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Un dessin expressif, aux traits appuyés, au couleurs très années 60, je ne connaissais pas ce dessinateur.
Le scénario est efficace, conçu en flash-back, se déroule à la fin du 13e siècle. Chaque personnage, fantôme de lui-même, victime de la violence de la société de l'époque, raconte son histoire et la petite troupe de 7 pèlerins (ou de croisés) part à la quête de sa rédemption dans un monastère au nom à rallonge, à Jérusalem.
Des rencontres et des évènements imprévus, traversés grâce aux pouvoirs spéciaux de chacun, constituent le suspens ! il y a du "legendaires" et de l'aventure comme à l'époque de l'apogée de Spirou !
Il y aura un second tome... on attend avec impatience !

orienté jeunesse,
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"The Ex-People" est un objet littéraire non identifié, ou presque. Une bizarrerie baroque, le produit déconcertant d'une formule alchimique complètement barrée, un cocktail fantastico-médiévalo-tarantinesque, une aventure étrange aux accents aussi loufoques que désespérés…
J'ai eu un peu de mal à appréhender cette bande-dessinée qui mêle au scénario de Stephen Desberg les graphismes et les couleurs (magnifiques!) d'Alexander Utkin et il m'a fallu un peu de temps et une relecture pour avoir l'impression de l'avoir apprivoisé et aimé... C'est que j'ai été désarçonné et même si j'aime -en littérature du moins- les chutes, elles nécessitent toujours un peu de réflexion.

"The Ex-People" prend corps dans un Moyen-Age crasseux, cruel mais flamboyant, de ce Moyen-Age noir, sanglant dont la vision qui fait les beaux jours des romanciers et des scénaristes (salut "The Last Duel!") mais qui fait bondir les historiens. On y retrouve alors sur la route de Jérusalem sept pèlerins en quête de rédemption. Pour ces personnages hauts en couleurs et gueules cassées, fracassés par la vie puis par la mort, par l'injustice autant que pas la société, il est un seul but: retrouver leurs vies d'antan... Pour ce faire, nos héros aux allures de morts-vivants doivent s'unir pour le meilleur et pour le pire. Eux qui pensaient, en bon parias qu'ils sont devenus, que les quelques écus gagnés suffiraient à monnayer une rédemption désirée si avidement apprennent qu'ils doivent en réalité remporter la sommé convoitée le plus noblement possible... C'est là que le bât blesse... Et que l'ouvrage opère un passionnant retour en arrière nous permettant de faire connaissance avec nos sept fantômes et leur passé tout en nous révélant les raisons de leurs morts. Il y a Blaise pauvre écuyer qui fut jeté dans une geôle putride, l'enfant rousse qu'on brûla pour sorcellerie, le perroquet coureur de jupons, le chat écrasé, le militaire, le cheval et puis l'archère qui se révèlent dans une intrigue sanglante et qui fleure bon le cynisme le plus noir qui puisse être.

L'intrigue file à toute vitesse, rocambolesque, énergique, presque délirante. Les actions s'enchaînent, se superposent; le rythme est syncopé, fou... Et si le tout est généreusement arrosé d'un humour corrosif et complètement décalé qui m'a cueillie avant de le faire rire à gorge déployée, on trouve sous ce vernis décapant qui en fait des tonnes des questionnements et des thèmes bien plus profonds qu'on ne pourrait le croire, bien plus désespérés aussi: cette insupportable vacuité de la condition humaine! Que dis-je "vacuité"! Absurdité plutôt. Et l'injustice qui toujours et depuis toujours régit la société, contre laquelle on ne peut rien qu'un combat perdu d'avance, Don Quichotte contre les moulins à vent, façon trash et complètement désinhibée...

"The Ex-People" est un voyage en eaux troubles, barré et violent à souhait, engagé, "Pulp fiction" au Moyen-Age au scénario finalement très addictif quoique franchement étrange et servi par des dessins auxquels je ne pensais pas accrocher au départ et qui ont pourtant fini par m'avoir: traits épais, à vifs avec ce petit quelque chose de faussement négligé, un peu vintage, à la façon des comics d'antan.
Et ce travail sur les couleurs! Et cette qualité éditoriale!

Mon seule regret finalement réside dans la rapidité de l'album qui va presque trop vite et qui laisse un sentiment agaçant et tenace de frustration.

Secouée mais convaincue, c'est dire si je remercie chaleureusement Babelio et les éditions Grand Angle p, our cet envoi curieux mais euphorisant.
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Ils sont sept, ils sont morts et maudits, et ils veulent retrouver leur vie d'avant. Pour ce faire ils ont entendu parler de cette église de Jérusalem où pour la modique somme de 150 pièces d'or et 320 pièces d'argent, dieu accordera un pardon bienveillant.

Je remercie Babelio pour l'envoi de cette BD sur laquelle je ne me saurai probablement pas retournée en librairie et qui pourtant offre un sympathique moment de divertissement.
Cela se passe au moyen-âge, c'est plutôt fantastique puisque nos personnages sont tous morts mais encore "en vie" avec quelque malédiction en plus.
Ainsi nous faisons connaissance de Blaise, mort injustement dans une cellule et coincé dans une armure trop petite. Puis de Gertrude, brûlée comme sorcière pour aimer les animaux à la mauvaise réputation. Elle est désormais dotée d'une peau de cendre qui s'enflamme à la moindre colère. Et de Giovanni, le perroquet volage tué par des mâles jaloux, et devant désormais s'habituer à un plumage en désordre et un bec de travers. Jusqu'au chat Felideus écrasé par un boulet de canon qui lui a valu d'être plat comme une image. Les histoires des trois autres compagnons, le cheval, l'archère et le nain, seront certainement pour un prochain tome.
Le ton est plutôt léger malgré les injustices racontées et même souvent humoristique. Il y a un côté décalé et loufoque qu'il faut accepter pour prendre plaisir à cette lecture assez originale.

Le trait charbonneux ne m'a, de prime abord, pas vraiment attiré. Un côté enfantin, trop de liberté anatomiques, une simplification des visages... Et puis au fil des pages je me suis laissée prendre dans ses couleurs gaies. Il a lui aussi ce côté frais, décalé et expressif qui colle finalement plutôt bien à l'histoire.
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"- Hahaha! un grand écuyer maladroit enfermé dans un casque et une armure et une adolescente brûlée qui n'était même pas une vraie sorcière

- Nous n'avons jamais eu de vie qui vaille quelque chose. Nous n'avons jamais rien été. Que... Des ex-people."

Un nom de groupe yéyé (au tube magnifique " ouaille hème scie-haie") , qui aurait pu être mieux trouvé. Sept renégats de la vie, morts injustement qui cherchent à retrouver un semblant de vie (une vie même humble reste une vie) s'en vont quêter une potion redemptrice. Dit comme ça, on dirait que le scénario ne vole pas très haut... Et effectivement ce n'est pas l'histoire du siècle même si la compagnie est très plaisante. Néanmoins les dessins et les cases sont beaux (j'adore ce style de dessin naif, coloré, pastel et nez épaté) et si l'épopée ne semble pas très originale elle reste plaisante à lire. Ce premier opus nous raconte comment les membres de notre groupe médiéval préféré s'est formé et je gage que la suite nous racontera comment ils ont fini (au pilori-box office ou pas).

ouaille hème scie-haie
They have everything for you adventurers to enjoooooy


[Mention spéciale pour le livre, papier epais, chouette odeur, c'est un très bel objet]
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Merci aux éditions Bamboo "Grand Angle" et Babelio pour cette BD dans le cadre de l'opération masse critique.

Sept compères mort-vivants arrivent en Terre Sainte pour demander à Dieu de retrouver leur vie de Vivant !
Le couac, c'est que Dieu n'exaucera leur voeu que s'ils fournissent de l'Or obtenu honnêtement !
Voilà donc une quête qui démarre sur un sens moral avec un petit retour en arrière pour découvrir ce qui leur est arrivé et comment ils se sont rencontrés.
Un scénario original présentant des aventuriers à la jeunesse malchanceuse.
L'injustice, la jalousie, la peur de la différence, l'infidélité, la bêtise humaine, parsème cette aventure fantasy.
J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire car le trait des dessins est assez brut et les couleurs criardes donnant l'impression d'être coloré aux crayons gras, c'est très inhabituel. Ceci dit, cet aspect renforce le côté moyenageux et médiéval, c'est donc judicieusement bien choisit.
Et au final, au fur et à mesure de la lecture, l'histoire de ses 7 compagnons d'infortunes a éveillé ma curiosité.
Je peux donc dire que ce tome 1 a réussi son pari de donner envie de lire la suite !

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Je referme ce livre avec un petit sentiment de frustration.

J'ai aimé le dessin, les personnages avec chacun des personnalités et des histoires incroyables.
Mais en refermant le livre, j'ai eu l'impression que l'histoire n'avait pas eu le temps de commencer que ce premier volume était déjà terminé. La mise en place de l'histoire et des héros ou anti-héros se fait très bien. Mais on a envie d'en savoir plus sur leurs aventures et de connaître la suite.

L'histoire est prévue pour tenir en deux volumes. de tels personnages et un tel univers pourraient très bien être le socle d'une saga de bien plus longue. Leurs aventures semblent pouvoir s'étirer sur de nombreux volumes tant l'univers créé par les auteurs est riche.
Et ce qui n'enlève rien au plaisir de la lecture, l'objet est très beau.

En ouvrant le livre et après quelques pages, l'univers m'a fait repenser à une ancienne lecture, le Castelmaure de Lewis Trondheim.


Une lecture réalisée dans le cadre d'une masse critique avec les éditions Bamboo Grand Angle Et Babelio.
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Sept pèlerins, cinq êtres humains bien différents mais au caractère bien trempé accompagnés d'un oiseau, d'un chat et d'un cheval tous trepassés de mort violente, partent à Jérusalem afin de retrouver leur identité première. Ils se rencontrent en cours de route, s'échangent leurs histoires, sauf un, s'entraident et parviennent au but de leur voyage avec l'argent péniblement requis pour obtenir leur transformation. Oui mais voilà, Dieu n'accepte pas l'argent mal acquis et les voilà obligés de repartir en pèlerinage pour en gagner par de bons moyens.
Dans ce premier volume d'une bande dessinée jubilatoire, qui m'a rappelé un peu les aventures de Dorothy au pays d'Oz et certains épisodes du chat du rabbin de Sfar, l'imaginatif Desberg aborde un genre d'aventures différent de celui qu'on lui connaît, entre épopée un peu délirante et fantasy, en parfaite complicité avec le dessinateur Alexander Utkin dont les savoureux dessins donnent aux personnages une improbable consistance de spectres incarnés dans leur malédiction.
Mêlant aventures, fantastique, humour, psychologie des personnages, truculence et délicatesse, ce premier récit m'a pleinement conquise et j'attends avec impatience le deuxieme volume de cette serie.
Un grand merci à Babelio et aux éditions Grandangle pour ce beau roman graphique lu dans le cadre d'une masse critique.

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Merci à Masse Critique et aux éditions Grand Angle pour cet excellent moment de lecture qui m'ont fait découvrir 7 personnages très attachants.
Nous sommes en 1271 et ce groupe de 7 pèlerins arrive à Jérusalem. Ils sont à la recherche du monastère de l'urgence du dieu du pardon miséricordieux et tout puissant ... oui il faut bien ça car leurs situations, quoique différentes, sont assez compliquées!
On découvre le passé de quatre d'entre eux : Blaise coincé dans son casque, Gertrude sorcière brulée vive, Giovanni l'inséparable défiguré et Felideus, le chat aplati par un boulet de canon ... et il y en a encore 3 autres!
Bref des aventures assez réjouissantes en perspective pour la suite de cette BD!
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Quand un scénariste chevronné rejoint un jeune dessinateur prometteur avec une idée totalement barrée de super-héros / anti-héros dans un univers de médiéval fantasy, cela donne une des BD de la rentrée les plus étrangement pêchues que j'ai lues.


The Ex-People, on dirait le titre d'une série tv et pourtant c'est un dyptique de BD signé Stephen Desberg (IR$, Billy The Cat, Black Op, Cassio, Empire USA) au scénario et Alexander Utkin (La princesse guerrière, le roi des oiseaux) aux dessins. Avec la patte très affirmé de ce dernier qui pour l'instant s'était essayé aux adaptations libres de contes et légendes russes, on embarque en plein Moyen Âge et ça va être crade, âpre et flamboyant.




J'ai beaucoup aimé l'angle d'accroche de cette courte série : de pauvres gens qui vont se retrouver dotés de particularités sans rien avoir demandé et qui vous partir en croisade pour qu'on les en guérisse. On va découvrir ainsi 7 portraits très différents de figures emblématiques du Moyen Âge détournées ici dans ce conte fantastique étrange fortement inspiré de la vague des super-héros pas si gentils qu'on a depuis quelques années. Composée de deux tomes, l'histoire va aller à leur rencontre, nous faire remonter le fil de leur passé et nous acheminer vers le but de leur quête dans une ambiance historique propice à l'aventure.


Ce premier tome nous permet d'abord de faire la connaissance des héros à travers une première mission fort rocambolesque qu'ils se donnent. Ça donne de suite la donne. On comprend qu'on va être dans une jolie histoire de cambriole et autres joyeusetés du genre où le groupe de héros ne va pas faire dans la dentelle pour parvenir à ses fins. S'il faut voler, frapper, tuer, pour obtenir ce qu'ils veulent, ils répondent présents ! Pourtant, par la suite, à l'aide de différents flashbacks, on va apprendre que ce ne fut pas toujours le cas. Les auteurs nous emmènent à la rencontre à tour de rôle du passé de chacun et de leur rencontre pour former progressivement ce groupe.


Se dévoile ainsi petit à petit une intrigue à la fois sanglante et cinglante mais aussi plus profonde sur fond de dénonciation des malheurs des petits par les grands. le chevalier à l'armure trop petit ainsi était-il autrefois un écuyer maltraité, la jeune pyromane rousse étaient une sorcière qu'on a injustement brûlée sur un bûcher, l'oiseau à la tête toute déformée un perroquet coureur de jupons sur lesquels les maris de ses compagnes se sont vengés, et on ne sait pas encore pour les autres, mais nul doute qu'ils auront le même genre d'histoire. Ces laissés pour compte ont pour but d'aller en Terres Saintes pour être guérir et rien ne les arrêtera.


J'ai aimé le décalage du ton entre ce qu'ils commettent et ce qu'ils sont. Les auteurs jouent volontairement sur cette image très sombre, très noire du Moyen Âge et ils en font des caisses. On est ainsi dans une sorte de pulp mais version Moyen âge fantastique. C'est surprenant. On enchaîne ainsi les scènes assez pêchues de combats et courses-poursuites mais également celle plus calme de récit où chacun revient sur lui-même. C'est assez savourent.


Il faut par contre se faire aux dessins qui sont à la fois dans la lignée d'une certaine veine classique avec ces découpages rectangulaire où rien ne dépasse, et qui s'inscrivent également dans une certaine modernité avec cet épais contour noir et ces visage anguleux rappelant une certaine école américaine relevant des comics. Ce n'est pas forcément le style que j'apprécie le plus en BD mais je peux comprendre qu'il y ait un public pour cela. En plus, le dessinateur a une belle palette de couleur riche et soutenue dans des tonalités très marquées avec des oranges, des bruns et des verts profonds, qui eux m'ont beaucoup plu.


The Ex People fut une belle lecture, surprenante, une sorte de pulp à mi-chemin entre la BD classique et les comics avec une histoire qui emprunte énormément pour moi à cette veine des super-héros pas si gentils et donc bien plus humains qu'on aime nous conter en ce moment, le tout dans un univers médiéval classique mais bien sale et violent, donc propice à ce genre d'aventure où l'on dénonce les oppresseurs. C'est une histoire entraînante et un premier tome qui offre une introduction plus profonde que juste de la castagne. Reste que seulement deux tomes, j'ai peur que ça fasse un peu juste vu le rythme et le schéma narratif actuel. A voir.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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« Croyez-moi, vous n'avez pas envie de savoir qui nous sommes. Pas avant que nous ayons vu Dieu à Jérusalem et que nous soyons redevenus humains ! » (p.79)

Pâques 1271. Une bien étrange compagnie de pèlerins entre à Jérusalem, à la recherche d'un monastère entouré de brume, au fond de la ruelle du Golgotha. Il y a Basile, « un grand écuyer maladroit enfermé dans un casque et une armure »; Gertrude, « une adolescente stupidement brûlée qui n'était même pas une vraie sorcière » ; Giovanni, oiseau inséparable infidèle au bec tordu ; Felideusalem, un chat « presque plat. Comme une sorte de… crêpe qui marche » ; le lieutenant-caporal von Bertholt, un tout petit soldat irascible ; Pervenche, la belle archère mystérieuse ; et un cheval qui parle. Tous les sept sont des fantômes. Tous les sept cherchent la redemption et veulent retrouver leur vie d'avant…

Injustice, vengeance, absurdité de la condition humaine, repentir, entraide sont autant de thèmes très sérieux qui sont abordés, de manière décalée, avec une petite touche d'humour grinçant très appréciable, dans cette BD réellement atypique.

Le graphisme, de prime abord, m'a un peu surprise et il m'a fallu un petit temps d'adaptation. le coup de crayon, parfois très appuyé et limite enfantin par moment, est très éloigné des styles que j'apprécie d'habitude. Mais les planches sont colorées et dynamiques et, finalement, l'ensemble colle très bien avec cette intrigue fantastique.

Le scénario est original et réellement bien construit. Stephen Densberg propose une intrigue au rythme rapide, haletant et pleine de suspense. Leur quête de rédemption commence à peine quand se tourne la dernière page de ce premier tome et il reste beaucoup de non-dits, notemment sur trois des sept personnages dont on ne connaît encore par l'histoire avant qu'ils ne deviennent fantômes.

Merci à Babelio et aux éditions Bamboo/Grand Angle d'avoir ajouté cette BD à notre BDthèque familiale ! Sans la masse critique privilégiée qui m'a permis de la découvrir, je serai sans doute passée à côté, éloignée par le graphisme, ce qui aurait été une belle erreur! Il me tarde de découvrir la suite de ce diptyque qui, j'espère, paraîtra rapidement !
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