois enfants des rues vivant d'escroqueries et de vols, obligés de fuir Rome choisissent également la cité lacustre pour démarrer une nouvelle vie. Mercurio est un orphelin abandonné qui n'a jamais connu la tendresse d'un foyer. Au contraire, la violence, les brimades de l'orphelinat puis la coupe d'un exploiteur qui l'a transformé en as du brigandage. La mère de Giuditta est morte en la mettant au monde et la jeune fille se contente d'une relation distante avec un père faux médecin et véritable escroc en plein repentir. La rencontre de Mercurio et de Giuditta fait des étincelles. Coup de foudre. Et début des problèmes...

Luca di Fulvio nous entraîne dans une saga haletante qui emprunte autant à l'univers de Dumas qu'à la Comedia del Arte. Les figures de Scavamorto, le romain et de Scarabello, le vénitien, les deux chefs de bande régionaux sont superbes dans leur genre. le talent de comédien de Mercurio, passé maître dans l'art du déguisement apporte la touche théâtrale si typiquement italienne. Quelques trouvailles géniales comme celle de l'invention du prêt à porter apportent un relief bénéfique, une petite dose de magie. On se bat, les menaces sont permanentes, la jalousie peut tuer et, comme toujours, les puissants semblent mener la danse.

"La vérité n'a pas la moindre importance. Ce qui compte, c'est ce que l'on affirme, en dépit même de l'évidence (...). Rappelle-toi : dans notre monde, la vérité est celle qu'écrivent les puissants. En soi, elle n'existe pas."

L'auteur parvient à insérer son intrigue dans un décor rendu particulièrement vivant et un contexte propice à la dramaturgie. On visite l'Arsenal, véritable petite ville dans la cité où se construisent les plus beaux bateaux synonymes de conquêtes et de puissance. On atteint la périphérie de Venise, ses taudis et ses miséreux qui se tassent dans la puanteur des déchets et des excréments. On découvre le Castellitto, quartier des prostituées qu'un mystérieux "mal français" décime. On traverse le coeur de Venise, le marché du Rialto où tout se négocie. Et l'on plonge dans l'atmosphère de l'Inquisition, avec la pression permanente de l'Eglise ; on assiste aux provocations de quelques extrémistes qui aboutissent à la création du Ghetto où les Juifs seront finalement assignés à résidence.

Les obstacles à franchir sont nombreux pour Mercurio et Giuditta. Heureusement pour eux quelques figures lumineuses jalonnent leur parcours, comme celle d'Anna di Mercato, du vieux marin Zuan ou du capitaine Lanzafame. Si Les enfants de Venise est un roman d'apprentissage, c'est bien de sentiments dont il s'agit. Trouver l'amitié, rencontrer l'amour, accepter la tendresse. Et surtout, se battre pour gagner sa liberté.

J'ai cru comprendre que le gang des rêves et Les enfants de Venise appartiennent à une trilogie qui regroupe des histoires différentes mais dans une veine proche. Alors vous savez quoi ? Vivement le troisième !

En attendant, ne cherchez plus votre pavé de l'été : vous l'avez !
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
Commenter  J’apprécie          252
Venise 1515 . ville ou règne l, injustice, le danger, la misère et le vice. mercurio ,
petit voleur des rues, as du déguisement.
avec sa bande vole les riches. il va faire la connaissance d'une jeune juive du nom de yeoudith, que son père un escroc qui se passer pour un médecin, vend des herbes soient disant miraculeuses.
ils vont se rencontré, alors que mercurio
doit fuir de Venise, yits, aq galonimus de
negroponte, va se faire appeler isacco de
negroponte et sa fille giuditta.ils vont tomber sur une troupe de soldats,dont la plupart sont blessés. le capitaine va prendre isacco pour un médecin et l, obligé à soigner ses soldats. et mercurio pour un prêtre. les deux escrocs vont s,
associé pour pouvoir se sauver.
une bonne histoire, pleine d, humour on rigole a leurs aventures. il y a du suspense.de l,action. un régal 😋 du début à la fin.👍
Commenter  J’apprécie          240
Certes sans grande prétention au niveau du travail stylistique, si ce n'est une écriture fluide, efficace, mais pour ce qui est de l'ambition d'écrire un livre prenant, d'offrir un bon gros plaisir de lecture, c'est très réussi!
Commenter  J’apprécie          240
Merci Luca di Fulvio pour cette belle envolée romanesque dans le XVI ème siècle venezien.
Le Gang des rêves m'avait beaucoup plu , mais Les Enfants de Venise m'ont encore davantage captivée. Les personnages sont hauts en couleurs,femmes comme hommes et l'émotion est garantie ! Si les rues de Rome et Venise nous entraînent dans une réalité bien éloignée de nos cartes postales italiennes, le rêve et la romance n'en sont pourtant pas absents. Il y a de la Comedia del Arte dans ces pages mais Molière y pointe aussi son nez ! Mercurio et Giudetta m'ont fait retrouver mon âme de petite fille persuadée de l'existence du Prince charmant des contes de Perrault...Les émotions sont exacerbées sans être grotesques parce qu'on s'abandonne aux sentiments de chacun des acteurs de cette saga: de l'amour à la haine, de l'amitié indélébile au sentiment d'abandon le plus profond. Ma fibre maternelle a été titillée au point d'en avoir les larmes aux yeux ! Luca di Fulvio est vraiment doué pour cela...Ah les italiens !!!
Comme dans le Gang des rêves, un souffle de Liberté parcourt toutes ces pages. Parallèlement Luca di Fulvio nous offre également une belle peinture historique et réussit le trait d'union entre le XVI ème et nos jours par la description d'une injustice sociale ,du mépris et l'arrogance des riches pour le peuple et d'une haine de l'Autre malheureusement toujours autant d'actualité...
Commenter  J’apprécie          245
Ce roman avait tout me plaire : le lieu : Venise, la sérénissime ; l'époque : 1515 , ce XVI ème siècle italien, berceau de la Renaissance ; le sujet : une histoire d'amour , des trahisons , des personnages au grand coeur et des bien méchants ...
Ecrit en plus par un auteur dont j'avais beaucoup apprécié le livre précédent : le Gang des Rêves , je me faisais une joie de découvrir son nouvel ouvrage .
Qui y a t'il qui n'a pas fonctionné : sans doute un vrai manque d'imprévu : la riche trame  romanesque demeure très classique :

Mercurio, un jeune homme , au sortir de l'orphelinat à Rome, vit de rapines et de combines avec ses compagnons d'infortune, la belle Benedetta , le petit Zolco et le géant Ercole .
Lorsque la petite troupe de voleurs croise le chemin du riche marchand Shimon Baruch, un juif à la bourse bien garnie, rien ne se passe comme prévu: Mercurio laisse le marchand pour mort et Ercole est tué . Les jeunes fuient vers Venise et Shimon blessé, devenu muet,  abandonne sa vie bien jusque là bien tranquille bien décidé à se venger .

Pendant ce temps, Isaaco, un charlatan juif devenu chirurgien par le hasard des rencontres avec des soldats blessés  sur les routes italiennes  et sa fille Guiditta se rendent également à Venise , poursuivis par un moine fanatique , animé par la haine des juifs .

Les routes de Mercurio et de Guiditta se croisent et c'est le coup de foudre mais la différence de condition sociale car Isaaco ne voit pas d'un bon oeil ce voleur des rues et surtout les religions différentes rendent cet amour impossible ...

Bien des mésaventures émaillent le chemin des amoureux avant la fin du roman mais sans véritable fantaisie à mon goût et j'ai trouvé ce roman bien long ...
Commenter  J’apprécie          240
Je viens de terminer "les enfants de Venise" de Luca di Fulvio, un roman de 800 pages entre Rome, Venise et Mestre.
L'histoire d'enfants qui se battent pour vivre, survivre. de belles rencontres et puis des moments de doute, de souffrance , entre juifs, catholiques. La religion très présente, le temps où on croyait aux sorcières.
On sent aussi l odeur de la rue, de la saleté, des prostitués, des bars...
Et puis, une belle histoire d amour.

Très beau roman historique
Commenter  J’apprécie          230
J'ai découvert Luca di Fulvio avec " le soleil des rebelles" et c'est tant mieux. Apparemment de nombreux lecteurs encensent " le gang des rêves". Finalement je suis assez contente d'avoir lu "Les enfants de Venise", car cette période me fascine ( 1515....ça vous dit quoi?). C'est très bien renseigné, l'histoire est abordée à travers le personnage de Mercurio, jeune voyou abandonné par ses parents, mais dont le coeur est pur tout de même. Inquisition, sorcellerie, trahisons, meurtres , maladies et mutilations. Tout y est et, encore une fois, les bons l'emporteront. J'ai trouvé le roman un peu long, et me suis un peu ennuyée parfois dans les descriptions fastidieuses. mais j'ai beaucoup aimé découvrir Venise au XVIème siècle, guidée par Mercurio et ses amours.
Commenter  J’apprécie          230




Lecteurs (2983) Voir plus



Quiz Voir plus

Jésus qui est-il ?

Jésus était-il vraiment Juif ?

Oui
Non
Plutôt Zen
Catholique

10 questions
1851 lecteurs ont répondu
Thèmes : christianisme , religion , bibleCréer un quiz sur ce livre

{* *}