Garfield, tome 32 : Le début de la faim

Lorsque l'on entame la lecture d'un album de la série Garfield, l'on sait à peut près à quoi s'attendre. le tout est de savoir choisir un bon cru.

La liste des albums est longue et la première couverture n'est pas indicateurs des plus utiles, puisque la thématique est indépendante du reste de l'album.

La faim justifie les moyens entre sans contestation possible dans la catégorie des albums qui cochent toutes les cases attendues. Garfield va devoir tout mettre en oeuvre pour assouvir sa gourmandise, souvent au détriment de son maître Jon, qui lui tentera tout ce qu'il peut avec les moyens dont il dispose pour trouver l'âme soeur et va donc vivre des moments difficile…

Les araignées, les souris, Odie seront bien de la partie. le lecteur aura même droit à un court passage par campagne. Il manque peut-être un intermède à la ferme pour que la boucle sous pleinement bouclée… mais le programme est largement assez chargé.

Il faudra également compter avec l'arrivée fort appréciée et particulière réussie d'un chat stagiaire ou apprenti chat.

Les exemples sont nombreux pour confirmer que La faim justifie les moyens est un album agréable, facile à lire que l'on ne peut que recommander pour prendre connaissance avec la série, reprendre connaissance ou pour faire un cadeau.

Un épisode de Garfield qui apporte à l'amateur tout ce qu'il est en droit d'en attendre.
De la paresse, de la nourriture, des comiques de situation à répétition, des side-kicks rigolos et des bons mots.
Quoi que...je ne trouve plus ça très drôle.
Oh, j'ai souri quelques fois mais je n'ai ni ri, ni pleuré de rire.
Et je dois dire que, en général, je ne suis pas mauvais public. Les éclats et larmes de rire sont, avec moi, quasi inévitables avec Calvin et Hobbes ou Marc Dubuisson.
Encore une BD qui ne me convient plus. Une de plus...

Un épisode fidèle à l'esprit de la série, avec des gags plus drôles que d'autres. Certains sont un peu durs a cerner, d'autres sont franchement marrants mais aucun n'est complètement nul. Garfield fête ses vingt ans à la fin de l'album, ce qui donne l'occasion aux souris de se moquer gentiment de leur accolyte félin.

Cet album de la série est une vraie réussite !